Bonjour,
Voici une référence qui pourra t'intéresser : Diverse local epidemics reveal the distinct effects of population density, demographics, climate, depletion of susceptibles, and intervention in the first wave of COVID-19 in the United States.
Extrait de l'abstract :
Plutôt que la température, ce serait l'humidité (ou la combinaison des deux) qui jouerait un rôle. Ce n'est pas trop surprenant compte-tenu des principaux modes de transmission du virus (gouttelettes et aérosols).We consider the entire set of local epidemics in the United States; a broad selection of demographic, population density, and climate factors; and local mobility data, tracking social distancing interventions, to determine the key factors driving the spread and containment of the virus. Assuming first a linear model for the rate of exponential growth (or decay) in cases/mortality, we find that population-weighted density, humidity, and median age dominate the dynamics of growth and decline, once interventions are accounted for.
J'avais lu des articles évoquant une analyse des données françaises par des météorologues allant dans le même sens (par exemple https://www.francebleu.fr/infos/sant...teo-1608307346).
image_2021-02-01_075155.png
image_2021-02-01_075802.png
-----



) , et comme dit Obi, être confirmé par la même étude faite sur des régions ou des périodes statistiquement indépendantes, pour voir si on la retrouve avec les mêmes décalages. Sur un seul résultat, on peut facilement être trompé (de bonne foi) par ce qu'on cherche.
.
, bref)) puisque le virus s'adsorbe sur les particules en suspension dans l'air et ainsi "survit" (pour un truc inerte c'est le must