Bonjour tout le monde !
Étant donnée que la puissance électrique instantanée p(t) = u(t).i(t) , et en l’appliquant au cas d'un signal sinusoïdal u(t) = Umax.cos(wt) aux bornes d'un dipôle passif quelconque qui a comme impédance complexe Z = R + i.X , on arrive après un petit développement à l'expression de la puissance instantanée suivante :
Ces deux quantités sont respectivement la puissance active instantanéeet la puissance réactive instantanée
, telles que :
puissance active instantanée
puissance réactive instantanée
La valeur moyenne de la puissance active instantanée (évidemment sur une ou n-periodes) est :
C'est la puissance active que les électrotechniciens retiennent en monophasé.
La valeur moyenne de la puissance réactive instantanée est nulle.
Alors on en déduit que :
Donc enfin la valeur moyenne de la puissance totale est égale à seulement la puissance active.
Ma question est ; à quoi sert la relation :malgré qu'elle ne représente ni la puissance réactive instantanée
, ni la puissance réactive moyenne
(déjà la réactive moyenne est nulle) ?
J'aimerais bien que vous me donniez un bon exemple pratique qui prouve l'utilité de cette expression Q=UI.sin(phi), car apparemment on la rencontre seulement dans les copies de l'examen d'électrotechnique
Cordialement.
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. D'apres ce que j'ai vu dans un film c'est un pur génie nommé Nicolas Tesla qui à compris et promus l'idée que c'étais plus rentale d'utiliser du sinusoidale (à la place du continue) pour la distribution d'un réseau électrique à grande échelle grace aux transformateurs limitant les pertes (THT vers HT vers BT) et à ses inventions : l'alternateur installé dans un centrale de production électrique, le moteur asynchrone installé dans les usines... L'utilité du sinusoidale se serait donc finalement d'économiser des sous. Que la puissance réactive existe c'est plus une conséquence indésirable, que quelque chose de voulu.



