Bonjour,
si les enceintes que tu utilise font 8 ohms, il faut poussé le courant de repos a 1,8 ampères, ce qui va augmenté l'échauffement de l'ampli
Pour la température pas plus de 80° sur le boitier des 2N3055 c'est bien.
La tension de sortie (avant C2) est bien au milieux de la tension d'alim ?
Dernière modification par DAT44 ; 07/03/2019 à 22h49.
bonjour a tous
un grand merci a seb 26 de prendre ma défense
mettons les choses au clair ,j ai 62 ans un cap electromecanique ,il y a deux ans je ne savait même pas qu il y avait plusieurs classes d amplis.suite a une immobilisation apres une operation je me suis fabrique une enceinte bluetooth avec un tda 2003 par la suite j ai decouvert sur internet le jlh1969 dont certains disaient le plus grand bien .vu mes moyens limités en connaissance et financier je l ai trouvé a ma porté, je l ai monté avec votre aide et celle d un copain et je suis tres content du resultat .le premier transfo 24v etait un peu limite j ai dû mettre deux enroulements en// je l ai changé ça marche beaucoup mieux (plus de basses) plus tard j essaierais de remplacer les 2n3055 par des mj15003 il parait que c est mieux. je suis conscient qu avec les nouvelles technologies on peut sûrement faire beaucoup mieux ,....... plus tard peut être .mais mon problème c est qu il chauffe pas mal d apres moi toute les infos que j ai pu trouver disent la classe a ca chauffe mais pas de chiffres .alors les gars un peut d indulgence vous allez pas me mettre au bucher pour si peux????
Bonjour,
Es-tu allé regarder les liens du message #19 pour voir un peu comment certains calculent le transfert de chaleur ?
Seuls les faucons volent. Les vrais restent au sol.
Bonjour,
si le montage chauffe trop, tu peux le modifier pour le passer en classe AB, tu aura quasiment la même puissance en sortie, mais l'ampli ne chauffera quasiment plus au repos ...
Re : ampli jlh 1969
L'écoute de la musique, c'est tellement subjectif et cela dépasse tellement les aspects techniques ...
Ce qui se cache derrière la technique pour permettre d'offrir ce que l'on écoute est un sujet, un vrai sujet, avec de vrais chiffres, avec des techniques, avec des consommations, avec une déformation du signal d'origine, ce que certains appelleraient des distorsions et que d'autres considéreraient comme autre chose.
Parler de la restitution du monde sonore, c'est un univers à part entière.
Alors après, tout peut faire débat, l'intérêt d'une classe ou d'une autre, le fait qu'on introduise ou pas la contre réaction, les effets bénéfiques de telle et telle technologie, le fait qu'une technologie soit dispendieuse en terme d'énergie, ..., mais souvent, pour les mélomanes, la fidélité de la restitution du signal d'origine, une forme de quête du graal en quelque sorte.
Chacun a sa marotte. Par exemple, mon oreille a été éduquée, sans le savoir (probablement comme certains d'entre vous) au son du ... "germanium", comme pour d'autres, au son "des lampes".
L'oreille t-elle vraiment été éduquée au "germanium" ? Cela a t-il un sens ? Existe t-il vraiment une réalité d'un son "germanium" ?
Le subjectif est alors total.
Par contre, lorsque qu'une paire d'AC187K et d'AC188K sont en étage final, d'un tout petit classe B, d'un petit appareil restituant de la musique, l'oreille semble flattée ... Enfin, c'est ce que je crois percevoir.
Pourquoi et quelle réalité derrière cela ? Spectre sonore différents ? Déformé ? Illusion sonore ?
Il faudrait presque réaliser une décomposition en série de fourrier de différents signaux type, pour caractériser ce qui peut être ou pas différent. En déduirions-nous quelque chose d'identifiable ? Même pas sur.
Et quand bien même cela réalisé, la musique est composée par tout autre chose qu'une collection de différents signaux types et nous entrons dans un monde d'une complexité folle.
Tout cela pour juste dire que la technique seule ne peut pas tout expliquer, ni tout justifier sur un tel sujet. Nos oreilles et l'analyse que notre cerveau fait des perceptions sonores nous échappent et de très loin ...
Bonne journée
