Electronegativite dans la famille du bore
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Electronegativite dans la famille du bore



  1. #1
    invitea6f89eb3

    Electronegativite dans la famille du bore


    ------

    Bonjour
    Concernant l'electronegativite, on dit qu'elle augmente de bas en
    haut dans le tableau priodique et donc diminue de haut en bas.
    Dans la famille du bore du tableau periodique l'electronegativite
    diminue du Bore(2,00) a l'Aluminium(1,5),(ce que je trouve normal) mais
    a partir du Galium , elle commence a augmenter vers le bas (Galium
    (1,6),Indium(1,7),Talium(1,8)) .Je comprend pas cette anomalie.
    Est-elle due a la presence d'electron de la couche D a partir de
    ces elements?

    -----

  2. #2
    invitea6f89eb3

    Re : Electronegativite dans la famille du bore


  3. #3
    invite6d981fcb

    Re : Electronegativite dans la famille du bore

    j'ai le même problème, je ne comprend pas d'où vient cette anomalie. Quelqu'un peut expliquez s'il vous plait ?


  4. #4
    invitea6f89eb3

    Re : Electronegativite dans la famille du bore

    J'ai cherche aussi sur plusieurs forum mais j'ai pas trouve de reponse qui me convienne .
    Mais tu peux continuer a chercher .
    Bon courage

  5. A voir en vidéo sur Futura
  6. #5
    moco

    Re : Electronegativite dans la famille du bore

    L'électronégativité est une donnée expérimentale qui ne se déduit pas nécessairement de la place qu'un atome occupe dans la table. Et il y a plusieurs façons de la calculer.
    La méthode de Pauling part de mesures thermodynamiques sur l'énergie des liaisons dans les molécules.
    La méthode de Sanderson part de la dimension des atomes : plus un atome est petit plus il est électronégatif.
    La méthode de Mullliken part de la moyenne entre l'énergie qu'il faut pour enlever un électron, et de celle qu'on gagne en ajoutant un électron.
    Dans cette colonne, les électronégativités de Mulliken sont : 2.0 pour B, 1.8 pour Al, 2.0 pour Ga, 1,8 pour In, et 2.0 pour Tl. Celles de Sanderson sont encore différentes.
    Il y a d'autres anomalies, comme le zinc qui est à 1.6, entouré de Cu et Ga, qui sont tous deux à 1.9 et 2.0.
    Peter Atkins dit qu'il ne faut pas trop s'attacher aux valeurs exactes de l'électronégativité, et que cette grandeur est très utile, mais seulement quand on l'utilise de manière qualitative.

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