Merci du jugement qui incite à répondre cordialement...et jugement qui est fait sans me demander des précisions, alors vous pouvez comprendre le post que vous citez d'une façon, mais pour dire que je suis de mauvaise foi vous auriez pu vous assurer que votre faon corresponde à ce qui est cité.
Je parlais de mon étonnement sur 2 points:
1- Celui du journaliste.
2- Celui de la modération.
Je n'ai pas dit le contraire ni même dit qu'il n'y avait pas de problèmes. Vous pouvez être soulagé, c'est compréhensible et cela vous regarde. Cela ôte la possibilité de vulgariser, ce que vous faisiez jusque là, même avec avec exaspération.Tous les débats tournent en rond et on est amené à répéter encore et encore la même chose mais en général ce n'est pas pris en compte. Je pense que tu n'imagine pas le temps et l'énergie que ça prend de reprendre chaque message, de supprimer encore et encore les mêmes messages, d'essayer de rééxpliquer les bases de la science à chaque fois et de voir en retour les mêmes arguments biaisés, les mêmes chiffres mal utilisés, les "intuitions" plutôt que les faits... Je ne parle même pas des raisonnements complotistes. Modérateur c'est du bénévolat, il faut le faire en plus de notre vie pro et privée donc oui ça peut être fatiguant.
Le rôle du journaliste est donc de diffuser de l'information en rapport aux problèmes qu'elle peux causer sur la modération? Je ne comprends pas, d'où mon étonnement et ma question.Non, le reste regarde aussi le journaliste. Tu ne veux quand même pas reprocher à un journaliste de savoir ce que donne son travail, les impacts de son article ? C'est une démarche plutôt professionnelle
Justement ce n'est pas "si il n'y a rien de nouveau" mais "même si il y a une nouvelle étude, l'information ne sera pas donnée", ce qui ôte la possibilité de vulgariser avec les réserves qui s'imposent.A quoi bon poster des articles s'il n'y a rien de nouveau à part alimenter cette gueguerre médiatique ?
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