Bonjour à tous !
Prenons exemple sur le butane et le propan-1-ol et le glycol qui ont des masses molaires très voisines, mais leur points d'ébullition sont très différents, respectivement -0.5C, 85C et 198C.
Xc=2,5 Xo=3.5 Xn=3.
Je ne demande pas de faire l'exercice, car on l'a déjà fait, je demande quels sont les méthodes pour savoir ? Si je me rappel bien on utilise les forces de kesson et london ?
Si oui, merci de m'expliquer.
Cordialement.
Quelle est la question posée ?
Au faite ma question est simple.
A partir des informations qu'on a : sur le butane et le propan-1-ol et le glycol qui ont des masses molaires très voisines, mais leur points d'ébullition sont très différents, respectivement -0.5C, 85C et 198C.
Xc=2,5 Xo=3.5 Xn=3.
Comment on peut-on expliquer ces ébullition qui sont différentes ?
c'est quoi "Xc=2,5 Xo=3.5 Xn=3" ?
à part cela, qualitativement il suffit de regarder quelles interactions intermoléculaires (et aussi intramoléculaires dans certains cas) sont possibles : liaison ionique, liaison hydrogène, liaison de van der Waals (keesom, debye et london).
m@ch3
Never feed the troll after midnight!
Imaginons qu'on nous donne 3 dérivés composés du benzère.
Je voudrais savoir pourquoi le compos´e B a une température de fusion nettement supérieure a celle du composé A ?
Et quelles sont les types d'interaction ?
Je n'aime pas trop les considérations sur les températures de fusion, car une structure moléculaire ne donne absolument aucune information réelle sur la structure du solide. Cependant, il existe tout de même des tendances évidentes, surtout quand on regarde les choses a posteriori : si on me donne l'ortho et le parahydroxybenzaldéhyde et qu'on me demande lequel fond le plus haut, je ne peux objectivement pas répondre sans voir la structure cristalline, si à l'inverse on me donne les températures et qu'on me demande une raison possible à ces températures, je peux tenter d'expliquer pourquoi sans trop me tromper.
Passé cette petite digression, quelques questions pour faire réfléchir :
-quelle interaction peut-on avoir avec un groupement hydroxyle qui est polaire avec un hydrogène appauvri en électron et un groupement carbonyle dont l'oxygène riche en électrons ne "sait" plus quoi faire de ses doublets?
-Si ces groupements sont proches l'un de l'autre dans une molécule, y-a-il des chances que cette interaction soit intramoléculaire?
-Sachant que la cohésion d'un solide (donc quelque part la valeur de sa température de fusion) tient à la qualité des liaisons intermoléculaires que peut-on conclure pour une substance dont les interactions intermoléculaires sont défavorisées au profit des interactions intramoléculaires?
m@ch3
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