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Dernière modification par Pio2001 ; 14/04/2015 à 16h25.
Dans un espace vectoriel discret, les boules fermées sont ouvertes.
je me permet...Bonjour,
Partant de l'idée, que la loi de probabilité d'un lancer de dés par exemple est dénuée de valeur descriptive, (en effet cette probabilité ne dit absolument rien
sur la manière dont le dé va se comporter), la portée de cette loi de probabilité est uniquement prédictive.
Je me demandais si il en était de même pour les probabilités quantiques ? Sont-elles seulement un moyen de prédire, ou bien ont-elles une certaines valeur
descriptive ?
Cordialement,
est descriptif ce qui se contente d'énnoncer les faits, tels que perçu(phénomène) ... est explicatif, ce qui en décris les relation causale entre chaque faits, ou dans le fait théorique pose une grille de lecture prédictive de factualité future(hypothèse) à partir de factualité ayant été intégré a celle-ci (piou, je suis clair cet-après midi moi :/ )
autre chose, il y'a t-il vraiment des probabilités quantique... n'ya t-il pas que des probabilité classique (exploité comme jamais par borh a son propre compte et postéritée
l'essence des probabilités est de décrire un état de chose, une actualité, par essence même, les probabilités sont incapable d'expliquer quoique ce soit.. les probabilités ne sont pas une "mécanique" mais une optique(toujours descriptive)
de plus la quantique, il me semble souffre d'une tare originelle en matière de mécanique, pas de mesure digne de ce nom, pas par mauvaise volonté(loin de là d'ailleurs) mais par principe... laissant donc à un soit-disant indéterminismes libre-cours à ses fantasques caprices...
donc contrairement à ce que tu dis, si le lancer de dés en-soi n'est pas descriptif, énoncer sont résultat est donc descriptif (je dis ce que je vois)=> donc optique, relativiste... mais en rien explicatif, mécanique, (les ressorts du problèmes, état de chose), theorico-absolutiste... (je peux tout prédire, avant... mais surtout, tout expliquer après (cf, aristote)
quel est donc la forme de ses probabilité quantique contre celle "classique" toujours une proba de trouver 1 figures sur 4 cartes tiré, 1/6 pour un dés ? ou bien légèrement différent, comme pour l'effet EPR (soit violant les proba classique,(on est dans le magique pur (classiquement parlant)
Merci, je n'avais pas lu l'addendum.
Un peu, tout de même. C'est spécifique à certains espaces.
Par exemple, dans l'espace des spins 1/2, c'est l'angle alpha / 2 qui intervient, et non l'angle alpha.
Et dans l'espace des états d'Alice, cela n'a aucun sens, à moins de dire qu'une Alice ayant mesuré quelque chose est la somme quantique de deux Alice ayant mesuré autre chose !
Il y a un conflit direct entre les espaces de Hilbert à partir du moment où on intrique des états non orthogonaux entre eux (|a> et |a'>) avec des états orthogonaux entre eux (|Aa> et |Aa'>).
Dans un espace vectoriel discret, les boules fermées sont ouvertes.
Salut,
Ce que je fais n'est pas si énorme :
1) Je prend pour l'état complet (du système avec particules intriquées) l'état habituel et archi classique de la mécanique quantique
2) Je considère pour A et B (qui ne sont pas nécessairement humain ni même macroscopique) les sous-systèmes correspondants. Le lien avec (1) est simplement le projecteur sur le sous-espace de Hilbert correspondant au sous-système. C'est archi classique aussi (c'est beaucoup utilisé, par exemple mais pas seulement, dans la théorie de la décohérence).
3) Je regarde (1) et (2) à chaque étape du processus, montrant ainsi qu'il n'y a pas échange d'un signal physique autre que les particules elles-mêmes ou le signal des résultats mesurés, et ce malgré le caractère non séparable (c'est un peu une mise en image du théorème de non communication)
4) Je n'utilise a aucune étape la réduction. On peut toujours le faire, si on le veut vraiment, à la fin lorsque l'humain lit le résultat du calcul de corrélation sur l'écran de son appareil. En considérant tout le reste du système comme microscopique on évite même toute référence à des trucs bizarres comme "Alice est dans un état quantique superposé".
En effet, cela se voit avec le théorème de décomposition biorthogonal. Il n'a pas d'équivalent dès que l'on a au moins trois sous-systèmes (et ici il y en a quatre !). Et avec deux, on ne peut pas décomposer comme on veut (il n'y a généralement qu'une seule façon de faire). Il y a peut être de gros abus de "calcul" dans ce que j'ai écrit (et tu as raison, probablement dans la phrase commençant par "Mais ce dernier peut s'écrire dans la même base que A"). Ca mériterait de repasser dessus avec plus de rigueur mathématique, même si ça ne change pas l'idée générale que j'ai décrit plus haut. Mais c'est un peut râlant de laisser passer une coquille (*).
((*) ce qui m'énerve c'est que j'ai perdu le source, problème de disque dur et de.... manque de backup, il ne me reste que le pdf. Enfin, bon, y a moyen de moyenner).
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
... ça vient probablement du fait qu'il faut choisir entre déterminisme ou indéterminisme : dire la Nature est déterministe ou indéterministe mais dans tous les cas dire qu'elle est probabiliste ... ça ne veut rien dire du tout ou pas grand chose.Partant de l'idée, que la loi de probabilité d'un lancer de dés par exemple est dénuée de valeur descriptive, (en effet cette probabilité ne dit absolument rien
sur la manière dont le dé va se comporter), la portée de cette loi de probabilité est uniquement prédictive.