Au néant, pas d’espace-temps, pas de thermodynamicité, pas de masse… rien !
L’entropie S a pour vocation de réunir les quatre grandeurs naturelles de l’Univers que sont le temps T, la température θ, la masse M et la longueur L, alloués dimensionnellement (exponentialité) :
Au néant, les grandeurs sont potentialisées. Précision : la mole, la candela et l’intensité sont des grandeurs artificielles non exploitées par l’Univers.
Le pendant des grandeurs sont les valeurs au nombre de cinq :
• L’adimension ou 0D : valeur 0 en exposant valant un point ;
• La monodimension ou 1D : valeur 1 en exposant valant une rectiligne (segmentation de la ligne) ;
• La bidimension ou 2D : valeur 2 en exposant valant un carré (pavage du plan) ;
• La tridimension ou 3D : valeur 3 en exposant valant un cube (remplissage du volume).
Ces quatre valeurs sont arithmétiques et rendent compte du développement de l’Univers en base quaternaire.
La cinquième valeur est géométrique (elle n’est pas calculable) : l’imaginaire pur i est tel qu’il unit cycliquement les dimensions entre elles
Entropie des états microcosmiques :
Au néant, il n’y a strictement aucun état :
Et l’entropie du néant est :
Sachant que la Relativité universelle (nombres relatifs !) est :
L’entropie du néant est en réalité :
L’entropie du néant non nulle est génératrice à l’infini…
avec π et e en base 4 sachant que la numérotation de l’Univers est : 0, 1, 2, 3, 00, 01, 02, 03, 10, 11, 12, 13, 20, 21, 22, 23, 30, 31, 32, 33, 000, 001, 002, 003, 010, 011, 012, 013, 020… (en rapport avec l’ADN universel et ses codons de 000 à 333). Précision, pour l’Univers 00 vaut 4 et 000 vaut 20.
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