Bonjour,
Pour étudier la localisation de l'expression d'un gène (à l'échelle cellulaire, pas subcellulaire), quel est l'intérêt de l'hybridation in situ par rapport à l'utilisation d'un rapporteur sous contrôle du promoteur de ce gène? (ou l'intérêt de cette dernière technique par rapport à la 1ere?)
L'hybridation in situ détecte les ARNm alors que dans le cas du rapporteur, on visualise une protéine ou son produit, mais comme cette protéine n'est pas le produit du gène étudié, on ne peut rien en déduire sur une éventuelle régulation post-transcriptionnelle ou -traductionnelle, si?
Si l'ARNm était instable, le choix du rapporteur serait certes plus judicieux, mais cela ne semble pas être le cas dans l'article que j'étudie...
Est-ce que l'une des deux méthodes permet une localisation plus précise?
En gros, quel est l'intérêt d'avoir utilisé les deux approches, si ce n'est de renforcer les résultats? mais je suis surement passée a côté de quelque chose...
Merci d'avance pour vos éclaircissements
Véro
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