En quoi cela valide celui-(ci ?
Quel intérêt ont ces traitements dans l’efficacité de celui proposé ?
Quel rapport ?
Ceci dit, vous répondez complètement à coté: ou est la preuve d'efficacité qui a largement eu le temps d'être apportée en 10 ans ?
Le fait qu cotre argument, au mieux, ne fait que prouver son inefficacité vu que l'utilité est constamment mise en avant.
Je sens que cet argument va être ignoré ou réinterprété comme la totalité des autres.
Des vies sont très souvent en jeu parce qu'il y a plein de maladies mortelles, sinon on n'aurait pas besoin de faire de traitements pour les sauver. Rien de nouveau dans cet argument.
Peut être, peut être pas, et alors ?
Le fait est que la façon dont c'était présenté soulignait une méconnaissance des sujets.
Peut être, peut être pas mais jusque la, vos messages refaisaient la science, la médecine avec une conviction aussi importante que la méconnaissance qu'ils exprimaient.
Voir une question à la place de ces affirmations péremptoires est nouveau...
Ah, donc l’argument, c'est qu'on doit s'en remettre au bol, de plus, au bol estimé, estimé selon on ne sait qui ni quels critères, d'un homme politique étranger sur des résultas qui n'ont pas été évalués dans le temps...
Juste l'exact reflet de ce que méritent les affirmations publiées ; pas d'argument valide, bottage en touche, jamais de réponses logiques, ignorance sur le fond des réponses qui vous sont faites, argument d'autorité faisant appel à la chance présumée de Trump...
La condescendance, c'est non seulement une interprétation de votre part mais si c'est ça, c'est vraiment gentil.
Oui, précisément et je répète donc: en médecine comme en pharmacologie, des promesses depuis longtemps, 10 ans, se concrétisent, sinon, c'est que ce ne sont que des promesses qui ne seront jamais tenues (plus clairement, c'est c'est du pipeau car il y a largement eu le temps de faite toutes les études nécessaires pour valider les "promesses").
Ben si, j'en ai cité au moins un dans ce fil (message 1033) et peut être vous une autre au message 1032, c'est à dire qu'en lisant vos message on peut lire son contraire dans un autre.
ceci dit, il y en a eu pas mal d'autres que je ne prendrais pas la peine de rechercher, bien que facilement trouvable, vu que vous ignorerez encore la réponse comme vous avez ignoré les précédentes (dont la votre propre réponse, donc si vous croyez lire de la condescendance vous voyez que votre prose ne mérite pas tant de sympathie) ; ne serait-ce que pour affirmer avec aplomb et en gras une nouvelle monumentale erreur.
Ce n'est pas le SRAS actuel dont, je suppose, vous parlez. Un virus n'est pas égal à un autre, une épidémie n'est pas égale à une autre et on ne fait pas pour l'un et l'une ce qu'on ferait à l'autre.
Oui, la science demande un minimum de rigueur...
Et on ne vous a pas attendu pour traiter les patients ; vous croyez que les médecins glandent, font de la figuration, n'ont pas de connaissances qui permettent de soigner des viroses, des pneumopathies, quelles que soient leurs causes, en faisant de la médecine qui s'attache au patient et à leur état.
Et le SRAS précédent à permis d'avoir des connaissances qui s'appliquent aux SRAS, pour les soigner avec un tas de trucs que font les médecins...
j'ai pas accès à ton lien du message 1033.
J'ai regardé sur internet je vois aucun essai clinique sur des infectés pour MERS-CoV et SARS-CoV (2002)
les essais cliniques concernent des essais de vaccins avec virus inactivé.
en revanche j'ai trouvé ce doc intéressant https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3322802/
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