Chers Cécile et Bertrand,
Bon, eh bien brisons là. Chacun à ses rêves et l'avenir tranchera. Toutes mes excuses, Bertrand, pour mes affirmations quelquefois péremptoires, mon seul souci est d'attirer l'attention de mes congénères au fait que l'espèce humaine est sur une pente dangereuse et qu'elle a besoin de l'imagination, mais aussi du réalisme et de la volonté de tous ceux qui s'en rendent compte pour s'en sortir sans catastrophes majeures.
Amicalement paulb.
-----