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Le nucléaire : ses risques & ses avantages



  1. #31
    Damon

    Certe le méthanol pose aussi ses propres problèmes, mais en utilisation en pile à combustible, il offre de gros avantages (manutention aisée) par rapport à l'hydrogène.

    Pour ce qui est des risque de pollution, je ne les pense plus élèvé que pour le pétrole ou le gaz qui de surcroît eux doivent être transporter sur de grande distance et subir dans le cas du pétrole un raffinage, lui aussi coûteux en énergie.
    Pour l'éthanol, je ne sais pas ce qu'il en est.

    Je n'ai pas dit qu'il ne fallait pas également explorer et utiliser aussi la biomasse.

    Je vous plutôt solaire thermique + photovoltaïque non stocké (surplus réinjecté en réseau)
    Le problème et que dans le cas dont je parle (superficie de tous les toits couverts) cette réinjection en réseau est perdue, les pics de production (~12H) et de consommation (~20H)ne sont pas les mêmes, donc cette réinjection réseau est soit perdue soit doit être stockée.

    Il est actuellement techniquement possible de se passer du nucléaire (ainsi que je l'ai démontré) par contre économiquement ça ne l'est pas et c'est un truisme...
    Cependant une solution sans nucléaire (ou juste du nucléaire médical, évitons de parler du militaire) est possible, est à terme la seule raisonnable.

    Je ne dis pas qu'il faut stopper le nucléaire maintenant, je dis qu'il existe techniquement une solution de remplacement et que pour ne pas recommencer à construire de nouvelles centrale d'ici 10-15 ans c'est maintenant qu'iol faut y penser.

    Je pense que notre malentendu vient du fait que tu raisonnes sur un mode de transition, tandis que je raisonne sur une "solution" effective.

    Damon

    -----
    Un EeePc ça change la vie !

  2. #32
    invitea684ecee

    Désolé, mais je ne vois pas de solution possible pour remplacer le nucléaire, à moins de recourir aux centrales thermiques. Il y a toujours un besoin de fournir une grande quantité d'énergie 24/24h, il n'y a pas que les résidences qui consomment de l'électricité, mais des usines très fortement consommatrices d'électricité dont certaines tournent à plein régime la nuit. Si l'Allemagne est sortie du nucléaire, c'est qu'elle n'a pas besoin de remplacer ses centrales nucléaires existantes (qui continuent à fonctionner pourtant, malgré la sortie du nucléaire) au moins pour 10 ans, donc pas de problème sur cette durée là.

  3. #33
    invite7634ea65

    salut
    pour le stokage de l'electricité cela existe d'une autre manière:
    dans les périodes de surplus, remonter de l'eau dans un barrage pour la turbiner pendant les heures de pointe,je ne connais pas rendement de ce systeme et je reconnais qu'il n'est pas applicable partout.
    pour le chauffage il existe aussi les pompes à chaleur (en dehors de la geothermie)qui couplées au chauffage au sol (basse t°) fonctionnent très bien,en plus çà fait clim' l'été...

  4. #34
    invite7634ea65

    bonjour
    risque du nucléaire . nous prend on pour des c..? ops:
    http://www.sortirdunucleaire.org/mai2003/cp260503.htm

  5. #35
    Damon

    J'ai commandé les copies des documents internes EDF.

    J'attends de lire cela avec impatience.

    Damon
    Qui fut un défenseur du nucléaire... il y a longtemps.
    Un EeePc ça change la vie !

  6. #36
    Cécile

    Moi aussi, je viens de demander ces documents.
    J'attends de voir aussi si l'Autorité de Sûreté Nucléaire pliera ou pas.

  7. #37
    invited8700cbd

    Bonjour à tous
    risque du nucléaire !!!!!!!!
    oui il est bien là , il fait maintenant partie de notre vie
    Demain les centrales disparues , il sera toujours present

    Demain ce risque augmentera avec la privatisation des centrales (rentabillite oblige)
    pour ce qui est du remplacement aujourd' hui !!!!!!!!!!
    par quoi ? solaire, eolienne ou tout autre source nouvelle faut pas rêver
    vu la demande en energie sans cesse en augmentation dans nos foyers
    He oui connection internet en fait partie........
    d"autre part quand EDF redemarre des centrales thermiques c' est essentiellement pour fournir de plus en plus d' energie pour la France mais sourtout pour les autres pays de l' Europe ou il s' est positionne comme principale fournisseur apres les fournisseur locaux.
    Salut
    A+

  8. #38
    Cécile

    Oui, tu as raison.
    Mais plus il y aura de centrales et plus le risque sera grand (même si, je pense, il reste minime). Donc il faut multiplier les énergies renouvelables, même si elles ne pourront pas tout faire, et surtout essayer de diminuer notre consommation. Cela ne se fait pas forcément en diminuant notre confort, mais avec quelques bonnes habitudes, et aussi avec des améliorations techniques (un écran plat d'ordinateur, par exemple, consomme beaucoup moins qu'un écran standard).
    A +

  9. #39
    Damon

    L'un de vous a-t-il reçu les documents de l'ASN, pour ma part rien du tout

    Une autre preuve qu'en plus d'être non maîtrisé, le risque n'est pas géré.

    Citation Envoyé par [url=http://www.lefigaro.fr/sciences/20030711.FIG0258.html
    Le Figaro 12/07/2003[/url]]
    NUCLÉAIRE : Un programme international se penche sur la situation sanitaire des zones contaminées.
    Tchernobyl : les enfants biélorusses atteints par des maladies de «vieux»
    Dix-sept ans après la catastrophe de Tchernobyl, le programme de coopération internationale pour la réhabilitation des territoires contaminés de Biélorussie (Core) devrait bientôt être lancé à l'initiative du comité Tchernobyl de Biélorussie (Komchernobyl). La stratégie de ce programme devrait être adoptée jeudi à Minsk par les représentants de quatre districts concernés, le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), l'Unesco, la Commission européenne, plusieurs ambassades d'Europe occidentale dont la France, ainsi que le comité Core. Il comprend un important volet sanitaire alors même que les médecins locaux relèvent de nombreuses pathologies chez les enfants, inhabituelles chez des personnes de cet âge. «Les enfants ont des maladies de vieux», entend-on souvent dire là-bas. C'est la première fois que des experts occidentaux, avec notamment Médecins du monde, travailleront sur cette problématique, en étroite collaboration avec les médecins biélorusses. Ces études devraient permettre de connaître les maladies dont ils souffrent et de savoir si elles sont dues à la contamination radioactive chronique. Cette question fait aujourd'hui l'objet de multiples controverses dans le milieu scientifique.
    Yves Miserey
    [12 juillet 2003]



    La Biélorussie est le pays qui a été le plus contaminé par les retombées de l'explosion de la centrale de Tchernoby, survenue le 26 avril 1986. Dans plus de 23 % des terres (48 000 km², soit un peu plus que la superficie de la Suisse), les dépôts de césium 137 sont en moyenne supérieurs à 1 curie au kilomètre carré, soit dix fois ou vingt fois plus que les retombées enregistrées en moyenne en France. Près de 1,7 million de personnes vivent là-bas dans des conditions extrêmement difficiles. Une partie de la population ayant préféré déménager, la plupart des infrastructures ont été désorganisées. L'activité économique est quasi nulle en raison de la contamination et suite aussi à l'effondrement de l'Union soviétique.

    Les fonds alloués aux zones contaminées n'ont pas cessé de diminuer. Le gouvernement biélorusse ne consacre plus que 7 % du budget national aux territoires contaminés au lieu de 20 % dans les années 1990. «L'essentiel de l'aide internationale est consacré à la centrale de Tchernobyl et pas aux populations», souligne aussi Gilles Hériard Dubreuil, qui anime le comité européen de partenariat européen de Core et qui fut coordinateur du projet européen Ethos conduit dans un village biélorusse de 1996 à 2001.
    Pour ne rien arranger, la situation politique freine aussi l'engagement des ONG et des organismes internationaux. Les droits de l'homme et les libertés fondamentales sont bafoués. Le président Alexandre Loukachenko, héritier des méthodes soviétiques, gouverne le pays d'une main de fer.
    C'est ainsi par exemple que jeudi il a limogé son premier ministre Guennadi Novitski ainsi que plusieurs autres responsables gouvernementaux, en les accusant d'être responsables des difficultés actuelles.

    La situation sanitaire est préoccupante. Les médecins des zones contaminées signalent que nombre d'enfants ont des pathologies rares pour leur âge et autres que les cancers normalement liés à la radioactivité: ulcères, complications cardio-vasculaires, gastrites, problèmes thyroïdiens, etc. Sur place, personne n'a encore réellement pris en charge ces problèmes. Youri Bandajevsky, spécialiste de médecine nucléaire, a été le premier à étudier ces pathologies. Mais il n'a jamais publié les résultats de ses recherches dans une grande revue (expériences sur les rats, autopsies, etc.). Il a été condamné en juin 2001 par un tribunal militaire à huit ans de prison pour détournement de fond. En fait, il semble plutôt qu'il a eu la mauvaise idée de dénoncer l'inefficacité et la corruption du pouvoir en place. La France tout comme la plupart des grandes ONG militant pour la défense des droits de l'homme n'ont eu de cesse de demander sa libération. En vain.

    Les pathologies observées dans les zones contaminées sont-elles dues aux retombées de l'explosion du réacteur de Tchernobyl ou à la situation catastrophique qu'elle a entraînée? Les lobbies pro et antinucléaires s'affrontent sur cette question sans réelles avancées depuis plusieurs années. D'un côté, on trouve par exemple l'Académie biélorusse de médecine qui minimise l'ampleur des phénomènes observés ou l'Académie de médecine de Paris qui explique ces pathologies par l'alcoolisme ou le tabagisme, voire le suréquipement en appareils de mesure fournis par les firmes occidentales au moment de l'accident. De l'autre, on trouve ceux qui attribuent systématiquement ces maladies aux retombées de Tchernobyl.

    «L'histoire se répète, analyse Jacques Lochard, du comité Core. Pour Hiroshima et Nagasaki, il aura fallu attendre vingt ans avant de se mobiliser. C'est la même chose aujourd'hui pour Tchernobyl.» Le principe de précaution commande que des études soient menées sur le terrain sur cette problématique. «On ne peut pas préjuger de ce qu'on va trouver mais il faut absolument étudier ce qui se passe», assure l'expert. «Ce n'est pas normal de vivre sur d'aussi longues périodes à de tels niveaux de radioactivité.»

    On ne sait rien encore sur l'impact de la contamination chronique par le césium 137 chez l'homme. Jamais avant l'accident de Tchernobyl autant de monde n'avait été confronté à ce type d'intoxication. A Hiroshima et à Nagasaki, les populations ont été exposées par irradiation externe à de très fortes doses. Or, en buvant du lait ou en mangeant des pommes de terre contaminées, il n'est pas rare qu'un enfant puisse ingérer une dose de césium équivalente à 2 milliseverts par an. Le taux de contamination peut varier considérablement d'un enfant à l'autre selon son alimentation et son genre de vie. C'est pour cette raison d'ailleurs que l'action de Core table sur une prise en charge de la radioprotection par les individus eux-mêmes.
    Car, même si les doses restent relativement faibles dans de nombreux cas, elles doivent être par principe limitées pour des êtres en plein développement ou pour des femmes enceintes.

    Dans le cadre du programme Core, un suivi sanitaire des enfants va être mis en place dans un des districts les plus contaminés et où on ne compte que 17 médecins pour 10 000 habitants. Ce bilan sera comparé à celui qui sera réalisé dans un district non contaminé. «Mais on ne va pas screener les populations comme des animaux, assure Catherine Luccioni de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN). Les hôpitaux doivent pouvoir tirer bénéfice de nos travaux». Les médecins locaux seront épaulés par des experts une fois que les protocoles et les critères auront été harmonisés.

    L'association Médecins du monde a décidé récemment de s'associer au programme Core, notamment en menant des actions auprès des femmes enceintes. Cette collaboration est une bouffée d'oxygène pour les partenaires du projet en butte aux critiques des Verts. Ces derniers craignent en effet qu'il aboutisse à une banalisation du risque nucléaire. Ils dénoncent aussi le fait que certains partenaires sont financés par EDF et la Cogema. «Est-ce que cela veut dire qu'il ne faut rien faire?», s'insurge Gilles Hériard Dubreuil. Le programme Core s'attaque aux problèmes de façon globale. Les difficultés de la Biélorussie ne sont pas seulement sanitaires et radiologiques. Elles sont aussi économiques, agricoles et sociales.
    Un EeePc ça change la vie !

  10. #40
    invite72b32a1f

    Toujours trop tard

  11. #41
    Tesla

    Salut

    J'ai le droit de parler de fusion pour un avenir sans nos pollutions actuelles ?
    En tout cas je préfère developper cette technologie plutôt que developper le solaire.Je connais pas trop bien ces sujets mais vu ce que j'entend à droite et gauche ca semble être l'idéal...

    -Serieux le solaire ca peut être pas mal niveau énergétique mais c'est pas super esthétique...Donc pour moi déjà, pollution visuelle...Je ne crois personne capable de mettre ca sur la facade d'une jolie villa provencale
    -Sinon deuxième point...Ca ne doit pas être super costaud dans le temps ou en tout cas ca doit perdre en efficacité ?
    -Et troisième point, laver mes facades ou mon toit pour le moment je le fait pas! par contre avec le solaire, si la pluie tombe et que l'eau est chargée de boue comme souvent chez moi...

    Oui je vois toujours les mauvais points

    @micalement

    Tesla

  12. #42
    Damon

    Salut Tesla,

    Puisque le sujet semble t'intéresser, je vais à nouveau résumer ma proposition en ce qui concerne l'abandon du nucléaire.

    1 Couverture de toutes les toitures de cellules photovoltaïques.
    2 Présence d'un stockage sur chaque lieu de production (soit au niveau individuel, soit à celui du quartier).
    3 Création de lieu de stockage distants et redistribution en période de faible production.
    4 Stockage par différents jeu de batterie mais aussi par synthèse d'hydrocarbures légers (éthanol, méthanol.. au secours les chimistes pour d'autres possibilités) le tout combinable avec des piles à combustibles.

    Cette solution évidemment combinée avec d'autres solutions propres, méthanisation des lisiers et autres formes de valorisation de la biomasse.
    L'hydroélectricité est également utilisable et l'éolien peut également apporter ponctuellement de l'énergie, sans bien sûr oublier pour cette dernière la possibilité de production en off-shore.

    En ce qui concerne la fusion, je me refuse catégoriquement à miser dessus, c'est un pari bien trop risqué, en 50 ans nous sommes parvenu à maîtriser la fusion sur des durées de l'ordre de la minutes hors pour que cette source soit utilisable, il faudrait multiplier cette période de controle par au bas mot 100.000 et là ce n'est pas donné.

    La fusion nucléaire coute cher, très cher, ce n'est pas pour cela qu'il ne faut pas continuer les recherches, mais personnellement en ce qui concerne la production d'électricité, je préfére très nettement miser et investir dans une technologie qui est au point, que de prendre le risque de me retrouver sans courant.

    En ce qui concerne l'hydrogène, cette solution présente un risque écologique énorme, en effet ce gaz très léger est difficile à manutentionner et il se produit toujours des pertes lors des transfert, ce gaz se retrouverait donc en partie dans la haute atmosphère où ses ravage seraient bien pires que ceux des CFC. (H<sub>2</sub>+O<sub>3</sub>).

    La synthèse d'hydrocarbure léger présente l'énorme avantage que ces dernier sont très facile à manipuler, que leur combustion est propre (eau et CO<sub>2</sub>) que le bilan sur le cycle du carbone est nul.
    Par cette option ce serait en fait carréement créer un cycle, plutot que d'encore prendre dans ce qui est disponible.

    Bien sûr le rendement ne serait pas énorme, mais il serait suffisant, s'il atteignait seulement 10%.

    Production actuelle :

    Nucléaire : 80% autres 20%

    Passage à une couverture solaire totale :

    Couverture des toits des habitations : 130%
    Couverture photovoltaïque des lieux de construction des centrales nucléaires : 58/2=29 soit 40% si l'on compte 50Ha par centrale nucléaire.
    Autres toujours utilisables : 20%
    On en arrive donc à une production double de celle actuelle.

    Si à cela on ajoute dans le cadre d'un politique d'économie d'énergie des petite astuce du style de poiurvoir les fours µondes, percolateurs, magnétoscope, lecteurDVD, radio réveils, télévision... d'une petie cellule solaire et d'un petit accumulateur pour alimenter la partie horloge/mémoire.

    Des ballons d'eau chaude qui serait produite par solaire thermique.

    Des voiture fonctionnant soit directement avec un moteur à alcool soit avec une pile à combustible.

    On arrive non seulement à une réelle gestion saine de l'énergie, mais également avec des chances d'un bilan négatif en COCO<sub>2</sub>) ce qui est à mon avis nécessaire si on se rappelle bien que l'échéance du protocole de Kyoto est pour 2016.

    Il est donc plus qu'urgent que l'État refinance l'ADEME pour la France, (ailleurs, Belgique, Hollande, Danemark, Allemagne, Grèce les choses se passent un peu mieux puisqu'on y trouve pas cette obsession du "tout nucléaire" qui naquit en france dans les années 70).

    Alors entre investir dans la recherche d'une solution énergétique ou investir dans la mise en place d'une solution dont la technologie existe, mon choix est vite fait : "un tiens vaut meiux que deux tu l'auras".


    Et attention je ne dis pas qu'il ne faut pas continuer les recherche sur la fusion, mais quand on voit les somme envisagée poiur la construction d'un réacteur expérimental, elles suffiraient au coût du photovoltaïque actuel à construire l'équivalent de plusieurs centrale nucléaire en production solaire...
    Alors je pense qu'il est préférable d'investir dans la production pour le moment.

    Et tout cela ne m'empêchera de m'inquièter ce qu'il risque d'advenir des 1200 sites de stockages des déchets nucléaires... (rien que pour la France).

    Damon
    Un EeePc ça change la vie !

  13. #43
    invite7634ea65

    @ damon: presente toi au prochaines elections,je te soutiens!!

  14. #44
    invite39027dfa

    salut , je suis debutant dans ce mode de communication ( forum )

    je voulais simplement dire que pour l'humanite il est peut etre preferable d'avoir un pollution visuelle ( cellules photovoltaiques , etc...etc ..) sur le toit plutot que de continuer les recherches sur des possibilites nucleaires qui pourraient etre fatal ( cote pollution ou cote armes de destruction massive ) pour les hommes .

    Je me pose une question :

    as t-on deja reussi a dompter l'eclair ?
    d'apres ce que je me souviens un eclair a une enorme energie , donc plus besoin du nucleaire ...Il suffirait ensuite de savoir d'eclancher un orage afin de recuperer l'energie de son eclair .

    @+

  15. #45
    Cécile

    -Serieux le solaire ca peut être pas mal niveau énergétique mais c'est pas super esthétique...Donc pour moi déjà, pollution visuelle...Je ne crois personne capable de mettre ca sur la facade d'une jolie villa provencale
    C'est aussi une question d'habitude. Au début, les tuiles n'étaient pas faites pour être belles, mais pour protéger de la pluie. Maintenant, ça fait partie de l'esthétique d'une maison. Pour le photovoltaïque, ça peut être pareil. Sinon, pour commençer, on peut en mettre sur les toits des immeubles, on ne voit rien.

    -Sinon deuxième point...Ca ne doit pas être super costaud dans le temps ou en tout cas ca doit perdre en efficacité ?
    Les constructeurs garantissent 20 ans de rendement quasi-constant.

    -Et troisième point, laver mes facades ou mon toit pour le moment je le fait pas! par contre avec le solaire, si la pluie tombe et que l'eau est chargée de boue comme souvent chez moi...
    Sur les toits, la pente est suffisante pour laver et pour garder le rendement.

    Sinon, pour la fusion, les responsables du projet Iter (réacteur expérimental de fusion) disent eux-même qu'il n'y aura rien de commercial avant 2050, mais plus vraisemblablement 2100 !

    Damon a écrit:
    La synthèse d'hydrocarbure léger présente l'énorme avantage que ces dernier sont très facile à manipuler, que leur combustion est propre (eau et CO2) que le bilan sur le cycle du carbone est nul.
    Par cette option ce serait en fait carréement créer un cycle, plutot que d'encore prendre dans ce qui est disponible.

    Bien sûr le rendement ne serait pas énorme, mais il serait suffisant, s'il atteignait seulement 10%.
    Pas d'accord avec toi, Damon. Certains hydrocarbures légers ont aussi de gros inconvénients. Le méthane est un gaz à effet de serre très puissant, or les fuites sont impossibles à éviter. Quant au méthanol, il est très toxique, et se mélange très bien avec l'eau. Imagine une fuite de méthanol dans une rivière...
    Quant à 10 % de rendement, même avec des renouvelables, ça reviendrait beaucoup trop cher à cause de l'investissement de départ. Créer un cycle, oui, mais pas à n'importe quel coût.

  16. #46
    invited0fb963f

    moi personelement j'adore cette invention, elle a été vitale, même si elle peut causer beaucoup de dégâts
    pour l'armée et notre protection, c'est vitale pour tout une population
    en cas de chocs avec des météorites, nous ne pourrons vivre qu'enl'usage de nucléaire
    VIVE LE NUCLEAIRE

  17. #47
    Damon

    &gt;Cécile

    En ce qui concerne les hydrocarbures, ils sont tous toxiques et polluants, mais c'est le cas de tous les systèmes de stockage de l'énergie.

    Ensuite je ne conseille pas un hydrocarbure gazeux tel méthane/butane/propane (j'ai aussi parlé du danger de l'H<sub>2</sub>) mais bien un liquide tel l'éthanol ou le méthanol.

    Un autre avantage du (m)éthanol est qu'il ne nécessite quasiment pas de changement des structures du parc automobile, les voitures actuelles pouvant rouler avec une adjonction jusqu'à 15% de (m)éthanol sans aucune modification. Car indépendemment de l'énergie électrique nécessaire à faire fonctionner les industries, il faut aussi penser à un réservoir d'énergie utilisable pour les transports et hélas même les meilleures batteries sont trop lourdes que pour une utilisation nomade autre que citadine. Sans compter que les piles à combustible et leur cortège de métaux lourds représentent aussi un risque, risque qui se trouve de façon évidente très réduit si la pile est fixe plutôt qu'à bord d'un véhicule.

    Pour ce qui est des aspects des deux hydrocarbures que je suggère, il présentent cependant un avantage énorme c'est la facilité avec laquelle ils sont métabolisés et donc même si en cas d'accident ils y auraient des dégats ceux-ci ne se répercuteraient pas tout le long de la chaîne alimentaire, contrairement aux métaux lourd ou aux hydrocarbures issus du pétrole.

    Et entre un risque éventuel de pollution temporaire d'une rivière et un risque de pollution par la radio activité d'un site et ce pour des milliers d'année, le choix le plus raisonnable me semble bien du côté des alcools.

    Quant aux coûts du photovoltaïque, je te renvois au message que tu viens de poster sur l'évolution de ceux-ci et je les trouve plutôt pessimistes.
    C'est d'autant plus un argument non recevable qu'il s'agit d'un investissement de base, mais cet investissement doit évidemment être porgrammé sur plusieurs décennies celles nécessaire à effectuer la transition, avant que les puits de pétrole ne soient à sec et les mines d'U épuisées; et qu'ensuite le coût de maintien s'en révelera inférieur à tout autre système.
    Donc même si les chiffres peuvent paraître impressionnant (à la louche une centaine de milliards d'Euro soit 50€/an/habitant sur 40 ans, somme laragement inférieure auxc bénéfices réalisés par EDF) le tout pour avoir ensuite de l'énergie non polluante et au prix le plus bas qui se soit jamais vu.

    Aucun coût de stockage des déchets, certe un coût de recyclage, mais ridicule eu égard à celui nécessaire pour les déchets nucléaires, seule autre alternative "non-polluante" existant à l'heure actuelle et un coût d'entretien et de maintien (remplacement des éléments usués/défectueux) bien inférieur à celui du nucléaire, je te laisse imaginer le coût de cette opération...

    Citation Envoyé par [url=http://www.sfen.org/fr/actualites/evenement/actu_even.asp?page=eve
    SFEN[/url]]Arrêt de la tranche 1 de Cattenom pour des opérations de maintenance


    La tranche 1 de la centrale de Cattenom a été mise a l'arrêt fin août pour une durée programmée de huit semaines environ, qui permettra, indique EDF, "le remplacement traditionnel (effectué tous les 18 mois), d'un tiers du combustible" et "des opérations de maintenance représentant environ 250 000 heures de travail". Parmi des opérations, effectuées par plus de 1000 techniciens, "le remplacement de 17 mécanismes de grappes sur le couvercle de la cuve du réacteur".
    Et je n'ose parler des merveille de la sécurité et du retraitement...

    Citation Envoyé par [url=http://solar-club.web.cern.ch/solar-club/Autres/Nucleaire/News/NewsNuc02.html
    COMMUNIQUÉ : Après la réunion de la Commision-Hague (CSPI) du 26-9-02[/url]]
    Aucun expert aujourd’hui ne remet plus en cause l’excès des cas de leucémies chez les jeunes entre 0 et 24 ans, dans le canton de Beaumont-Hague, sur la période 78-98. (4 cas constatés contre 2 attendus, 5 en 2001).
    Lors de la réunion de la Commission Spéciale et Permanente d’Information de la Hague (CSPI), le 26 septembre dernier, la présidente du Groupe Radioécologie du Nord-Cotentin (GRNC), Annie SUGIER, a présenté les conclusions des travaux du Groupe qui a fait travailler 60 experts pendant 5 ans.
    Le volet « Étude des rejets chimiques » a été passé au crible de la modélisation mathématique. On a ainsi appris l’absence quasi-totale de contrôles et de mesures chimiques sur le terrain, le faible état des connaissances scientifiques sur l’écotoxicité des produits utilisés et l’importance préoccupante des rejets de dioxine de l’incinérateur de déchets banals de la COGEMA qui en a annoncé la fermeture. Les problèmes liés à la synergie et à l’additionnalité entre rejets chimiques et radioactifs n’ont pas été discutés pas plus que les effets très controversés des faibles doses.
    Autrement dit, le doute et l’incertitude étaient plus que jamais de mise dans l’assemblée.
    Pourtant, ils n’ont pas empêché la Présidente du GRNC de conclure, au nom des seuls experts institutionnels, : « Il apparaît peu probable que les rejets des installations nucléaires soient à l’origine de l’incidence élevée des leucémies dans le canton de Beaumont-Hague ». À la question de bon sens qui a suivi « Comment alors expliquer le nombre de leucémies plus élevé que prévu ? », elle a ajouté : « la piste qui a l’air d’être la plus fortement soutenue est celle du hasard. Si l’on considère que les leucémies peuvent être d’origine virale, il faut aussi regarder de près les conséquences des mouvements de populations dus aux
    grands chantiers dans la Hague ».
    Étrange hasard quand on le retrouve de fait, en Angleterre, à Seascale, à proximité de l’usine de retraitement de Sellafield où l’on a constaté également un excès de cancers infantiles, pendant plusieurs décennies…
    En pleine polémique , lors de l’affaire Viel, un éminent élu de la Communauté de communes de la Hague, excédé par la contre-publicité faite à son canton par les travaux de ce scientifique, avait eu cette réflexion : « Pourquoi incriminer l’usine ? Si un agrégat de leucémies se découvrait autour d’un château d’eau, penserait-on que ce dernier en soit responsable ? »
    Et si, pur hasard, le château d’eau de Beaumont-Hague était responsable de cet excès ? Après tout, il y a sûrement aussi un château d’eau à Seascale, près de l’usine de retraitement de Sellafield.
    C’est bien connu : le hasard fait bien les choses et en attendant, les études continuent…
    Pour le Conseil
    d’Administration du CRILAN, réuni le 29/9/02
    La secrétaire, Paulette ANGER
    Sans parler non plus de l'état lamentable dans lequel se trouve certains des sites de stockage, avec des fûts qui fuient non seulement radiologiquement mais également physiquement, évidemment il est généralement fait assez peu de publicité par EDF, la Cogema et toute la kyrielle de sociétés et d'organisations qui vivent du nucléaire et de l'hypothèque sur l'avenir, hypothèque dont la main-lévée ne viendra que dans des milliers-millions d'années.

    Le problème selon moi, en tout cas en ce qui concerne la politique énergétique française, se trouve bel et bien dans le lobbying que pratique EDF et qui accepterait mal une relative autonomie énergétique des individus.

    Et si la Belgique vient de choisir de sortir du nucléaire (en gros on fermera les centrales au fur et à mesure de leur fin de vie), c'est aussi une manière de forcer le progrès et le passage vers des énergies réellement propres.

    C'est à nous citoyens de dire NON au nucléaire, NON à l'hypothèque de l'avenir de non pas nos lointains descendants, mais simplement nos enfants et petits enfants.
    Et ce pouvoir de dire non existe puisqu'il existe bel et bien des solutions alternatives fonctionnelles qui ne nécessitent qu'un petit coup de pouce de 5-10 milliards d'Euro que pour devenir plus économiques que le nucléaire.
    Et cela très rapidemment (10-20 ans), mais évidemment avec des politiques qui ne voient qu'à échéance de leur mandat et les discours lénifiants et le leurre sur la sécurité, ce n'est pas encore pour maintenant.

    Damon
    Un EeePc ça change la vie !

  18. #48
    Damon

    Un petit ajout suite à une exploration plus approndie d'un des sites que je cite.

    http://solar-club.web.cern.ch/solar-...uc03Suede.html

    Il est patent que de tels problèmes ne pourraient pas arriver avec une poduction d'énergie décentralisée, et que l'effet domino (cause de la généralisation des pannes) ne serait plus à craindre.

    Et quand je vois ceci : Arrêté du 24 juillet 2003, tout en refusant de sombrer dans la paranoïa, j'estime qu'il y a réellement de quoi se poser des questions.

    Damon
    Un EeePc ça change la vie !

  19. #49
    Damon

    Décidémment, quand on parle des dangers du nucléaire, sans trop chercher il est facile de trouver des renseignements, à condition de vouloir les lire, mais également de savoir un peu lire entre les lignes.

    http://www.greenpeace.fr/stop-plutonium/20031013_1.php3
    NOTE IMPORTANTE, concernant la sûreté : Il est à remarquer que, normalement, la vitesse sur une quatre voies du type de la RN13 est limitée à 110 Km/h. par temps sec et donc 100 Km/h. par temps de pluie. Or, l’ensemble du convoi se déplaçait à une vitesse nettement supérieure dans les lignes droites de cette route. De plus la distance de sécurité routière entre les véhicules est notoirement inférieure à la réglementation surtout sur route mouillée. Mais la question se pose de savoir qui est habilité à faire respecter le code de la route à ces convois qui comme chacun le sait, n’existent pas, ils sont classés “secret défense”.
    http://www.greenpeace.fr/stop-plutonium/20031013_2.php3
    NOTE IMPORTANTE, concernant la sûreté : Il est à remarquer que, malgré les écrits officiels qui commentaient ces transports comme se déroulant toujours de jour, la CCCI constate, qu’en fait, ces convois circulent également de nuit. A l’évidence, cela ne renforce pas les règles de sécurité . Seul le fait de se cacher du grand public, pour les arrivées et départs, semble être l’argument qui peut justifier le choix d’un tel horaire.
    J'ai repris les éléments importants mais je vous invite à aller voir le texte dans son entier.

    Damon
    Un EeePc ça change la vie !

  20. #50
    Cécile

    Salut Damon,

    D'accord avec toi sur une grande partie. Sauf que je trouve que 4 ou 5 cas au lieu de 2 en moyenne, ça ne veut rien dire. Il doit exister des milliers de zones en France où tu as un léger excès statistique de leucémies, sans aucune raison. Attention, je ne dis pas que La Hague n'a rien de dangereux, mais l'argument des 5 cas de leucémie n'est pas recevable scientifiquement.
    Sinon, c'est intéressant de lire les communiqués de Greenpeace, mais ça ne doit pas être la seule source d'information.

    Le problème selon moi, en tout cas en ce qui concerne la politique énergétique française, se trouve bel et bien dans le lobbying que pratique EDF et qui accepterait mal une relative autonomie énergétique des individus
    D'accord à 100 %. Enfin, ce n'est pas l'unique problème, mais un des problèmes majeurs en France.

  21. #51
    Narduccio

    Cécile a cité:
    Citation:
    Le problème selon moi, en tout cas en ce qui concerne la politique énergétique française, se trouve bel et bien dans le lobbying que pratique EDF et qui accepterait mal une relative autonomie énergétique des individus

    Voila quelqu'un qui est bien en phase avec le gouvernement, le Medef et la comission européenne car grace a l'ouverture du marché et l'ouverture du capital d'EDF, il y a un risque non négligable de voir les gros fournisseurs d'électricité abandonner les petits consommateurs.
    Pour une entreprise capitaliste ce qui est interressant, c'est de faire de gros bénéfs. (pour rétribuer au max les actionnaires) en investissant un minimum et un ayant une rentabilité max. Sur un marché libre de l'électricité ce postulat de base se traduit par ABANDON DES PETITS UTILISATEURS. Ce qui est Hyper Rentable, c'est de vendre beaucoup d'électricité à de gros consommateurs en ayant peu de frais pour les fournirs. Il est aussi interresant de limiter les capacités de fourniture pour augmenter le prix de vente. Il est a l'inverse très ininterressant de fournir de petits consommatteurs isolés.
    Dans tous les états où il y a eu ouverture du marché, cela s'est traduit par une augmentation des prix pour les petits consommateurs et donc une baisse de leur consommation. Pas de faux espoirs, comme en même temps les gros consommateurs ont bénéficiès de ristournes, ils font moins d'économies et contrairement à ce que pensent certains si l'on veut vraiment économiser de l'énergie quelques watts/heure en moins chez les particuliers n'apparraissent même pas sur les statistiques.
    Les ouvertures de marché se sont toujours traduites à plus ou moins longs terme par des coupures, soit de petites coupures tournantes ou plus spectaculairement par des black-out. En cas d'un hiver vigoureux, il n'y a actuellement pas assez de puissance disponible en Europe. Les 16, 17, 23 et 24 décembre 2003 nous risquons de battre un nouveau record de consommation, cela risque aussi d'être les dates probables du prochain black-out européen s'il fait froid ...
    En fait en 2007 quand le marché européens sera totalement libre, les gros fournisseurs seront heureux de nous vendre par leurs filiales spécialisées des moyens alternatifs de production d'électricité pendant qu'ils feront de substantiels bénéfices en fournissant les consommateurs rentables.

  22. #52
    Narduccio

    Le 25 juin 2003 lors d'un collaque les médecins ont fait une déclaration en faveur du nucléaire, bizzarement la presse n'en a pas parlé, serais-ce pas politiquement correct ???
    Pour plus d'infos voila l'adresse http://www.academie-medecine.fr/uplo...ichier_lie.rtf

  23. #53
    Cécile

    Je trouve quand même que les paragraphes 2 et 3 sont contradictoires :
    2. Maintenir la filière nucléaire dans la mesure où elle s’avère avoir le plus faible impact sur la santé par kWh produit par rapport aux filières utilisant des combustibles fossiles, les biomasses ou l’incinération des déchets (en raison de la pollution atmosphérique qu’elles entraînent) ou même, comme le montre notamment le rapport ExternE de la Commission Européenne, quand on la compare aux énergies éolienne et photovoltaïque (principalement en raison des polluants libérés pendant le cycle de vie des dispositifs). L’Académie s’exprimera en temps utile sur les solutions qui seront retenues pour la gestion des déchets nucléaires de très longue durée de vie et de haute activité.
    3. Encourager un effort de recherche important dans le domaine des mécanismes et de l’évaluation des effets sanitaires des faibles doses, qu’il s’agisse de toxiques chimiques ou radioactifs. L’Académie rappelle que l’estimation des conséquences sanitaires de faibles irradiations (inférieures à quelques mSv) ou de faibles concentrations de cancérogènes au moyen d’une relation dose-effet linéaire sans seuil, n’a pas de justification scientifique.
    Je résume : la filière nucléaire est la moins nocive, bien qu'on connaisse très mal l'impact des faibles doses... En gros, on ne sait pas, mais on conclut quand même.

  24. #54
    DonPanic

    S'lu
    Il est donc plus qu'urgent que l'État refinance l'ADEME pour la France,
    L'Etat, c'est dles impôts, des emprunts à rembourser au prix fort, ou la planche à billets, au choix.
    D'autre part une production aussi massive de cellule photovoltaïque entrainerait un prix de production encore moindre,
    donc un amortissement à encore plus bréve échéance.
    Nous sommes dans une économie d'offre et de demande, et de retour sur investissement maximal
    si nous étions dans une économie de bénéfice minimal, ça se saurait
    Quand à la surface, je ne dispose pas de chiffres exacts, mais je pense, qu'elle est très largement excédentaire que pour couvrir les besoins (il faudrait connaître la surface totale des bâtiments).
    Toute la surface d'un bâtiment n'est pas exposée au soleil, loin s'en faut.
    En milieu urbain, ça devient encore plus succint.
    Sur les toits, la pente est suffisante pour laver et pour garder le rendement (des panneaux photovotaïques).
    Si c'était le cas, les toitures seraient toujours nickel,
    padbol, les fumées et suies de fioule, c'est gras, ça colle, et les pluies ne sont pas (encore) détergentes.
    pour le stokage de l'electricité cela existe d'une autre manière : dans les périodes de surplus,
    remonter de l'eau dans un barrage pour la turbiner pendant les heures de pointe,
    Ouais ben, écolos et barrages, apparemment ça fait pas vraiment bon ménage (Cf barrages)

  25. #55
    Cécile

    Il est donc plus qu'urgent que l'État refinance l'ADEME pour la France,

    L'Etat, c'est dles impôts, des emprunts à rembourser au prix fort, ou la planche à billets, au choix.
    Oui, mais avec une même somme, on peut choisir de financer les recherches sur le nucléaire ou l'utilisation d'énergies renouvelables. C'est un pur choix politique.

    D'autre part une production aussi massive de cellule photovoltaïque entrainerait un prix de production encore moindre,
    donc un amortissement à encore plus bréve échéance.

    Nous sommes dans une économie d'offre et de demande, et de retour sur investissement maximal
    si nous étions dans une économie de bénéfice minimal, ça se saurait
    Je ne comprends pas ton commentaire. De nombreuse filières ont été aidées au début, et sont devenues largement compétitives après.

    Toute la surface d'un bâtiment n'est pas exposée au soleil, loin s'en faut.
    En milieu urbain, ça devient encore plus succint.
    Je parlais bien sûr des surfaces exposées au sud. Ou des surfaces horizontales (il y a en a beaucoup en haut des immeubles) sur lesquelles on met plusieurs panneaux inclinés à 60 °.
    Ni toi ni moi n'avons les chiffres concernant les surfaces disponibles. Mais ça me paraît énorme (je ne parle pas que des immeubles, mais aussi de tous les bâtiments administratifs, gares, zones industrielles, voire murs antibruit d'autoroute, etc.)

    Si c'était le cas, les toitures seraient toujours nickel,
    padbol, les fumées et suies de fioule, c'est gras, ça colle, et les pluies ne sont pas (encore) détergentes.
    Il y a bien sûr un léger encrassement, mais qui ne change pas beaucoup le rendement. [/quote]

  26. #56
    DonPanic

    Citation Envoyé par Cécile
    D'autre part une production aussi massive de cellule photovoltaïque entrainerait un prix de production encore moindre,
    donc un amortissement à encore plus bréve échéance.

    Nous sommes dans une économie d'offre et de demande, et de retour sur investissement maximal
    si nous étions dans une économie de bénéfice minimal, ça se saurait
    Je ne comprends pas ton commentaire. De nombreuse filières ont été aidées au début, et sont devenues largement compétitives après.
    Juste que parier sur une baisse constante des panneaux solaire m'apparait optimiste
    quand il s'agirait de fornitures énormes pour équiper un max de bâtiments,
    en général, les prix baissent énormément quans l'offre excède la demande,
    comme aujourd'hui les ordis...

  27. #57
    Cécile

    Oui, mais les prix baissent aussi énormément quand on construit en grande série, quand on passe du quasi-artisanal au stade industriel.

  28. #58
    DonPanic

    S'lu
    Sais pas, normalement, du panneau solaire devrait être du matériau, comme du placo, ou de la tuile,
    ya le cours de la matière première, de l'énergie, quasiment pas de main d'oeuvre,
    sauf la manutention de stockage, des frais de transport,
    or ces derniers temps, le prix de la masse augmente plus vite que la technologie,
    c'est que ça ne se miniaturise pas comme les circuits intégrés, la masse...

  29. #59
    Cécile

    D'après ce que m'ont expliqué des fabricants et des chercheurs, y'a au contraire pas mal de main d'oeuvre, et ce coût devrait diminuer avec une automatisation des procédés. Cette automatisation devrait aussi réduire la quantité de silicium cassé, car les couches fines de Si sont très fragiles lors de la fabrication (rassure toi, il y a des couches plus solides au-dessus et en dessous. Une fois constuits, les panneaux sont solides, et ils ont résisté à l'ouragan Hugo en Guadeloupe).
    Mais je n'ai jamais visité d'usine de fabrication de panneaux PV.

  30. #60
    DonPanic

    S'lu

    http://www.inti.be/ecotopie/solvolt.html
    Comme d'hab, ce sont les Japonais les plus avancés,
    m'étonne pas, la technique de fabrication doit être proche des techniques d'impression, et de découpe chimique,
    et question impression, les Japonais sont forts

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