Aux réunions internationales, devant les organismes financiers, les pays n'annoncent pas la même chose qu'aux citoyens. Il y a des pseudo-études pour justifier des décisions illuminées et il y a des vraies études pour se justifier face au monde et aux investisseurs. Quand la France pousse pour des engagements sous contrainte de sanctions, ce sont des sanctions qui se décident dans les réunions internationales et qui se retrouve après dans le budget du pays.
En attendant, le sujet est plus prosaïquement de réfléchir aux stratégies possibles, pas de démontrer que les décisions politiques sont illuminées. Jancovici est attendu sur les stratégies possibles pas sur le cassage des annonces actuelles.
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