Bonjour,
Je suis actuellement en 1ère ES et j'ai une argumentation sur la vision du chat dans le noir à faire
Je voudrais dans la mesure du possible que vous puissiez me dire ce que je dois parler dans cette argumentation (bâtonnets, cônes... )
Je vous remercie d'avance
Qu'est ce qui est le plus sensible à la lumière? cônes ou bâtonnet?
Par où entre la lumière ? qu'est ce qui limite son passage?
Qu'est ce qui brille la nuit dans l'oeil du chat?
Pas faux merci
Dernière question pourquoi les chats restent donc figés quand il y a par exemple une voiture plein phare devant eux la nuit c'est dut aux bâtonnets qui sont stimulé à faible éclairement ? (veuillez me le dire si vous ne comprenez pas à ma question merci )
Alors déjà il faudrait prouver que tous les chats restent toujours figés la nuit quand une voiture arrive tous phares dehors. Et qu'ils ne restent pas figés dans d'autres configurations. Personnellement, tous ceux que j'ai croisé de nuit ont fini par choisir un côté et détaler, sauvant ainsi leur vie. La lumière aveuglante (même pour un non chat hein, éssayez de regarder une voiture plein phare dans les yeux) joue peut être un rôle, mais le temps de réaction/décision au moins autant, voir plus à mon avis.
Oui vous avez tout à fait raison merci =)
Bonjour,
Je pense que les moustaches sont à mettre en parallèle avec la vision (ça fait un petit plus dans l'argumentaire). Les moustaches aident le chat à s'orienter.
Mouais, bof.
A ce compte là, l'ouie aussi, et la proprioception... je pense que la question portait très spécifiquement sur la vision en situation de basse lumière (évocation des cônes et des batonnets), pas sur les sens servant à l'orientation.
En fonction de la taille de l'argumentaire il reste tout de même intéressant de mentionner que la vue n'est pas l'unique sens qui permet au chat de se mouvoir dans le noir. Et c'est dans ce sens que j'ai voulu partager mon idée. Certains profs veulent uniquement et strictement une réponse à leur question, d'autres vont apprécier l'ouverture ou l'esprit d'analyse qui va permettre de pousser un peu plus loin la réflexion.
Après c'est à Falcko de faire le tri et de juger ce qui est bon de mettre dans son argumentaire
Il faut voir quels sont les domaines de sensibilités de chacun des pigments présents chez le chat aussi. De même l'indice de réflexion de la choroïde par rapport à ces domaines de sensibilité.
La distributions des cellules photoréceptrices sur la rétine est aussi intéressante. On peut glisser un mot sur la fovéa par exemple.
En dernier, venant panacher le reste, on parlera de l'iris et de la pupille fendue si caractéristique et charismatique chez ce petit félin
