Question sur courbes I/E, réactions aux électrodes

[invite20fd0cad]

Bonjour à tous

J'ai un florilège de questions...

Voilà quand on effectue un dépôt quel qu'il soit, on impose une intensité au système via un redresseur (générateur si vous préférez).

Il en résulte une tension ou plutôt ddp relative à une oxydation à l'anode et réduction à la cathode.

1) Comment peut-on décalé notre ddp plus à gauche ou à droite de la courbe (de manière par exemple à éviter des réactions parasites, telle que le dégagement d'hydrogène) ?

2) Comment savoir si on augmente la tension du système, si c'est au profit de la réduction (à gauche de la courbe) ou de l'oxydation (à droite de la courbe)?

3) Existe il des redresseurs à qui on peut imposer par exemple : "je veux travailler entre -0.25V/ESH et 1.05V/ESH" de manière à mieux contrôler les réactions à chaque électrode?

4) Question dans le même genre : quand on réalise un cuivrage (bain cyanuré ou acide) même si le cuivre est sous forme de complexe on travaille au potentiel du cuivre métal?

Si on impose pas une ddp trop importante, il n'y a donc pas de dégagement d'hydrogène?

Merci d'avance et bon réveillon à vous
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[invite7d436771]

Bonjour,

Je n'ai que de vagues réponses mais voici des idées :
Les surtensions dépendent de l'électrode utilisée, donc pour éviter la réduction de l'eau il faut se placer sur une électrode pour laquelle la surtension de réduction de l'eau est élevée. C'est un des avantages de la polarimétrie (électrode en mercure) mais le mercure est toxique ...
Pour imposer un potentiel, on sait imposer une DDP, mais rien de plus. Ceci étant, si on connaît le potentiel d'une électrode, fixe, on en déduit l'autre (voir les montages de volatmétrie cyclique par exemple).
Si le cuivre est complexé, a priori il faut prendre en compte le couple avec le complexe, mais ce n'est qu'une première idée, rapide.

Cordialement,

Nox