Bush avait mis 7 milliards dans son plan anti-pandémie quand même
document officiel : https://www.cdc.gov/flu/pandemic-res...ementation.pdf
autre article de presse : https://www.wsj.com/articles/clinton...cs-11586387379
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Oui Papy Alain,
Je me rappelle très bien que des scientifiques écrivaient des papiers dans des quotidiens pour dire que le principal risque avec les SARS-cov serait d'en voir apparaître un plus contagieux que le SARS-cov1 même si moins létal, il ferait plus de dégâts car se diffuserait rapidement.
Donc des gens comme Bush, Bachelot etc ne faisaient qu'écouter un peu ce discours. Cependant, les radins ont eu le dessus.
FabiFlam
Bush avait mis 7 milliards dans son plan anti-pandémie quand même
document officiel : https://www.cdc.gov/flu/pandemic-res...ementation.pdf
autre article de presse : https://www.wsj.com/articles/clinton...cs-11586387379
Drôle d'époque quand W nous apparaît comme un président intelligent et raisonnable.
Les radins ou les importateurs d'éoliennes ?
https://www.lemonde.fr/blog/huet/201...-cout-des-enr/
Ou les politiques en général, qui pour leur (ré-)élection sont prêts à faire des promesses sur les sujets les plus porteurs auprès de l'opinion (ou de la partie de l'opinion dont ils veulent capter les votes), même si c'est en dépit du bon sens ? (je ne développe pas parce que ça serait HS ici, et probablement hors charte du forum, comme d'ailleurs ta remarque et le message auquel elle répondait)Les radins ou les importateurs d'éoliennes ?
https://www.lemonde.fr/blog/huet/201...-cout-des-enr/
Et la lutte contre une éventuelle future pandémie (dont les conséquences sont difficilement tangibles tant qu'on n'y a pas été confronté), avec les milliards qu'il faudrait investir pour s'y préparer, ne fait pas partie de ces sujets. Mais peut-être qu'en Europe on va un peu évoluer sur ce point ?
Les éoliennes n'ont aucun rapport avec le sujet Covid
Les considérations économiques font partie intégrante du problème à résoudre. Sans quoi, il y a longtemps qu'un confinement généralisé serait relancé. La tâche est loin d'être aisée pour les décideurs. Et ce problème ne se pose pas qu'en France, mais dans toute l'Europe. La recrudescence est partout. Le plus inquiétant, de mon point de vue, c'est la protestation qui monte. Après les manifs aux U.S.A. et en Allemagne, c'est maintenant l'Italie qui se révolte. Les gens sont au bout du rouleau, et ça ne présage rien de bon à un moment où on devrait être tous unis devant l'adversité.
Les météorites ne peuvent exister car il n'y a pas de pierres dans le ciel. Lavoisier.
Yes ! Sciences works, bitches !
Ah là là. Economiquement parlant, il vaut mieux arrêter les frais tout de suite. Même scientifiquement, ce n'est pas/plus tenable. A force de punir les gens mais après la bêtise, bah ils sentent une injustice et donc rien de ce qui est scientifique ne sera plus écouté par ces profanes/profanateurs des disciplines scientifiques.
Après tout, en tant que nerd en biologie, j'avais tablé sur deux ans de pandémie avec un strict respect à la lettre et sans écart des consignes antivirales (hygiène, distanciation, discipline, etc) et sur minimum cinq ans avec du laxisme. La simple Science n'y peut mais, #### supprimé. C'est d'autant plus important de ne plus faire porter le chapeau à la Science, éviter de la politiser. Son rôle n'est pas d'arrêter l'épidémie (c'est celui des gouvernements) mais simplement constater et tout simplement fonctionner.
Parce que, oui ! la Science fonctionne, mais ce n'est pas une question de volonté. C'est juste un effet secondaire de sa structuration et de son fonctionnement.
Alors vaut mieux faire des prévisions et laisser faire que vouloir prévenir comme au temps du SARS et (vu qu'on a justement réussi à éviter le drame) qu'on table les ressortissants de la discipline d'alarmistes et de n'importe quoi. C'est quand même plus crédible de constater après coup qu'il y a des morts que de dire "on a tellement bien prévu le coup qu'il n'y a pas eu de victime". Le dernier cas, c'est souvent prétexte à dire au mieux "je m'en fous" et au pire "y'en aurait pas eu de toute façon".
De voir quelqu'un anti-masque chez un client dont la soeur et le beaufrère ont 39°C de fièvre à cause du COVID19, moi j'applaudis Ils ont atteint leur objectif : faire circuler le virus, pour que l'immunité collective se fasse. Parce que : oui ! Elle existe, cette immunité collective Pendant moins d'un mois : https://www.francetvinfo.fr/sante/ma...e_4142595.html Mais elle a le mérite d'exister transitoirement. La stratégie est en un sens payante puisqu'on peut tabler sur une sélection à très long terme des personnes résistant aux infox et à défaut des personnes capables de survivre sous dictature (c'est un milieu déjà pas mal hostile, pas étonnant qu'on y trouve logiquement des gens plus aptes à la survie).
Le cas de Manaus est intéressant : le virus a cessé de circuler, taux de contaminés oblige. Il n'y a pas eu d'apparition d'une nouvelle souche. Logiquement la reprise des contaminations est imputable à des réinfections par la même souche COVID19. Au moins je sais pourquoi je n'achèterai pas de ce "vaccin"-là -- tout en continuant gaiement à faire les autres vaccins et rappels
Dernière modification par JPL ; 27/10/2020 à 13h55.
ERRATUM : qu'on targue les ressortissants de la discipline d'alarmistes et de n'importe quoi.
PS : Après tout, y'a déjà suffisamment de complotistes alarmistes et n'importe quoi. Evitons les confusions. La Science constate (ou prévoit puis constate), et rien d'autre. Point barre.
Bon aller, on va dire que les gens aiments se vautrer dans leur laisser-aller
Pas forcément des réinfections :Le cas de Manaus est intéressant : le virus a cessé de circuler, taux de contaminés oblige. Il n'y a pas eu d'apparition d'une nouvelle souche. Logiquement la reprise des contaminations est imputable à des réinfections par la même souche COVID19. Au moins je sais pourquoi je n'achèterai pas de ce "vaccin"-là -- tout en continuant gaiement à faire les autres vaccins et rappels
si un seuil d'immunité collective "effectif" a été atteint dans une population respectant (même imparfaitement) des mesures barrière, il correspond à une valeur plus basse du taux de reproduction.
Par exemple, si R était initialement de 3 et qu'il a baissé de moitié grâce aux mesures barrière, le seuil n'était plus que de 33% au lieu de 66%. Mais une fois ces mesures supprimées, le seuil remonte à 66%, ce qui permet un rebond de l'épidémie si par exemple seulement 40 à 50% de la population avaient été infectés auparavant.
Quant aux réinfections, il faudrait vraiment que des études sérieuses soient menées au-delà des quelques cas qui ont été documentés : dans des pays ou régions dont un pourcentage important de la population a été infectée durant la première vague et qui subissent maintenant une deuxième vague, si la probabilité de réinfection est importante, il devrait commencer à y avoir suffisamment de cas pour que ce soit mesurable. Et aussi pour qu'on puisse en tirer des statistiques sur la gravité des cas de réinfection (est-ce que le pourcentage d'asymptomatiques ou de paucisymptomatiques augmente ?).
Encore faudrait il savoir si on peut être ré-infecté par la même souche, ou obligatoirement par une souche différente.Pas forcément des réinfections :
si un seuil d'immunité collective "effectif" a été atteint dans une population respectant (même imparfaitement) des mesures barrière, il correspond à une valeur plus basse du taux de reproduction.
Par exemple, si R était initialement de 3 et qu'il a baissé de moitié grâce aux mesures barrière, le seuil n'était plus que de 33% au lieu de 66%. Mais une fois ces mesures supprimées, le seuil remonte à 66%, ce qui permet un rebond de l'épidémie si par exemple seulement 40 à 50% de la population avaient été infectés auparavant.
Quant aux réinfections, il faudrait vraiment que des études sérieuses soient menées au-delà des quelques cas qui ont été documentés : dans des pays ou régions dont un pourcentage important de la population a été infectée durant la première vague et qui subissent maintenant une deuxième vague, si la probabilité de réinfection est importante, il devrait commencer à y avoir suffisamment de cas pour que ce soit mesurable. Et aussi pour qu'on puisse en tirer des statistiques sur la gravité des cas de réinfection (est-ce que le pourcentage d'asymptomatiques ou de paucisymptomatiques augmente ?).
Et les gens l'ayant eu une première fois ne sont ils pas plus enclins à la prudence par la suite ?
Et la durée de l'immunité n'est elle pas variable d'un individu à l'autre ?
Trop d'inconnues pour tenter l'ébauche d'une étude sur le sujet. Peut être dans un an ?
Les météorites ne peuvent exister car il n'y a pas de pierres dans le ciel. Lavoisier.
Tout faux.
Il est évoqué comme excuse que ce sont simplement des cas qui "n'étaient pas vraiment guéris". Ca n'ira jamais plus loin. La seule situation où on ne peut aucunement utiliser ce prétexte, ce sont les réinfections à souches multiples -- parce qu'on ne peut pas évoquer que le virus "vooouuuaaaiis il était caché dans un recoin du malade et pouf ! il est réapparu" vu que la souche justement c'est pas la même. Ca n'ira jamais au-delà, ce serait anti-démagogique que de dire aux gens "vous étiez guéri mais pas de bol, vous rattrapez la même saloperie à quelques semaines d'intervalle". Ca voudrait dire soit que les gens sont trop bêtes pour se garder d'un truc qu'ils ont déjà attrapés, soit que le fantasme de l'immunité collective... n'est pas fiable ou même viable. Dans les deux cas, ça criera ou au complot scientifique, ou à l'injustice. La plupart des gens pensent qu'une fois qu'ils ont attrapé une saleté, ils n'ont définitivement pas/plus besoin d'être prudent (le fameux biais du survivant...).
Mais je ne m'en fais pas : les gens continueront de s'infecter dans leurs cercles infestés de fausse "intelligence" -- dans les nombreux sens qu'on peut prêter à ce mot, y compris du faux "savoir-vivre" (ou savoir faire-subir son laisser-aller, selon).
Il y a déjà des cas documentés de réinfection par la même souche.Encore faudrait il savoir si on peut être ré-infecté par la même souche, ou obligatoirement par une souche différente.
Et les gens l'ayant eu une première fois ne sont ils pas plus enclins à la prudence par la suite ?
Et la durée de l'immunité n'est elle pas variable d'un individu à l'autre ?
Trop d'inconnues pour tenter l'ébauche d'une étude sur le sujet. Peut être dans un an ?
Et au contraire, je pense que la plupart des gens sachant qu'ils ont eu le Covid (et s'en étant remis sans séquelle) ont plutôt tendance à se croire protégés. A tort ou à raison.
Quant à la durée de l'immunité (au moins la présence des anticorps), elle est effectivement très variable. Mais de manière générale, au bout de 3 mois les anticorps ne sont plus détectables chez la grande majorité des patients.
C'est plutôt sur les cellules T qu'on compte pour une immunité plus durable, mais sans-doute seulement partielle : atténuant les symptômes, mais n'empêchant pas forcément une personne infectée d'être contagieuse (on n'en sait rien; donc effectivement on ne peut pas compter là-dessus pour qu'une immunité collective soit mieux que temporaire).
Prouve-le. Avec des références sérieuses si possible.
Et arrête un peu tes diatribes, qui ne peuvent que rebuter ceux qui se posent sincèrement des questions et sont prêts à accepter des arguments allant dans le même sens que les tiens, quand ils sont présentés de manière plus calme. Il me semble que personne ici ne dit qu'il faut abandonner les mesures barrière et laisser circuler le virus. Perso, ça fait plus de deux mois que je tire le signal d'alarme.
Alors franchement, voilà ce que je retiens d'expériece de l'argument "sont prêts à accepter des arguments allant dans le même sens que les tiens quand <on dit seulement ce qui leur fait plaisir et qu'on ne les contrarie pas même s'ils ont tort>" : c'est moins une question de politiquement correct que de démagogie. J'avoue ne pas exceller dans ce domaine. J'ai longuement analysé et argumenté y compris dans ces forums, y compris à coup de références et d'autant plus que j'ai pu voir des tas de "contre-arguements" du style "oui mais moi je pense/crois/opine que... et ma liberté d'expression/croyance d'abord" ou d'autres genre "2 + 2 ça ne peut pas faire 4 sinon on serait nombreux à avoir tort" -- si si, y'a des arguments de ce style même dans ce sous-forum et même ce fil, il suffit de ne pas être un crack en science pour balancer des fausses "évidences" ou même se croire au-dessus des vrais experts qui ont de longue date prévu une deuxième vague. Je ne comprends même pas que des journaux parlent de "surprenante brutalité" ou de "suprenant retour du COVID19" et autres fausses surprises. Ou plutôt je conçois que les mots font vendre, tant que ça flatte la médiocrité.
Je suis devenue cyniquement pour l'arrêt complet de l'obligation des gestes barrières. Ca m'obligera à prendre des précautions supplémentaires mais au moins je pourrais lire des gens plus raisonnables sur ces forums plutôt que des fascistes simplement anti-sciences venus s'épancher ici par "dissidence" ovinesque. De toute façon, ce n'est pas une question de science mais de politique, dont l'Education. Education qui était déjà déplorable quand j'étais jeune. Mais vu le taux d'analphabétisation actuel (dont nos natifs et quelle qu'en soit la couleur, et qu'ils soient des villes ou des campagnes, ou même bachelier ou pas) y compris en études supérieures (le comble !), ce n'est pas étonnant que les études relèvent des difficultés à comprendre un texte long, pire encore des publications analytiques nullement portée sur l'émotionnel ou le sensationnel.
On ne me fera pas croire que des gens qui ne savent déjà pas ce qu'est la théorie synthétique de l'évolution, voir qui la rejettent, seraient à même d'appréhender ou au moins vaguement comprendre ce qu'est un virus et comment remédier à une pandémie. On me fera encore moins croire qu'on puisse les faire librement adhérer à des consignes sanitaires, surtout quand ils ont déjà du mal avec les vaccins obligatoires pour éviter des mortalités infantiles dignes du XIXe siècle. On ne me fera pas croire que de tels trolls seront sensibles à des arguments sensés, puisqu'au mieux ils comprennent qu'ils ont tort or un troll va par définition exister en causant du tort (que ce soit par plaisanterie, par ignorance (éventuellement revendiquée avec fierté comme si c'était une qualité plutôt qu'une faute), par jalousie, etc).
Je peux bien présenter une fois encore des tas de publications. Ceux qui les lisent, voire ceux qui les comprennent, ils ne sont finalement pas si nombreux. Ce ne sont pas d'ailleurs eux qui postent le plus, car une fois la logique entendue, pas besoin de noyer les arguements dans le flots d'autres posts. Ceux qui ont posté le plus sur ce fil, les 90% de bruit, sont finalement sans pertinence (je rejoins l'opinion d'autres participants à ce propos). Je vais être un peu paresseuse et laisser les gens... penser. Qu'ils pensent à tort et à travers. Après tout ils ne liraient pas les publications (pas plus qu'ils ne les ont lues jusqu'ici) -- et m'opposeraient de toute évidence du "2 + 2 ça ne peut pas faire 4, sinon on serait nombreux à avoir tort".
Je n'ai pas connaissance de quelconques manifestations pro-masque (les personnels médicaux et para-médicaux ne comptent pas, puisqu'ils sont minoritaires) et encore moins d'une forte pression de l'opinion publique pour faire respecter les gestes barrières, bien au contraire. Je pense qu'il faut les laisser penser anti-masque et se contaminer/tuer entre eux, plutôt que s'interposer entre un ours mal luné et une charogne même contaminée par la rage. Que ceux qui le veulent ; se protègent, et les autres pourront toujours donner raison aux dictatures par destruction du respect, du savoir-vivre et surtout de tout ce qui reposait dessus (Liberté, Egalité, Fraternité).
PS : Prouvez-moi que l'absence de geste barrière peut enrayer l'épidémie. Prouvez-moi qu'il est impossible par ailleurs de se réinfecter avec la même souche COVID19. Ca ne devrait pas être difficile, non ?
Mais à qui crois-tu t'adresser ? As-tu vu dernièrement parmi les intervenants sur ce forum des militants anti-gestes barrière ?
Quant à possibilité d'être réinfecté par la même souche je n'ai jamais dit qu'elle n'existe pas, puisqu'il y a des cas documentés. Je demande simplement si on dispose de données permettant d'en quantifier la probabilité (ce n'est pas la même chose si c'est 1 cas pour 1 million au bout de 6 mois ou si c'est 10%; et aujourd'hui je n'en sais rien. Toi si ?).
Toi tu penses qu'elle devrait se faire sur la volonté de renoncer aux faibles libertés qu'il nous reste.
Mais l'unité face à l'adversité peut aussi se faire sur la volonté de mettre fin à toutes ces décisions liberticides pour retrouver nos libertés individuelles quel qu'en soit le prix à payer.
En plus de chercher un vaccin il serait peut-être bon de chercher un masque qui protège son utilisateur, de façon à ce qu'il ne soit plus opposable d'infliger à ceux qui ne veulent pas en porter d'en porter un pour protéger les autres.
Avec un tel masque, chacun serait donc libre de sa propre sécurité avec le choix de se protéger ou non comme c'est le cas pour beaucoup de nos choix de vie ( sport extrême, cigarette , alcool, bricolage, etc )
Le cancer qui fait près de 200000 morts chaque année en France n'affecte pas pour autant notre économie pourquoi en serait-il si différent pour le COVID-19
@yves95210
Ah bon ? Pas de poste anti-geste-barrière ?
Pour ce qui concerne la réinfection, je n'ai pas vu de taux mais des temps (en semaines pas en "mois", faudrait que je retrouve ça).
Je pense qu'il n'y a pas une seule phrase qui ne soit pas un grand moment de nawak/yakafokon et autres mais juste un détail : le cancer n'est pas contagieux et n'a pas de croissance exponentielle.Toi tu penses qu'elle devrait se faire sur la volonté de renoncer aux faibles libertés qu'il nous reste.
Mais l'unité face à l'adversité peut aussi se faire sur la volonté de mettre fin à toutes ces décisions liberticides pour retrouver nos libertés individuelles quel qu'en soit le prix à payer.
En plus de chercher un vaccin il serait peut-être bon de chercher un masque qui protège son utilisateur, de façon à ce qu'il ne soit plus opposable d'infliger à ceux qui ne veulent pas en porter d'en porter un pour protéger les autres.
Avec un tel masque, chacun serait donc libre de sa propre sécurité avec le choix de se protéger ou non comme c'est le cas pour beaucoup de nos choix de vie ( sport extrême, cigarette , alcool, bricolage, etc )
Le cancer qui fait près de 200000 morts chaque année en France n'affecte pas pour autant notre économie pourquoi en serait-il si différent pour le COVID-19
Tu es encore parfaitement libre de lire un peu pour t'informer et comprendre cette différence fondamentale et son impact sur le système de santé tout comme il se trouve que tu es parfaitement libre de raconter absolument n'importe quoi sur Internet malgré le fait que tu croies vivre dans un système liberticide parce que tu confonds cela avec "société où je ne peux pas me comporter en égoïste complet".
Je le sais mh34, ma fille est infirmière dans un service de réanimation avec de plus en plus de cas COVID. Ils ont la chance dans son service pour l'instant depuis le début de l'épidémie de ne manquer de rien et n'ont eu aucune contamanation de soignants dans son service avec plus de 200 cas COVID passés à ce jour.
Certes ces masques sont inconfortables mais ils existent et sont à même d'assurer la protection de ceux qui les portent si les autres gestes barrière sont effectués.
Sont-ils améliorables pour les rendre plus confortables ?
Pourquoi ne pas en doter les personnes qui le souhaitent et laisser les autres libres de se contaminer si elles veulent prendre ce risque ?
Ce sont des choix qui sont quotidiennement dans nos activités courantes.
A partir du moment où il existe un équipement capable d'assurer la protection d'une personne même s'il est inconfortable, pourquoi vouloir imposer à tous cet équipement.
A chacun de savoir s'il est prêt à prendre le risque de rentrer dans un métro bondé sans mettre un masque à partir du moment où il ne contamine pas les autres.
Pour ma part je ne serais pas suffisamment stupide pour m'en passer en classe avec 30 gamins pendant 5 à 6 heures par jour
Dernière modification par arbanais83 ; 27/10/2020 à 18h07.
Je connais aussi des infirmières -- plein ! Même que certaines se plaignent que leur famille (tout ou patie) soient des anti-masque et anti-geste-barrière. J'en connais une qui a même écourté radicalement ses vacances chez son père à la suite de quelques piques (de la part de son père) quand elle faisait appliquer les gestes barrières à ses filles.
Bref, invoquer un proche ou une connaissance travaillant dans la santé, ça ne donne pas plus d'autorité ni de logique (surtout anti-masque) quand bien même on le voudrait très fort.
En partie seulement si les personnes ayant des commorbidités utilisent ces masques associés aux gestes barrières elle n'encombreront plus les réa et même si les jeunes ne les utilisent pas se croyant invulnérables, ce ne sont pas eux qui ont le plus de probabilité d'encombrer les réa même si certains finissent par y aller quand même.
On culpabilise les jeunes en leur disant qu'ils peuvent être contaminants pour les personnes fragiles mais on oublie de dire que les personnes fragiles ont elle aussi la possibilité de se protéger mieux.
Ma femme est BPCO comme son père et sa mère pour autant elle aussi considère que les mesures d'atteinte aux libertés individuelles vont trop loin.
Par contre si on veut mettre le sanitaire en avant, elle n'a pas vraiment compris que les masques jugés absolument necessaires aux personnes fragiles pris en charge au début par la sécu ne le soit même plus aujourd'hui et il en est de même pour les masques fournis aux médeçins de ville. Face à toutes ces décisions pas toujours très logiques, il y a de quoi douter des décisions prises. Bon après on trouve effectivement des masques jetables ( qui sont loin d'être systématiquement jetés ) sur les marchés aux puces toujours autorisés à 3 euros les 50, il s'en vend par des palettes entières chaque WEEK-END.
Dernière modification par arbanais83 ; 27/10/2020 à 18h28.
peu importe ; si le port d'un masque peut permettre qu'il y ait moins de surcharge en réa, il faut le faire. C'est tout. IL n'y a même pas à discuter.En partie seulement si les personnes ayant des commorbidités utilisent ces masques associés aux gestes barrières elle n'encombreront plus les réa et même si les jeunes ne les utilisent pas se croyant invulnérables, ce ne sont pas eux qui ont le plus de probabilité d'encombrer les réa même si certains finissent par y aller quand même.
Dernière modification par mh34 ; 27/10/2020 à 18h31. Motif: mauvais choix de verbe
Pour moi les masques, c'est comme les protections féminines hygiéniques, maintenant. Je sais ce que j'utilise, je sais que c'est un budget mais pas de quoi non plus m'empêcher de vivre, et de toute façon je préfère que la Sécu rembourse les (trop) nombreuses hopitalisations plutot que voir des gens se faire rembourser des masques qu'ils portent mal ou ne veulent pas porter de toute façon.
Je dirais même qu'il faut que les gens ne soient pas remboursés, sans quoi ils ne vont pas comprendre que la santé a un prix -- tellement plus cher dans d'autres pays !
Avoir des fragilités, on en a tous quelque part. BPCO c'est peau de balle comparé à un de mes voisins qui avait une mucoviscidose sévère quand j'étais jeune. De toute évidence il ne faut pas un masque dans ces situations, mais s'isoler parce que tout le monde leur tousse dessus alors à moins de se ballader en T3P, le masque remboursable ou remboursé (et du type pas cher, comme pour les lunnetes) sera clairement insuffisant, même s'il a son utilité.
Dans ce cas il faut aussi avoir la logique de pousser jusqu'au bout plutôt que d'évacuer d'un revers de main toute discussion.
Il faut interdire les sports extrêmes eux qui déplacent les pompiers, les hélicoptères chaque jour en montagne l'été, interdire la cigarette et l'alcool qui fournit elle aussi jour après jour des clients aux urgences, interdire le bricolage à domicile qui a les mêmes conséquences et tant d'autres choses. C'est la logique de cette différence qui de mon point de vue me semble discutable.
Franchement on ne se tape pas les accidents de sports extrême à moins de le vouloir. Par contre même sans vouloir tomber malade, on peut.
Mais je pense qu'il ne faut plus chercher à raisonner les anti-masques. Ca ne sert plus à rien, la vague est là, et ça reviendra encore et encore.
Comme pour le changement climatique, ne plus chercher comment prévenir mais apprendre à vivre avec, désormais.