Bonjour tout le monde (même si Deedee n'est plus là pour tirer gentiment l'oreille)
Un constat, peut-être inquiétant :
- au printemps chaleur = floraison
- vent fort = absence de pollinisateurs
Le risque d'une diminution de la production de légumes (au sens du cuisinier) est-il réel si ces conditions persistent ?
Reste un maigre avantage : tout ouvert dans la maison, pas une mouche visible.
L'électronique c'est comme le violon. Soit on joue juste, soit on joue tzigane . . .
Mon constat local d'il y a deux heures, vent moyen 22km/h, rafales à 45km/h (forci), plusieurs bourdons et autres insectes et hyménoptères sur le colza en fleur à moins de 2 mètres.
Mon point de vue d'observateur quotidien de ce qui se passe dans mes environs, c'est plus la pluie froide qui fait disparaitre les insectes volants.
Les éclaircies brèves ont aussi un effet délétère, les pollinisateurs sortent et se retrouvent coincés quand les conditions se dégradent rapidement, dans ces conditions, je trouve souvent des abeilles et autres plus ou moins engourdis sur ma façade bien exposé au parfois rare soleil.
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
Complément sur les mouches, je remarque dés à présent leurs œufs sur les reliquats de pâtée collés à la gamelle du chien.
C'est une question de température, faut une certaine moyenne pour qu'elle se réveillent de leur cache hivernale et après ça dépend de la météo comme le reste.
J'ai du en déranger une bonne centaine en consommant mon stock de bois cet hiver (+ un vingtaine de guêpes et un papillon)
La nouveauté de cet hiver doux et pluvieux, c'est la présence massive de poisson d'argent dans les piles de bois.
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
Chez moi aucun insecte ne tient l'air, les fleurs se fanent avant d'être fécondées.
Je suis content de savoir qu'il y aura tout de même des artichauds . . .
L'électronique c'est comme le violon. Soit on joue juste, soit on joue tzigane . . .
Artichauts, culture emblématique d'Armorique, zone où le vent n'est que rarement absent.
Maintenant j'ignore l'aptitude au vol des insectes locaux en fonction de leur région, je ne sais pas si quelqu'un c'est intéressé un jour à la chose ?
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
bonsoir ,
Ici le vent n'a pas soufflé très fort , mais les jeunes feuilles a peine déployées sont bien abimées !
Pas de soucis de pollinisations les fleurs des poiriers sont toutes bonnes !
des abeilles sauvages sont apparues il y a déjà plus de 10 jours et des bourdons !
Des mouches petites , grosses aussi , il y a eu des moucherons près du compost tout l'hiver !
Par contre le petit poirier a des boutons rouges sur des feuilles très jeunes ! une maladie cryptogamique ! et il a plein de fruits en formation et peu de feuilles , il est pas bien vaillant !
Vent , humidité , et température plus élevées , c'est les maladies qui arrivent !
Dernière modification par ann72 ; 08/04/2024 à 22h28.
Rien n'est simple , tout se complique ! Sempé
On a pas de vent en continue , quand il fait 100 km heures sur la cote bretonne , ici il fait entre 50 et 70 !
Par contre quand on a eu 3 ou 4 années (précédentes ) avec un temps très sec et un vent constant pas fort soit venant du nord , soit du sud . on avait moins d'insectes que cette année !
Rien n'est simple , tout se complique ! Sempé
Je ne vais pas créer une discussion pour ça.
Prométhée a payé pour avoir volé le feu aux Dieux.
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
Avoir installé ces éoliennes sur le front de mer d'une station balnéaire est vraiment une très mauvaise idée; étant donne leur dimension il est clair que leur chute menaces des maisons et la route côtière.Envoyé par SK69202
Les éoliennes sont installées là où elles ont la meilleures capacité à recueillir du vent, et le front de mer est le meilleur endroit.
Coût d'entretien et méthode comme à terre, force du vent maximal, après il ralentit par la rugosité du sol et la végétation.
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
