Bonjour
Je souhaite parler d’un sujet que je n’ai jamais vu détaillé et pourtant il pourrait résoudre certaines énigmes. Je trouve que l’on préfère traiter le problème des origines du Big Bang qui est non physique (pour l’instant) et plus dans la métaphysique
Je reprends à partir du modèle standard cosmologique est accepté par la communauté scientifique et des données probables du « Big Freeze »
L’univers actuel va continuer à s’étendre perpétuellement (comment par qu'elle est l’énergie (crée ex nihilo via le néant, le rien), "qui" va alimenter ce vide qui s’étend (si l’énergie du vide existe réellement) ???)
Sur le forum des personnes bien informées et sympathiques ont donné un chiffre cohérent avec une stabilisations de la constante de Hubble à 50 Km/s par MPC. C’est moins qu’aujourd’hui mais cohérent. On peut en déduire, que sauf nouvelles découvertes, notre univers va tendre asymptotiquement vers l’infini
Les particules composites et simples vont sans doute s’autodétruire. On connait déjà la durée du neutron hors noyau qui ne vit que 15 minutes. On connait La radioactivité bêta-moins qui crée en plus un électron et d’un antineutrino avec la transformation d’un neutron en proton.
Il est raisonnable de penser que le proton lui aussi à une durée de vie limitée.
NB : Quand on parle de durée de vie cela ne concerne que des nombres car il est difficile de se représenter des milliards de milliards de milliards…d’années. Cela n’a plus de sens à l’échelle humaine.
Les trous noirs les plus récalcitrants (ceux de Schwarzschild) aussi finiront pas être détruis probablement via le rayonnement de Hawking. Et même les naines noires (si elles existent) aussi seront aussi détruites).
Ma question double qui est basée sur des données connues (de grandes diffusions) et des finalités vraisemblables:
Nous n’aurons plus qu’un univers (du moins pour le nôtre) de vide avec des photons après annihilation de la matière. Celui serait de courbure nulle compte-tenu de l’absence de matière (normale ou noire) et devrait tendre vers un Univers De Sitter (plus les photons).
Bien sur l’Univers ne va pas cesser de se refroidir au fur et à mesure de son expansion mais pas jusqu’à zéro car le phénomène d’incertitude d’Heisenberg va se manifester (ou non)
Concernant la fin de notre univers est-il raisonnable de penser : C'est une questionqui découle des éléments connus
1 ) Qu’à un certain niveau de température via une rupture de symétrie et ou une transition de phase les photons derniers survivants de notre univers puissent intégrer l’énergie du vide………………………….(et peut-être recommencer l’aventure car le vide sera pour le coup chargé en énergie. ?????? là j'extrapole)
2) Ou bien que les photons restent dans un univers infini tel un essaim d’insectes éparpillé dans un univers plus ou moins infini
Mais dans tous les cas l’énergie du vide (si elle existe) n’en profiterait que pour une petite fraction
Avez-vous une idée, des infos car j’avoue que j’en suis incapable vu mes faiblesses insignes en Physique Quantique et en RG aussi.
Cordialement
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Envoyé par Daniel1958 
) est avant tout une question de goût. Sinon on ne lirait pas toute sorte d'articles sur "la fin de l'univers". Personnellement (donc j'insiste sur le caractère personnel) je préfère réfléchir, étudier, analyser .... ce qui se situe juste au bord du domaine connu, validé, etc.... Tout simplement parce que là, les connaissances, l'intuition, une idée utile pour le chemin à prendre, sont possibles. Evidemment ça nécessite de connaitre à fond le "domaine connu et validé" (ce qui n'est pas du tout évident vu le volume des connaissances nécessaires).