Je répète que la préservation de l'environnement n'est pas un but, mais un moyen. Si c'était LE but, la solution est évidente: destruction immédiate de l'humanité. Manifestement, personne ne le propose, ce n'est donc pas LE but.Envoyé par Seb299792
Deux choses ne sont pas évidentes.
1) Dans quelle mesure il faut préserver l'environnement (et pour cela il faut expliquer en détail pourquoi préserver l'environnement, pas comme principe général)
2) Dans quelle mesure les actions préconisées préservent l'environnement.
Alors seulement ont peut juger si elles sont adaptées, exagérées ou insuffisantes.
Il m'est difficile d'imaginer que le but soit autre chose qu'une vision de la place de l'homme sur Terre dans les siècles futurs. Ce que propose Gilles est un exemple d'une telle vision (et il se trouve que je la partage! J'ai essayer de développer un peu dans une des discussions sur le développement durable.).
Si tu arrives à déduire cela de mes écrits 1) tu as beaucoup d'imagination, 2) lis autre chose, tu perdras moins ton temps.Certe, tu peux t'amuser à nier les évidences et à tout remettre en cause. Si tu n'es pas capable d'admettre que ce qui ce trouve au fond de nous même nous rattache inexorablement à la nature, à l'environnement, tant par sa nécessité physiologique que par ces effets psychologique, tu peux toujours analyser de fond en comble l'intérêt que ca porte.
Chacun doute de tout, sauf de ce qui lui paraît évident.Pour ma part, je pense qu'il vaux mieux passer outre, tellement cela me semble évident.
Je ne me pose pas la question s'il faut la préserver, mais dans quelle mesure peut-on la préserver. Pour être précis, dans quelle mesure la préserver avec comme donnée 10 000 000 000 humains.je ne me pose même pas la question de savoir si je veux ou pas essayer de la préserver.
La communauté scientifique ne peut pas se pencher sur cette question, au sens que j'emploie le mot "science". La science n'a pas vocation à affirmer que tel futur de l'humanité est "mieux" que tel autre. Elle peut par contre s'efforcer à fournir quelques bornes aux futurs possibles. Et il y a bien des efforts dans cette direction.NON! L'affirmation "Il faut réagir" ne découle pas des points précédents
C'est sûre que la communauté scientifique ne s'est pas penché sur la question peut être ?
J'ai l'impression que tu ne réalises pas que je ne juge pas le contenu des arguments dans le domaine, mais leur forme. Avec le texte de de Hume cité, il a soulevé un problème important, un sujet difficile de discussion philosophique. De ce qui est, et de ce qui est possible (les deux choses que les scientifiques cherchent à établir), on ne peut pas affirmer "if faut" ou "il ne faut pas": c'est de la simple logique. Ce qui manque est exactement ce qui permettrait de discuter de l'adéquation des solutions proposées au problème.
Cordialement,
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