Bonjour,
Ce qui fait que ce serait un épiphénomène; la population restante étant plus que suffisante.
Ah ? Sources ?Dailleurs la disparition de la pluspart des grandes civilisations trouvent leur origine par un bouleversement climatique.
J'ai beau regarder pour l'Egypte ancienne, l'Empire romain, je ne vois pas trace d'un bouleversement climatique, mais très souvent un affaiblissement militaire et/ou politique en "root cause".
Il y a bien sur la cas de la civilisation minoéenne (éruption du Santorin), mais ce n'est pas une cause "climatique", et de plus, cette cause n'est plus du tout considérée comme principale, alors que la encore on retrouve une baisse de ressources alimentaires liée à l'augmentation de la population et les opérations militaires mycéniennes (donc on retrouve ici l'affaiblissement militaire).
Non, ce n'est pas le problème des bateaux (beaucoup étaient en mer, et on savait les reconstruire assez vite) mais de la destruction des infrastructures.Pour ce qui est de la fragilité de nos sociétés occidentales, il y a eu un précédent
https://fr.wikipedia.org/wiki/Séisme...755_à_Lisbonne
Tous les bateaux qui était nécessaires à maintenir l'influence du Portugal sur ses colonies et dont dépendait sa prospérité, ont été coulés en l'espace d'un claquement de doigt et la sentence fut immédiate: déclin irréversible de la zone d'influence du Portugal.
Là encore, pas un problème climatique, mais un problème écologique provoqué artificiellement (et la fragilité du système de canaux n'a jamais été considéré comme une cause unique - en effet, on retrouve par ailleurs deux constantes qui ont dans tous les cas bien aidé : hausse de la population et baisse de garde militaire alors que le Siam augmentait sa puissance).https://fr.wikipedia.org/wiki/Empire_khmer
Un autre exemple vient de l'empire Khmer . la civilisation Khmer reposait sur la prospérité agricole et son réseau d'irrigation. Mais, ce dernier était devenu tellement complexe qu'il fut impossible à entretenir, fragilisant l'ensemble face aux aléas climatiques . C'est un peu la version hydrolique du crack boursier de 2008
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