L'idée est là, mais ce n'est pas exactement en terme de groupe qu'il faut penser, mais en terme de répartition d'allèles dans un groupe, pour garder à l'esprit que ce n'est pas le groupe qui est sélectionné, mais les parties du groupe.
M'enfin, au final, on en arrive à la même conclusion : la diversité donne une plus grande potentialité d'adaptations.
Là où le bât blesse, c'est quand on dit que le brassage génétique permis par le sexe donne de plus grandes facultés d'adaptation. Il y a probablement du vrai, mais tout n'est pas clair. En effet, comment expliquer la survie de phylums ne pratiquant aucun brassage génétique depuis des millions d'années, et qui sont pourtant aussi divers et vigoureux que leurs groupes-frères sexués (lesquels vivent dans le même type de millieux, dans le cas des rotifères)?
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