Bonjour à tous !
Je voudrais savoir si un végétal chlorophyllien soumis à la lumière solaire (ou équivalente) jour et nuit pourrait développer quelque état de détérioration biologique, ou si cela pourrait l'"épuiser"...
On pourrait contourner le problème de l'assèchement avec une humidité ambiante mais, étant donné que les végétaux sont biologiquement adaptés pour suivre les cycles lumineux du jour et de la nuit, cela n'aura-t-il pas un effet indésirable sur le sujet ?
Parce que, le but de cette manoeuvre serait (vous l'aurez peut-être compris) de doubler la production de dioxygène nécessaire à la respiration cellulaire de nous autres humains, ce qui serait bien pratique en milieu isolé, voir "fermé" tout simplement. Etant donné que la photosynthèse des végétaux se met "en marche" automatiquement lorsque ils sont sujet à la lumière dont le spectre se rapproche de celui du Soleil, serait-il possible de prolonger atrificiellement cet état de production de dioxène qui prendrait alors définitivement le pas sur la respiration cellulaire de ces mêmes végétaux, ce qui aurait pour effet d'annuler totalement la déperdition de dioxygène entraînée par la présence du sujet en milieu obscur ?
Je me doute que cette question a déjà dut être soulevée en quelque endroit du net, mais je vous remercie d'avance pour vos éventuelles réponses.
Pel.
-----