CE n'est qu'un consensus ,je peut prendre que la vitesse de la lumiére est 300000m/300000s=1 (anthropocetrisme...).Un mètre est la mesure de la distance parcourue par la lumière dans le vide en 1/299 792 458 seconde. 1800 mètres est donc la mesure de la distance parcourue par la lumière dans le vide en 1800/299 792 458 seconde
Une seconde est la mesure de la durée de temps mise par la lumière pour parcourir dans le vide 299 792 458 mètres. 1800 secondes est donc la mesure de la durée de temps mise par la lumière pour parcourir 1800 fois 299 792 458 mètres
1800 mètres est donc identifiable à une fraction de seconde : 1800 mètres <=> 1800/299 792 458 seconde.
1800 secondes est donc identifiable à des mètres : 1800 secondes <=> 1800 fois 299 792 458 mètres.
La mesure de la vitesse de la lumière étant absolument constante, ne dépendant pas de l’endroit duquel elle est mesurée.
L’autre façon de calculer étant de remplacer la seconde par sa définition officielle (radiations du césium etc.).
Bonjour,
Tu dois choisir!Un mètre est la mesure de la distance parcourue par la lumière dans le vide en 1/299 792 458 seconde. 1800 mètres est donc la mesure de la distance parcourue par la lumière dans le vide en 1800/299 792 458 seconde
Une seconde est la mesure de la durée de temps mise par la lumière pour parcourir dans le vide 299 792 458 mètres. 1800 secondes est donc la mesure de la durée de temps mise par la lumière pour parcourir 1800 fois 299 792 458 mètres
Dans le S.I., on a fixé un étalon naturel de durée et un étalon naturel de vitesse, si bien qu'on n'a plus besoin d'étalon naturel de longueur: l'étalon '1 mètre' est fixé "intellectuellement" (plus besoin du mètre-étalon de Sèvres!).
Je suppose que tu voulais dire "ce système" et non "qu'un système" !
Sinon pour répondre au "cela ne suffit pas", je suppose que tu voulais parler de continuité de la mesure du système ainsi que l'écart type de cette mesure non exagéré ... !?
Il y a au moins deux façons de définir le mètre : soit sur la seconde ce qui est officiellement le cas depuis 1986, soit sur la longueur d’onde subtile de l’atome de Césium 133.plus besoin du mètre-étalon de Sèvres!).
Les notions de temps et d’espace semblent interchangeables depuis que depuis 1986 le mètre est défini comme « la distance parcourue par la lumière, dans le vide, en 1/299 792 458 de seconde. »
Mais par ailleurs la seconde a été définie comme « la durée de 9 192 631 770 périodes de la radiation correspondant à la transition entre les deux niveaux hyper-fins de l'état fondamental de l'atome de césium 133. »
Il y a là une circularité infernale dont il est difficile de s’extirper : en fin de compte cela donne un mètre égal à [9 192 631 / 299 792 458] fois la longueur d'onde de la radiation subtile de l’atome de Césium, ce qui fait retomber sur une valeur spatiale.
... C’est peut-être pas si simple que ça d’identifier le temps à de l’espace en fin de compte
C'est @ dire qu'en somme vous pensez définir l'espace sur le temps alors qu'en somme c'est le temps qui est défini sur l'espace
Le mètre de sevre qui revient subtilement tel le boomerang dans la définition de la seconde
Il n'y a aucune circularité ; tu n'as rien compris. Pour définir la seconde on n'a absolument pas besoin d'une longueur. Il suffit de regarder un atome de césium et de compter 9 192 631 770 périodes, lesquelles périodes n'ont rien à voir avec une longueur.
Dernière modification par JPL ; 19/07/2012 à 17h18.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Pourtant si les comptes sont bons ça doit tomber sur :
un mètre = [9 192 631 770 / 299 792 458] fois la longueur d'onde de la radiation subtile de l’atome de Césium 133, ce qui fait retomber sur une valeur spatiale !
... la mesure d'une longueur d'onde n'est-ce donc pas une mesure d'espace
Quant à la seconde lorsqu'elle est définie comme « la durée de 9 192 631 770 périodes de la radiation correspondant à la transition entre les deux niveaux hyper-fins de l'état fondamental de l'atome de césium 133. » n'y-a-t-il donc pas la mesure d'une longueur d'onde qui se cache là-dedans
On ne mesure pas une longueur d'onde : tu n'as toujours pas compris... ou bien tu fais une fixation obsessionnelle sur certaines idées. Ce qu'on fait, en plus subtil, c'est de compter des bips. Et au 9 192 631 770ème bip on déclare qu’une seconde s'est écoulée.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Ah oui et par quoi les bips sont-ils donc instigués ?
Je parierais que les bips sont instigués par des mouvements sous-jacents subtils de particules massives. Car il semble que rien ne puisse changer sans mouvements sous-jacents de particules massives dans l'univers matériel.
Lorsqu'un feu clignote de manière régulière il faut que des électrons subtils se baladent dans des fils électriques.
Ou alors ce serait le ... "temps" ... lui-même qui instiguerait les bips
Apprends donc la physique au lieu de répandre tes inepties sur le forum.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
le temps est mesuré par le nombre de période....., où tu vois le rapport entre période et l'espace ?, les points d'une aiguille qui font un tour (période) on parcourus des distances de 0 jusqu'à 2pir , je peut réduire l'aiguille de ma montre de moitié (couper) ,mais le temps qu'il indiquera, ne changera pas .
Mais par ailleurs la seconde a été définie comme « la durée de 9 192 631 770 périodes de la radiation correspondant à la transition entre les deux niveaux hyper-fins de l'état fondamental de l'atome de césium 133. »
... C’est peut-être pas si simple que ça d’identifier le temps à de l’espace en fin de compte
je peux choisir deux systèmes de mesure du temps , le premiér dans un champs gravitationnel(pendule) , le deusième dans un champs éléctrique(éléctons ) , qu'effuctueront une période en même temps ou en même temps une période ,est ce que cela veux dire que les charges des deux champs ont parcouru la même distance???
1800 secondes, une fraction de seconde ... ces mètres retardent ...
les fondamentaux seraient donc des "inepties"?
non seulement les bips sont instigues par le déterminisme physique mais encore ce sont des masses d air en mouvement percutant des oreilles dotées de membranes vibrantes do re mi, fa sol la si
Je ferme temporairement cette discussion qui est du grand n'importe quoi depuis pas mal de temps. Si quelqu'un estime avoir des éléments nouveaux et scientifiques à apporter sur ce sujet il peut toujours contacter la modération pour une réouverture, mais en motivant avec précision sa demande.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Suite à la déclaration d'un des participants qui m'a dit qu'il n'interviendrait plus ici la discussion est rouverte.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Bonjour,
Pour faire de la physique expérimentale il est nécessaire de pouvoir :
- définir le référentiel (ou espace physique) d'étude autrement dit définir une notion de mouvement des corps (savoir dire d'une onde ou d'un corps, quel qu’il soit-éventuellement un satellite artificiel-, qu'il est continument immobile ou qu'il ne l'est pas).
- définir le temps propre cartésien d'une horloge régulière autrement dit savoir affirmer que les deux intervalles de temps définis par trois de ses bips (quels qu'ils soient) sont égaux ou distincts.
Connaissez-vous la description d'une expérience de physique où on se passe de l'un de ces deux concepts (espace physique d'un hypothétique expérimentateur et temps propre cartésien d'une horloge régulière) ?
Cordialement,
Rommel Nana Dutchou
Bonjour,
Je pense que on si dit cela, c'est parce que l' on interprète avec un temps-absolu quelque part.
La relation est symétrique, donc chacun vieillit comme l'autre, c'est en ramenant l'un à coté de l'autre que l'on constate une différence, le fait de ramener "casse" la symétrie, ce que l'on peut dire, c'est que chacun a vieillit de 1 seconde par seconde de façon symétrique tout du long de l'expérience, juste que pour le retour le voyageur aura eu un "chemin" dans l'espace-temps d' une "longueur" plus "importante", d'ou la désynchronisation (la symétrie n'est plus conservée) et le fait d'observer une différence d'âge.
Cordialement,