Certe le méthanol pose aussi ses propres problèmes, mais en utilisation en pile à combustible, il offre de gros avantages (manutention aisée) par rapport à l'hydrogène.
Pour ce qui est des risque de pollution, je ne les pense plus élèvé que pour le pétrole ou le gaz qui de surcroît eux doivent être transporter sur de grande distance et subir dans le cas du pétrole un raffinage, lui aussi coûteux en énergie.
Pour l'éthanol, je ne sais pas ce qu'il en est.
Je n'ai pas dit qu'il ne fallait pas également explorer et utiliser aussi la biomasse.
Le problème et que dans le cas dont je parle (superficie de tous les toits couverts) cette réinjection en réseau est perdue, les pics de production (~12H) et de consommation (~20H)ne sont pas les mêmes, donc cette réinjection réseau est soit perdue soit doit être stockée.Je vous plutôt solaire thermique + photovoltaïque non stocké (surplus réinjecté en réseau)
Il est actuellement techniquement possible de se passer du nucléaire (ainsi que je l'ai démontré) par contre économiquement ça ne l'est pas et c'est un truisme...
Cependant une solution sans nucléaire (ou juste du nucléaire médical, évitons de parler du militaire) est possible, est à terme la seule raisonnable.
Je ne dis pas qu'il faut stopper le nucléaire maintenant, je dis qu'il existe techniquement une solution de remplacement et que pour ne pas recommencer à construire de nouvelles centrale d'ici 10-15 ans c'est maintenant qu'iol faut y penser.
Je pense que notre malentendu vient du fait que tu raisonnes sur un mode de transition, tandis que je raisonne sur une "solution" effective.
Damon
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