Depuis quelques jours, je me casse la tête à un problème de différentiel actuellement dans un studio de construction ancienne. dont j'ai refait le tableau a l'exactitude dijoncteur au lieu des fusibles et un vieux machin qui servait HC/HP (vers le poubelle)
Si rien de branché sur les prises, le différentiel est sage comme une image aussitôt qu’une charge quelconque sur n’importe quelle prise et Boom.
À savoir, salons coin chambre n’ont pas la terre, après, c’est juste de l’éclairage. Sinon, sans différentiel, aucun problème, d’ailleurs, l’ancienne propriétaire vivait avec des fusibles.
N’ayant pas trouvé la solution par manipulation classique des disjoncteurs divisionnaires ni par le test de mesure neutre/terre qui me donne 0,2 V, (je pense être sur la plage autorisée).
Après une fuite de terre malgré l’équipement cuisine neuf ou bien l’humidité sur le circuit du vieux moteur volet roulant ou bien la vieille sonnette qui fait des misères à + 30 mA, je ne connais pas son fonctionnement (pas pensé à le débrancher).
Du coup moi qui croyais que j’étais très bien outillé, je viens de découvrir l’existence d’un mégohmmètre que la plupart d’entre vous connaissent, sûrement.
Sauf moi !… Et ça ne sera pas bien venu de ma part de faire une leçon à quoi il sert.
Ce qui m’intéresse avec la découverte de cet instrument, ce n’est pas le test d’un matériel, mais la vétusté des câbles électriques déjà en place.
Et pour cela, je n’ai trouvé aucune information concernant l’utilisation sur une installation d’habitation. À part qu’on doit avoir une résistance d’isolement minimale de 0,5 mégaohms.
Doit-on débrancher tout voire démonter toutes les ampoules ? Je pense que le matériel ne doit pas apprécier les 500 DC injectés, même par une minime intensité ?
Auriez vous une expérience à m’apporter ou à me conseiller ? En vous remerciant d’avance.
Merci a tous
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