Bonjour à tous.
Le variant Breton est mis sous surveillance. A priori, il n'est pas plus dangereux que la forme classique, mais il présente un inconvénient majeur : il n'est pas détectable au test PCR. Comment, dés lors, pourra-t-on évaluer son taux de contamination ?
Les météorites ne peuvent exister car il n'y a pas de pierres dans le ciel. Lavoisier.
nuance : il n'était pas détectable. Mais on va certainement produire des amorces qui permettront de le détecter.
C'est si facile que cela ? Et avec la même efficacité ?Envoyé par MissJenny
Les météorites ne peuvent exister car il n'y a pas de pierres dans le ciel. Lavoisier.
Si la PCR ne le détecte pas c'est qu'il doit avoir des mutations dans la séquence qui s'accroche aux amorces (dans le jargon on dit "primers") qu'on met dans la soupe pour amplifier l'ADN. Mais maintenant qu'on connaît ces mutations (puisque ce mutant a été identifié) il suffit de produire, soit des amorces spécifiques audit mutant breton, soit des amorces suffisamment dégénérées pour accrocher tous les variants (connus).
OK, merci pour ces explications.
Les météorites ne peuvent exister car il n'y a pas de pierres dans le ciel. Lavoisier.
Hé bien on fera comme avec la première souche sans tests : voir la proportion d'entrées en réa l'ayant contracté vs d'autres souches.
\o\ \o\ Dunning-Kruger encore vainqueur ! /o/ /o/
Bonjour MissJenny,
Une autre explication a été avancée:
https://sante.journaldesfemmes.fr/fi...le-mort-deces/Pourquoi les tests PCR étaient négatifs ?
Le variant breton n'a pas été détecté par les tests PCR nasopharyngés au CHU de Lannion. Non pas à cause de la méthode de test mais parce que "les patients n'en excrètent pas au niveau du nez" a expliqué le Pr Tattevin. Le virus n'était ainsi pas présent dans la muqueuse nasale des patients infectés. "Le diagnostic a pu être fait par la sérologie ou la réalisation de RT-PCR sur des prélèvements respiratoires profonds" rapporte la DGS.
ah, je n'avais pas pensé à ça. Mais du coup ce variant est peut-être moins neurotropique, ça serait une bonne nouvelle.
...Oui, mais pas pour la détection, ce qui relance ma question initiale. Sait on si le virus était présent dans la salive des patients ?
Les météorites ne peuvent exister car il n'y a pas de pierres dans le ciel. Lavoisier.
Il faudrait savoir si il était détectable lors de leurs premier symptômes, bien avant qu'ils soient dans un état critique (et le virus détectable par PCR uniquement dans des prélèvements de liquide bronchoalvéolaire) : il me semble que dès le printemps 2020 (et donc pour la souche historique du virus) on entendait parler de cas dans lesquels le test PCR sur les prélèvements nasopharyngés était négatif, en particulier à un stade avancé de la maladie - stade auquel les patients de l'hôpital de Lannion se trouvaient probablement déjà lorsqu'ils ont été testés puisqu'ils sont tous décédés.
Je connaissais le palu breton, mais alors le variant breton ... là .....
En tout cas le variant breton donne une autres explications.
https://forums.futura-sciences.com/c...-bretagne.html
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
Bonjour,
On parle de variants en les précisant par leur origine.
En s'y dirigeant, cela donne :
Anglais : en Angleterre, c'est le variant du Kent.
Brésil : variant d'Amazonie.
Bretagne : variant de Lannion (on ne connaît pas encore le quartier) aurait pu tout simplement être le variant Breizhilien.
Il y a ceux de New York, Californie etc.
Il paraît qu'un virus mute en fonction du nombre de contamination.
Un peu comme les mauvaises herbes qui s'implantent dès qu'elles trouvent un terrain adapté.
