Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Ce qui pourrait être terrifiant, c'est la façon d'y arriver mais si c'est d'ici 2300 , c'est sans doute en douceur et je suis comme toi, je ne vois pas ce que ça a de terrifiant.
Par contre, en douceur, ça c'est peut être beaucoup plus discutable.
Dix secondes pour écrire une bêtise, parfois des heures pour montrer à tous que c'en est une...
"la fécondité se maintient au-dessus du niveau de remplacement des générations ou reste durablement en dessous." est difficile à analyser autrement que en douceur dans l'analyse citée (faudrait aller vérifier, mais je n'imagine pas un tel rapport faire dans le gore).
Sur 225 ans, ça fait du -0.9 % par an. Sur une génération (29 ans), un facteur 0.775, soit en moyenne 1.6 enfants par femme.
Ce serait plutôt un scénario idyllique, mieux que la stabilisation, à mon idée...
Dernière modification par Amanuensis ; 03/12/2015 à 22h19.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Eh oui mais il me semble que beaucoup de gens ne pensent pas ainsi ou n'y pensent pas du tout
Dix secondes pour écrire une bêtise, parfois des heures pour montrer à tous que c'en est une...
Je remarque que 36.4 x 2.3 = (9.15)² Peu de chance que ce soit un hasard, hypothèses haute et basse symétriques! Et vers le haut, difficile que ce soit autrement que "en douceur" (à quelques épisodes près).
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
peut être que l'auteur du texte voulait dire terrifiant pour le premier nombre, pas le second, ou alors, probablement qu'il anticipe sur le nombre "bas" qui se dirige vers l'extinction; car j'ai entendu certains dire que cela les inquiétaient de ne pas faire assez d"enfants au cas où nous disparaissions, ouep, on risque de disparaitre pour bien d'autres raisons;
Réaugmenter la population est facile, pourrait se faire rapidement et devrait être bien acceptée. Le risque, s'il y en a, sera géré quand nécessaire.
Diminuer la population "en douceur" est difficile, prend du temps et les mesures nécessaires mal acceptées.
Il y a une dissymétrie très forte entre les deux "problèmes". Les degrés d'inquiétude devraient être en conséquence très différents.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Sujet tabou en effet, et pourtant essentiel.
Imaginons un scénario où la Chine ait suivie une politique nataliste.
En projetant sa démographie dans la continuité de celle des années 60, on aboutirait en 2015 à plus de 9.000.000.000 de chinois.
Surprenant non?
Et si dans le même temps on avait appliqué de manière rigoureuse la politique de l'enfant unique en Afrique, on en serait à 200.000.000 d'africains.
Mais a-t-on vraiment besoin d'une politique coercitive pour stabiliser la population?
Sans aller jusque là, on peut déjà s'interroger sur le but égoïste et cours termistes des politiques natalistes. Etait-il nécessaire d'aller jusqu'à placarder des pubs (Ségéla) pour faire des "fils de pub".
Sans parler de la culpabilisation de la contraception en Afrique par les religieux.
Les religions porteront leur part de responsabilité dans cette situation.
L'histoire nous montre qu'une bonne instruction (plus prise de conscience), politique sociale, (garantie de la retraite) plus athéisme, suffit à l'auto-régulation.
Le taux de natalité en Allemagne est inférieur à celui de la Chine (deux enfants par femme, malgré la politique de l'enfant unique).