Salut!j'ai trouvé depuis peu une démonstration sur le fait suivant:l'espace oppose une resistance aux ondes qui le traversent!Je vous en fait part pour voir comment je me defends face au critique dans la prévision d'une publication prochaine.
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Salut!j'ai trouvé depuis peu une démonstration sur le fait suivant:l'espace oppose une resistance aux ondes qui le traversent!Je vous en fait part pour voir comment je me defends face au critique dans la prévision d'une publication prochaine.
Oui ? Il manque un partie du message ou tu as oublié d'attacher une pièce jointe : on n'a pas la démonstration...
Edit :
Par contre, avant toute démonstration, je me permets de te rappeler la charte :
Si tu penses être en conformité avec ça, vas-y.6. Ayez une démarche scientifique. Toutes idées ou raisonnement (aussi géniaux soient ils) doivent reposer sur des faits scientifiquement établis et non sur de vagues suppositions personnelles, basées sur d'intimes convictions.
Salut,Envoyé par Chun de Sanax, comte byteSalut!j'ai trouvé depuis peu une démonstration sur le fait suivant:l'espace oppose une resistance aux ondes qui le traversent!Je vous en fait part pour voir comment je me defends face au critique dans la prévision d'une publication prochaine.
je renchéris par rapport à Megami :
est-ce que par "publication" tu veux dire "publication sur Futura-sciences" ou publication dans une revue professionnelle de physique ?
Si c'est le 2e cas, il vaut mieux envoyer ton pre-print sur arxiv ou autre, publier ta nouvelle théorie dans une revue professionnelle, et attendre qu'une news de Futura en parle comme avancée intéressante en physique.
Si c'est le 1er cas, il est à craindre que tu sois d'emblée concerné par le point 6 de la charte...
Et si tu veux quelques questions à te poser avant d'oser publier, il vaudrait peut-être mieux demander : quelles questions faut-il se poser pour faire une nouvelle théorie physique ?
Merci de vos conseils, voilà la démonstration ( qui est basée sur une expérience de pensée et l'hypothèse de de Broglie ):En 1923, Louis Victor de Broglie (1892-1987), physicien français, démontra que de la même la façon que la lumière peut présenter des caractéristiques corpusculaires, les particules de matière, les électrons par exemple, peuvent présenter des caractéristiques ondulatoires. Cette caractéristique ondulatoire se présente telle que la longueur d’onde associée à chaque particule en mouvement L est égale à L =h/mv, équation dans laquelle h est la constante de Planck et mv la quantité de mouvement de la particule. En tirant les conséquences de ce qui précède et en généralisant l’hypothèse, il s’en suit que tout mouvement des corps s’accompagne d’une onde. Appliquons alors ce fait au mouvement de rotation d’un astre sur son axe. Ici il faut tout d’abord noter la différence entre un mouvement de translation et un mouvement de rotation :le premier est évolutif, le second est statique, par rapport à un même repère distant ;et ainsi les ondes associées au mouvement de rotation seront des ondes statiques.
Soit un corps A en rotation autour de son axe et parfaitement seul dans l’univers. En vertu de ce qui précède, à ce corps se trouve associée une onde liée à sa rotation. Intercalons à présent entre le corps et l’infini spatial(à noter que le fait que l’univers soit fini ou infini n’influe en rien au raisonnement) un autre corps B de vitesse de rotation appréciable. Que se passe-il alors ?
L’onde du corps A qui est statique peut être comprise comme étant l’onde de présence de A dans l’espace. La présence de B influe sur le comportement de A(attraction newtonienne, échange thermique, etc.) de telle manière que si un observateur O n’observait que A, il en déduirait l’existence de B de manière ondulatoire. Ce nouveau comportement de A(influence sur sa rotation, son équilibre, etc.)fait associée à celui=ci une nouvelle longueur d’onde L’ liée à la présence de B.Exprimons donc la nouvelle longueur d’onde en fonction de l’ancienne. Soit L’=L*j, ou j est un facteur dépendant de certaines caractéristiques du système formé par A et B.
Proposons-nous alors de déterminer j.
1.On considère tout d’abord le fait que si le corps B n’existe pas, L’ n’existe pas ou du moins vaut l’infini. On écrit alors : si B existe, L’ existe et si B tend vers 0 L’ tend vers l’infini. On en déduit que L’=1/B.B représentant ici le diamètre de corps.
2.On constate évidemment que si A n’existe pas, il ne sert à rien de chercher L’.Donc L’=1/A.
3.Si le second corps s’éloigne indéfiniment, l’onde de présence augmente car les effets de présence de B diminue. D’ou L’=R.
4.En outre si la masse Ma de A est très importante L’ est très petit ; si Mb est la masse de B et si Mb est très grand alors L’ est très petit. D’ou L’=Ma*Mb.
On a donc j=R*Ma*Mb/A*B*z, z étant un facteur de proportionnalité car j est un facteur. En posant aussi que n=Ma*Mb, on a j=Rn/A*B*z.
Ici commence les problèmes qui vont mettre le feu au poudre. En effet si nous considérons l’espace, il nous apparait que R+Rm=Ru ( avec Rm le rayon complémentaire de R pour donner Ru le rayon de l’univers).Donc on peut exprimer R en fonction de Rm et Ru, soit R=Ru-Rm.Remplaçons cette expression dans celle de L’.On a :
L’ = L*n/z*R²/(A*B) = L(n/z)*(Ru-Rm)²/(A*B)
=L(n/z)*(Ru²-2Ru*Rm+Rm²)/A*B
=L(n/z)*(Ru² + R²m)/A*B – L(n/z)*2*Ru*Rm/A*B
On peut poser que La = L(n/z)*(R²u + R²m)/A*B et Lb = L(n/z)*2*Ru*Rm/A*B
On a alors L’ = La – Lb .On constate que L’ est une résultante. Et en écrivant L’ = La + (-Lb), on constate que si nous considérons que le signe positif est celui du sens du mouvement potentiel des ondes allant de A vers B et le négatif comme le sens contraire, on s’aperçoit que Lb s’oppose à La car si ce dernier existe le premier existe aussi. Lb peut être considéré come l’onde de retour de La. Or en physique, si nous faisons l’analogie avec le MRUA, tout mouvement de sens contraire au mouvement moteur se caractérise par l’existence essentiellement des forces de frottement. Ainsi l’on peut dire que Lb est l’opposition induite par l’espace à la propagation de La !
CONCLUSION :
1. Dans un espace, qui prit dans le sens moderne (c’est-à-dire inexistence de l’éther) toute onde de liaison est constituée de deux parties en fait.
2. Tenter de décrire le comportement des corps sans tenir compte de l’onde de retour est vain pour certains phénomènes.
3. Il est nécessaire de trouver une nouvelle théorie pour expliquer la disposition des corps autour d’un corps central.
D’où la loi de la duplicité ondulatoire qui s’énonce de la manière suivante :
« A toute onde de liaison correspond une onde de sens contraire, discrète et dont le point d’application est à l’opposé de celui de la première. »
Les principes universels que l’on tire de cette loi permettent d’expliquer des faits tels que le mouvement rétrograde de Venus, la valeur des constantes fondamentales de la physique, et ouvrent la voie à une nouvelle théorie, qui loin d’être inflexible se veut le complément de toute les théories actuelles.
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Les principes universels que l’on tire de cette loi permettent d’expliquer des faits tels que le mouvement rétrograde de Venus, la valeur des constantes fondamentales de la physique, et ouvrent la voie à une nouvelle théorie, qui loin d’être inflexible se veut le complément de toute les théories actuelles.
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J'ai une théorie moi aussi :
Notons M la mère, P le père et F le fils.
On considère tout d'abord que si la mère n'existe pas, alors le fils n'existe pas, ou du moins ne peut exister qu'à l'infini. On a donc F=1/M.
De plus, si le père est grand, le fils sera grand aussi et de même si le père est petit, le fils sera petit. On en conclut naturellement que F=P.
On peut donc synthétiser les diverses parties du raisonnement pour obtenir la clé de voute de ma théorie : F=P/M.
D'où la loi d'ontogénèse duale : "père sur mère donne fils".
Les principes universels que l'on peut déduire de cette loi sont à même d'expliquer l'origine de la vie, pourquoi un vers de terre couper en deux en donne deux, mais aussi le réchauffement de la planète, comme je vous le révèlerais bientôt.
Bonsoir
Pas mieux que Gillesh38, le vieux Nicolas vient de se retourner dans sa tombe !
Par contre Robert maitrise bien l'approche mathématique de phénomène rares et inexpliqués à ce jour, je pressent un doublé historique Nobel + Fields.
JR
Bonjour Chun de Sanax, comte byte,
megami vous a rappellé avec raison l'article no 6 de notre charte. En gros, une théorie n'émerge pas par génération spontanée. Je m'explique : avant de jouer du violon (les enchaînements d'équation), il est bon d'expliquer en quoi votre théorie expliquerait mieux les faits que la théorie existante. Cela présuppose que vous compreniez bien la théorie existante et soyez assez fin renard pour en décrire les failles fondées sur des faits scientifiques; ce qui serait en soi un incitatif très fort pour une nouvelle théorie.
Or votre "théorie" s'attaque à rien de moins qu'aux équations de Maxwell et à la relativité générale et ça vous n'en faite nullement mention. C'est fort mal partie, vous comprendrez...