Bonjour,
Au démarrage d'un moteur le cos phi est de l'ordre de 0.3. En régime il est de l'ordre de 0.8,0.9. Ce sont des valeurs approximatives.
Cette variation du cos phi vient d'une variation de l'inductance du moteur au démarrage or à mon sens celle ci dépend uniquement de la configuration géométrique du moteur (nombre de pole, ...) ca fait que je ne vois pas bien d'ou vient cette variation.
A bon entendeur salut,
c'est la fem qui varie pas L ok
bjr. d'après https://fr.wikipedia.org/wiki/Machin...uite_:_g_.3D_1 Je pense qu'au démarrage puisque que le glissement est unitaire, alors en conséquence la résistance équivalente de charge doit être minimale et de là le cos phi va se retrouver à son maximum.
bonjour,
Oui j'ai clôturé le sujet un peu vite. Je pensai pour les moteurs synchrones ou on a le meme phénomène.
Pour moi la fem coté stator est plus grande au démarrage mais c'est vrai que si on bloque le rotor ou on cree un glissement ca fait varier l'inductance.
Cos phi à son minimum vous voulez dire, à son maximum (1) c'est resistif.
c'est bien possible, si je bloque le rotor c'est la son inductance est la plus grande.
Sa resistance elle ne doit pas changer à mon avis.
pour mon avis
oups oui (je devais penser à Phi tout court en écrivant ça ^^)
Sinon je ne parlais pas de la résistance cuivre mais de la résistance matérialisant la charge (puissance mécanique) introduit plus haut dans le raisonnement et qui dépend du glissement : https://fr.wikipedia.org/wiki/Machin...3.A9_au_stator
Si les inductances mutuelles voire propres varient bien selon la position du rotor (puisque la géométrie du circuit magnétique est modifié), en revanche je ne vois pas de relation entre inductances et vitesse
