La courbe du GIEC dans son rapport de 2007:
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Décidément le GIEC adore les crosses de hockey... Déjà imaginer que le taux de CO2 est resté quasiment constant autour de 275 ppm et ce pendant 10 000 ans (oui regardez en abscisse c'est sur 10 000 ans...) c'est gros. C'est même ridicule, car tout change dans la Nature et durant ces 10 000 ans les variations de régimes climatiques ont été légion.
Mais en plus on a la preuve que c'est faux par des mesures directes, portant sur non pas 10 000 ans mais sur 180 ans. Voir ci-dessous.
Cette courbe ci-dessus donne une comparaison entre les mesures du taux de CO2 obtenues par les carottages glaciaires (en gris) utilisées par le GIEC, et les résultats (en rouge) de 90 000 mesures directes dans l’atmosphère, effectuées par un grand nombre de chercheurs, de différents pays, et publiés dans 173 revues scientifiques. La courbe en bleu représente les températures.
Les mesures du graphe (lissées sur cinq ans) ont été obtenues par diverses méthodes de titrimétrie (dosage chimique direct du CO2 par précipitation en carbonates avec des bases telles que KOH ou NaOH et analyse quantitative) avec une excellente précision variant entre 6 et 3 ppm. Plusieurs auteurs de ces mesures ont été couronnés de prix Nobel (tels Krogh et Warburg ). Ce graphe est extrait du travail de compilation réalisé par un chercheur de Freiburg (Ernst-Georg Beck). Source:
Pourquoi cette différence ? Parce que depuis 1960 c'est la station de Mauna Loa à Hawaï qui prend les mesures directes dans l'atmosphère. Alors que pour les taux de CO2 antérieurs on procède par analyse des bulles d'air prises dans les carottes glaciaires. Ce qui est une méthode incorrecte.
1- Cette technique présuppose en effet que tous les gaz de l'atmosphère, sont retenus dans les microbulles dans la même proportion qu'ils avaient dans l'air. Ce qui est très loin d'être évident.
2- Cette technique présuppose aussi que la composition en CO2, O2, et autres gaz, reste constante au cours du temps au sein de la matrice de glace. Pourtant, nombreux sont les chercheurs qui affirment qu'il n'en est rien. Ainsi, le CO2 peut se dissoudre dans de minuscules poches d'eau encore présentes même à très basse température. Les clathrates* peuvent aussi absorber le CO2.
3- Enfin, le carottage lui-même induit une contamination plus ou moins importante.
Prière de mettre tes figures en pièces jointes
merci
Le CNRS confirme la faible fiabilité des mesures par analyse des bulles d'air des carotte de glace, dans une étude ici:
http://www.insu.cnrs.fr/a902,nouvell...0-000-ans.html
Donc, nous dire que la courbe du taux de CO2 a explosé vers le haut à cause de l'homme est fondé sur des mesures fausses. Etonnant non?
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