Salut !
La conscience du Web, ne doit-elle pas pour exister satisfaire à l'exigence humaine qui est de comprendre chaque phrase comme étant d'un degré multiple !
Genre là : c'est du second degré ?
à +
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Salut !
La conscience du Web, ne doit-elle pas pour exister satisfaire à l'exigence humaine qui est de comprendre chaque phrase comme étant d'un degré multiple !
Genre là : c'est du second degré ?
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Quand on regarde le web de l'extérieur, comme une "boite noire", on peut voir des phénomènes qui ressemblent à des défenses conscientes. Par exemple, un virus émergent est vite repéré, analysé, maîtrisé - et cela pour éviter qu'il n'endommage durablement la communication interne du réseau. Il y a donc une sorte d'autocorrection interne en vue de permettre une croissance durable, ce qui fait penser à des formes organiques. Idem quand un noeud physique du réseau est endommagé (un cable de fibre optique par exemple) et que l'on contourne en prenant les autres canaux disponibles et en attendant la restauration du canal défectueux.
Mais en fait, l'analyse descriptive de ce genre de phénomènes montre que le niveau de conscience effectif se situe en dernier ressort chez les utilisateurs individuels humains du réseau. C'est la différence me semble-t-il avec la métaphore des neurones d'un cerveau (en l'occurrence, ce serait plutôt les cellules immunitaires d'ailleurs).
Néanmoins, j'avais lu et je m'étais entretenu avec un chercheur français, Alain Cardon, qui semblait considérer comme possible la mise en point de logiciels adaptatifs ayant les traits principaux d'une conscience. C'est assez loin, certains connaissent-ils ses travaux récents ?
ce qui est intéressant, c'est si ce chercheur peut définir "les traits principaux d'une conscience", parce que ça sous entend en donner une définition objective testable, ce que Turing n'avait pas réussi à faire ! (il en était réduit à un test "subjectif" dépendant entièrement des caractéristiques humaines, et ne pouvait donc traiter que la conscience "humaine"). A ma connaissance, personne n'a pu donner une définition "générique" (pas forcément humaine) de la conscience, donc c'est quoi ces "traits principaux"?Néanmoins, j'avais lu et je m'étais entretenu avec un chercheur français, Alain Cardon, qui semblait considérer comme possible la mise en point de logiciels adaptatifs ayant les traits principaux d'une conscience. C'est assez loin, certains connaissent-ils ses travaux récents ?
L'éradication d'un virus ne se fait pas toute seule, on ne possède pas de remède au moment même où il sort, contrairement au corps humain. La comparaison aurait été correcte si les ordinateurs d'internet étaient capable d'éradiquer le virus eux-mêmes, alors que ça n'est absolument pas le cas (au contraire).Quand on regarde le web de l'extérieur, comme une "boite noire", on peut voir des phénomènes qui ressemblent à des défenses conscientes. Par exemple, un virus émergent est vite repéré, analysé, maîtrisé - et cela pour éviter qu'il n'endommage durablement la communication interne du réseau. Il y a donc une sorte d'autocorrection interne en vue de permettre une croissance durable, ce qui fait penser à des formes organiques.
Si je coupe ton cable Ethernet, tu vas continuer à surfer ? Non.Idem quand un noeud physique du réseau est endommagé (un cable de fibre optique par exemple) et que l'on contourne en prenant les autres canaux disponibles et en attendant la restauration du canal défectueux.
salut , d'après le lien http://fr.wikipedia.org/wiki/Conscience_artificielle
ils parle d'une relation entre la conscience artificielle et le future web 3.0 http://fr.wikipedia.org/wiki/Web_3.0Il est également nécessaire de déterminer à quel seuil de complexité le système numérique doit prétendre pour être capable d'arriver à cette prise de conscience et d'obtenir son libre-arbitre. Les évolutions actuelles vers le Web 3.0 nous approchent progressivement d'un tel seuil avec des machines mises en réseau disposant d'une puissance de calcul inégalée et répartie, ainsi que d'un réseau de capteurs réels (caméras, micros...) qui se déploie à l'échelle mondiale.
c'est comme si les ordinateurs vont commencer à dialoguer entre eux pour former un nouveau peuple ou espèce qui vit en société .
salut , je suis entrain de lire ce sujet , j'ai vu cette réponse :
on n'a pas le temps de s'occuper de l'ordinateur alors on lui donne la permission de faire ses mise à jour tout seulDésormais, mon système d'exploitation se met à jour tout seul, va chercher les MAJ des programmes, m'explique assez clairement ce qu'il fait, me met éventuellement garde sur les risques de non-MAJ, etc. Cela peut paraître très "bête" et loin de la conscience, mais je ne vois pas trop en quoi. La machine accomplit des tâches qui lui sont nécessaires et en "discute" avec son utilisateur. Elle ne le fait pas de manière entièrement autonome d'instructions reçues en aval, mais aucune conscience n'est de toute façon entièrement autonome de telles instructions (surtout pas la conscience humaine, qui dépend d'une éducation préalable, c'est-à-dire d'une instruction).
voilà une autre réponse :
bonne idée de travailler étape par étape , commencer par simuler la société des fourmis , et si on réussit , on passera aux souris et ainsi de suite , on laisse l'homme en dernier ,Un robot qui réagirait comme une fourmis d'aprés vous aurait'il une conscience ? J'ai lu que des algoritmes "fourmis" existaient, et permettent à des entreprises de logistique d'economiser des millions de dollars pour organiser les transports par exemple. Ne s'agit'il pas pour ces logiciels d'un transfert de conscience en quelque sorte ?