Exemples avec le 4066 cmos
bonjour les ami(e)s , je voudrais savoir des applications sur le c i
cmos 4066 .
merci d'avance
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meilleur parmi vous , meilleur pour des autres
bonjour
il a un autre equivalent c'est le 4016.
datascheet :http://www.datasheetcatalog.net/data...6/6/4066.shtml
voir aussi :
http://www3.sympatico.ca/lloyd.gordon3/images/4066.pdf
http://www.sonelec-musique.com/elect...audio_001.html
il sert aussi a faire des cadnas electronique.
On vous a donné que peu de savoir ....PDD
Bonsoir Ibtihel , oui j'ai trouvé des exemples sur ces adresses , je vous remercie amicallement , bonne chance .
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meilleur pour vous , meilleur pour des autres .
En regardant les spécifications, on luit que le 4066 a d’abord une petite résistance On qu’on peut mesurer autour de quelques dizaines d’Ohms; de ce côté le 4016 est un peu moins résistant. Mais cette résistance et la série de quatre Rdson, donc on ne peut pas demander une valeur très reproductible ni stable en température ou fonction de la tension d’attaque instantanée. De plus il est préférable de l’utiliser à une impédance d’entrée/sortie de quelques kΩ pour que l’impédance passante soit négligeable.
Côté isolation, dans la plupart des cas, c’est très suffisant; côté bande passante, j’ai vu des schémas qui utilisaient des 4066/4016 jusqu’à une centaines de MHz.
De plus, on voit aussi dans les specs que toutes les entrées (incluant donc les entrées/sorties analogiques) doivent se trouver entre les ‘rails’ d’alimentation et présente un plus bas Ron autour du milieu entre Vcc et Vdd , avec la limite générale des CMOS soit 18V du Vcc au Vdd, mais rien n’empêche de fabriquer un +9V et un -9V pour des signaux analogiques autour de 0V.
Comme c’est Noël, je joins deux schémas avec une porte analogique commutant des signaux sans composante continue dans des conditions un peu critiques. La porte analogique est alimentée en +12V / 0V.
Le schéma avec l’AOP comporte un condensateur de découplage en entrée ainsi qu’en sortie, lors de la commutation, la résistance R sert simplement à maintenir C chargée à la bonne tension afin d’éviter le ‘Poc’ quand la porte devient conductrice. La résistance de source R1 est de quelques kilo Ohms au minimum ce qui rend non mesurable la distorsion apportée par la porte.
Dans le deuxième schéma, l’entrée comme la sortie de la porte est découplée pour s’adapter à deux appareils avec des composantes continues différentes. Encore une fois, on force les deux condensateurs de liaison à se charger au travers des deux résistances te haute valeur à la tension qu’ils auront après fermeture de la porte, éliminant tout ‘Poc’ de commutation. Le condensateur C empêche le signal de passer lorsque la porte est ouverte. Là encore les impédances de source et de charge doivent être de l’ordre du kilo Ohm au moins.
Erratum : j’ai oublié une résistance en parallèle sur le condensateur dans le second schéma.
