Bonjour.
avec une alimentation externe, comment je peux aller un appareil grace à un bouton comme celle de l'ordinateur, tu appuis une fois et le bouton reviens à sa position initial mais la machine reste allumer et elle ne s'éteindra pas sauf si tu appuis encore une fois.
j'ai pense à un triac mais je ne vois pas si je me trompe ou pas donc je passe ici pour avoir plus de lumiere
bjr; un triac en continu reste passant une fois amorcé , un simple BP a accrochage fera parfaitement l'affaire .
Merci beaucoup pour votre reponse super rapide, est ce que t'as une suggestion d'un triac SMD un truc trop petit que je peux acheter sur aliexpress par exemple ?
avec un triac ca ne fonctionne pas . on va pas faire 30 messages pour que tu comprennes çà.
donc il faut absolument de passer par un bouton poussoir qui reste foncer Mmm mais comment ils font les construteurs !!! pour avoir un certain bouton, regarde cette image, ce mini pcb s'allume une fois en clique sur le bouton et il reste allumer jusqu'à ce que j'appuis encore une fois sur le bouton
Bjr à toi, C'est vrai qu'il est plus facile de s'embéter la vie que d'utiliser un SIMPLE bouton à "bascule".
Le premier appui fait basuler le bouton coté "contatct "et RESTE permament, un deuxiéme appui et le bouton " coupe le contact".
C'est plus clair de cette façon.
A+
Bonjour,
On devrait trouver diverses discussions sur le forum traitant de cette question, mais il y a deux idées de base :
1. Utiliser un micro-controleur ayant un mode sommeil ayant une consommation < 1 uA et venir régulièrement lire l'état du switch ("polling").
2. Utiliser un montage hardware : l'appui sur le bouton démare une temporisation hardware qui alimente le circuit pendant un temps fixé. Après le premier appui manuel sur le bouton, le micro-controleur simule des appuis sur le bouton de manière à maintenir le circuit alimenté jusqu'à ce qu'il détecte un nouvel appui sur le bouton. C'est ce que font les deux montages ci-dessous :
Pour celui du haut :
- un appui sur le BP entraine une décharge brutale de C2 au travers de D1-R5 (cette dernière résistance limitant le courant de dcharge), rendant passant le PMOS, ce qui alimente le microcontroleur.
- une fois démarré, le microcontôleur va mettre à zéro sa sortie GPIO, assurant que le condensateur C2 reste déchargé.
. à intervales réguliers (e.g. toutes les 100 ms), la GPIO passe en entrée et mesure l'état du BP : zéro (bouton appuyé) ou un (bouton relaché)
L'inconvéniant majeur de ce schéma est qu'il existe une diode interne au microcontroleur, entre sa GPIO et son Vcc (cathode au Vcc), qui va permettre une fuite de courant de la batterie au montage alimenté... ces quelques dizaines de uA de fuite peuvent, ou non, être un problème.
Pour celui du bas :
- un appui sur le BP entraine la mise en conduction de M1, qui décharge brutalement de C1 au travers de R1 (cette dernière résistance limitant le courant de dcharge), rendant passant le PMOS, ce qui alimente le microcontroleur.
- une fois démarré, le microcontôleur va mettre à un sa sortie GPIO, assurant que le condensateur C1 reste déchargé.
. à intervales réguliers (e.g. toutes les 100 ms), la GPIO passe en entrée et mesure l'état du BP : zéro (bouton relché) ou un (bouton appuyé).
Le circuit est un peu plus complexe, mais le courant de fuite n'existe plus.
On trouve possiblement/probablement des montage davantage optimisés sur le net.
Deux pattes c'est une diode, trois pattes c'est un transistor, quatre pattes c'est une vache.
Perso je mettrais une bascule D (CD4013) en diviseur par 2 avec le bouton sur l'horloge, anti rebond, et la sortie commandant un MOSFET qui alimente le truc.
