L’opinion publique commence à s’interroger sur les observations de ces traînées blanches persistantes laissées par les avions…
Météorologues et scientifiques nous parlent de « simple condensation », incriminent l’ « accentuation du trafic aérien »… et balayent d’un revers de main (parlant même de conspiration !) l’hypothèse d’épandages d'aérosols visant à constituer un écran au rayonnement solaire, afin de freiner le réchauffement terrestre, reproduisant ainsi un effet Pinatubo-like.
1 - En effet, la condensation ne s’observe que pour des altitudes bien plus hautes que celles où sont observés ces avions, et on n’a jamais constaté une telle persistance de ces traînées blanches, qui figurent des maillages, premier stade de la confection de « quelque chose »
http://www.dailymotion.com/video/xac...bruxelles_news
(40è sec)
2 - La mutation du ciel est dès lors aisément observable : neo-nuages, nommés « cirrus fibratus vertebratus » par Météo-France, alors qu’il s’agit de diffusion latérale de traînée d’avion :
Parhélies, autrefois très rares, de plus en plus fréquemment observées et incluses dans ces pseudo nuages
3 - Ces traînées s’interrompent et sont reprises, évoquant manifestement un largage de « quelque chose » ; une condensation « discontinue » n’est pas franchement une explication concevable.
Cette vidéo est, à cet égard, très démonstrative : on ne peut arguer de conditions d'humidité, de température...
http://www.youtube.com/watch?v=2GQu2...eature=related
4 - Cet article sur la géoingénierie fournit une piste de réflexion intéressante :
" Edward Teller, (éminent physicien d'origine hongroise), père de la bombe H US, proposait, pour refroidir la planète, de créer autour de la terre un énorme bouclier chargé de détourner les rayons du soleil pour stabiliser le climat. Cet écran solaire géant coûterait moins d'un milliard de dollars par an - moins que les mesures imposées par le protocole de Kyoto. Selon les calculs de Teller, un million de tonnes de particules d'aluminium et de soufre feraient chuter l'insolation terrestre de 1%, contrebalançant ainsi l'effet de serre. Les climatologues russes de l'Institut du climat mondial et de l'Ecologie préconisent des mesures similaires.
Ces idées, déjà anciennes, ont été réactivées par les résultats d'études sur les conséquences de grosses éruptions volcaniques comme celles du El Chichon en 1982 : les particules de dioxyde de soufre (SO2) crachées par les volcans dans l'atmosphère font chuter significativement la température terrestre pendant quelques semaines, voire plusieurs années. Ainsi, l'éruption du Pinatubo (Indonésie, 1991) a fait baisser les températures au sol d'environ 0,5 °C en moyenne pendant plusieurs mois. Cela a correspondu en réalité à des refroidissements importants dans certaines régions, et des réchauffements dans d'autres, comme l'Europe du Nord.
En 1992, l'Académie nationale des sciences américaines envisageait d'utiliser les avions de ligne pour combattre le réchauffement climatique (« Policy implications of Greenhouse Mitigation, Adaptation and the Science Base »)*
L'utilisation de la géoingénierie est le moyen de permettre aux pays développés de ne rien changer à leur mode de vie. C'est ce que sous-entendait Colin Powell lors du Sommet sur le développement de 2002, au cours duquel il avait réitéré le refus des Etats-Unis de ratifier le protocole de Kyoto. Il avait alors révélé que les Etats-Unis étaient engagés « dans des actions pour satisfaire les défis environnementaux, y compris le changement climatique global, et pas seulement dans des rhétoriques", précisant qu'ils avaient déjà « des milliards de dollars dans des technologies de pointe » beaucoup plus efficaces que les mesures préconisées par ce protocole.
Le Centre national américain des recherches atmosphériques estime, lui aussi, que le moyen le plus efficace de réduction du réchauffement global est l'épandage par des avions de composés d'aérosols (particules en suspension dans l'air) réfléchissant une partie des rayons solaires dans l'atmosphère."
(*http://books.nap.edu/openbook.php?isbn=0309043867
à droite : 28 geoingeneering)
On indique clairement le recours à « dust into stratosphère », au SO2, et son largage, entre autres moyens, par « aircraft exhaust » avec même les coûts détaillés d'une telle procédure
L'éminent climatologue Jean-Marc Jancovici confirme bien que :
« Comme le SO2 a tendance à favoriser la formation de nuages bas, outre que les particules de sulfate qu'il engendre ont elles aussi un effet réfléchissant de manière directe, ce gaz est donc considéré comme un "refroidisseur du climat"»
5 - Enfin, très étranges, et assez confirmatives que « quelque chose » se passe dans notre ciel, et que l’on cherche à nous y habituer, sont ces incorporations de traînées blanches dans les publicités
Ici, p.ex., pour un fromage :
http://www.youtube.com/watch?v=7t_5VTntuPg&NR=1
Et surtout, de façon surréaliste (plus c'est gros, mieux ça passe), dans ce Zorro colorisé, passé récemment sur FR3 : on est tout de même au XIXè siècle…
L'ensemble de ces faits irréfragables incite plus à l'investigation sérieuse qu'au ricanement.
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