Bonjour,
voilà, je réflechissait concernant l'équilibre qui peut exister entre désir de reproduction et espace vitale.
En effet, pour des raisons purement évolutionnistes, il me parait logique que le désir de procréation soit régulé dès lors que le surnombre devient dangereux pour l'espéce... (quand il n'y a pas de prédateur au dessus pour réguler)
A -t - on découvert quelque chose à ce sujet ?
D'autre part, ça me fait penser à quelque chose d'intéressant : il existerait un autre facteur de réduction de l'impacte de la population.. sans perte d'information biologique : la réduction d'échelle.. et bingo ! c'est exactement ce qu'on observe dans les biosphères fermés..
Ce qui est intéressant c'est l'idée que c'est vraiement une "réduction" à l'échelle qu'on observe et pas un amaigrissement ou une diet.. (de sorte que l'évolution se poursuit quasiment comme si de rien était)..
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