Ah au fait, j'avais oublié les pinsons de Darwin qui innovent -- genre développement d'un comportement oophage, truc auquel rien ne les prédestine et surtout pas un "comportement génétiquement programmé" genre "irrépressible".
J'en dis que vous ne comprenez pas ce qu'est la prédation. L'amibe a une relation de prédation avec les organismes qu'il phagocyte. Pas de "guide", pas non plus d'instinct. Pour une fois je cite Wikipédia ca le résumé introductif est exact -- le reste de l'article a des passage maladroitement connotés, comme trop souvent...
Donc non : pas de "guide", juste une interaction décrite entre deux organismesEnvoyé par Wikipédia
Evitez de mélanger les faits et les affaires et surtout les légendes urbaines. Ce qui a pu arriver dans tel ou tel accident n'est pas forcément arriver dans tel autre, et surtout construire un mensonge historique sur la base de vos préjugés n'en rend vos propos que plus douteux
Encore une fois, source de vos propos ?
Je doute fortement qu'il y ait eu grand chose comme "paille" sur le piton rocheux entouré de neiges éternelles où les secours les ont retrouver
Ca tombe bien, j'ai eu des chats. Le chat est ma deuxième langue maternelle au point où d'autres (nombreux) animaux réagissent comme si j'étais un chat -- je n'ai jamais compris comment éviter ou limiter ça.
En ce qui concerne le jeu, c'est question d'humeur et d'envie plutôt que d'automatisme très "machine biologique". C'est d'autant moins comme votre formulation que les chats sortant chasser tout en ayant un maître sont moins prônes à tuer que les populations férales : https://www.nature.com/articles/ncomms2380
C'est l'hôpital qui se fout de la charitéEnvoyé par Nature Communications
Finaliste. Non le comportement ne s'est pas "adapter pour...". Il y a simplement eu pression de sélection qui a sélectionné un trait, qu'on appelle phénotype lorsqu'il est relié à un génotype.
Alors déjà vous nous avez dit que les chats font la prédation mais que le but c'est pas se sustanter mais tuer. A quoi s'ajoute le finalisme que la "prédation-instinct" au départ un comportement qui devient ici un "but"
Donc on a un grand n'importe quoi à force de vouloir mettre une polysémie malvenue au mot prédation dans un résonnement se faisant écho d'idées préconçues mal vulgarisée. Va falloir quand même passer à un moment du résonnement (écho de trucs plus ou moins mal assimilés) au raisonnement un minimum scientifique.
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