Bonjour,
ou puis-je m'attendre a voir le caractere non-abelien de la gravitation, c'est a dire les interactions graviton-graviton ? Un article vient d'etre poste sur arXiv :
Implications of Graviton-Graviton Interaction to Dark Matter
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Bonjour,
ou puis-je m'attendre a voir le caractere non-abelien de la gravitation, c'est a dire les interactions graviton-graviton ? Un article vient d'etre poste sur arXiv :
Implications of Graviton-Graviton Interaction to Dark Matter
Bonjour,Bonjour,
ou puis-je m'attendre a voir le caractere non-abelien de la gravitation, c'est a dire les interactions graviton-graviton ? Un article vient d'etre poste sur arXiv :
Implications of Graviton-Graviton Interaction to Dark Matter
J'ai survolé l'article:
Voilà ce que je comprends:
En rapport à ton questionnement il considère les interactions gravitons-gravitons qui découlent du caractère non linéaire des équations de RG.
De là il fait une analogie avec QCD qui est régit par des équations non linéaires découlant du caractère non abélien du groupe de jauge SU(3).
Par contre je ne vois pas le groupe de jauge non abélien de la RG qui engendre les équations de la RG.
La Rg c'est pas trop ma tasse de thé.
Pour des raisons de puissance de calcul, il remplace le developpement usuel du lagrangien avec un graviton de spin 2 par un lagrangien de scalaire avec auto-interactions. La question sur le papier est "quel est le domaine de validite d'une telle approximation ?". La question que je pose est legerement differente.
La question que je me pose est: Peux-t-on écrire le Lagrangien de la RG à partir d'un groupe de jauge tel que l'on établit la chromodynamique quantique avec sU(3). Si c'est le cas: Quel est ce groupe?Pour des raisons de puissance de calcul, il remplace le developpement usuel du lagrangien avec un graviton de spin 2 par un lagrangien de scalaire avec auto-interactions. La question sur le papier est "quel est le domaine de validite d'une telle approximation ?". La question que je pose est legerement differente.
Les gens de la LQG font ça avec SU(2) si je me souviens bien, normal, c'est relié à SL2(C)...
“I'm smart enough to know that I'm dumb.” Richard Feynman
Le lagrangien utilise dans cet article remplace un spin 2 par un scalaire dans le developement du lagrangien de Hilbert-Einstein a l'ordre correspondant. Je ne vois pas vraiment d'argument de symetrie necessaire dans cette procedure, une fois que l'on accepte la densite de Hilbert-Einstein, a part la definition du graviton comme la difference avec de la metrique vide.