« Les limites » de la Science et la quantification de « la Matière » ?
Tout d’abord la science demeure victime depuis ses débuts de l’œuvre du Langage et des considérations à l’échelle humaine sur le plan de l’interprétation du Monde et de ses réalités.
Car qu’est-ce que qui fait le Monde et sa Réalité d’Animation pêle-mêle et aveugle ?
Qu’est-ce qui fait la Matière et est-elle quantifiable d’ailleurs ?
De fait c’est proprement là qu’a failli l’humain avec son philosophe et son scientifique.
C’est alors qu’advient le néo-existentialisme pour affirmer avec force, bonne foi et de façon apodictique qu’il n’y a qu’une et une seule Nature à savoir la Nature Physique qui elle seule sévit là éternellement en tant que Présence, en tant que Monde ou Univers sans possibilité aucune de vide au sens de néant et sans possibilité non plus d’immobilisme ni de limite quelconque.
La Physique, la Présence ou Nature Physique est ainsi l’UN tout en étant Animation pêle-mêle aveugle et éternelle.
Elle, la Nature Physique, cette Présence-ci fait ainsi la Matière originaire.
L’on se rend alors compte que la notion de Matière ou de Physique ne se limite pas seulement aux phénomènes corpusculaires de particules, d’objets, de phénomènes d’énergie, de magnétisme, d’onde etc.
Cette Matière originaire n’est donc pas divisible donc point quantifiable.
L’on ne peut jamais opérer une quelconque faille de vide de néant au sein du Monde, cette Présence-ci pour espérer en numériser ou mesurer quelconques parties d’autant que tout ce qui aura servi de moyen de « partage ou division » et le résultat qui en découlerait demeureront absolument comme parties intégrantes faisant toujours on ne peu plus un avec ce Monde-ci, cette Présence-ci.
En revanche les phénomènes et aspects que cette Matière originaire ou la Physique engendre du fait de son Animation pêle-mêle et aveugle et que sont entre autres les particules, les objets, les choses, les existants, les ensembles, les énergies, le magnétisme, les ondes, les champs, les forces etc. sont en effet quantifiable du fait même que tous ont reçu une quelconque forme individuée ou un quelconque aspect qui les distinguent des autres et qui sont détectables par la conscience et ses instruments.
Mais n’allez jamais compter deux Mondes, deux Univers, deux Présences, deux Physiques, deux Matières originaires, deux Natures Physiques.
Les « Ensembles » dans le Monde ne sont pas des Natures Physiques chacun à part mais sont plutôt des rejetons, des choses engendrées par l’Unique Nature Physique, cette Présence-ci et contenues au sein même de cette Unique Nature Physique qu’est ce Monde-ci.
En conclusion l’on peut donc établir que la quantification ou l’invention et l’usage des nombres et mesures ne se limitent qu’au parc des objets comprenant entre autres l’ensemble des objets, particules, choses, aspects, champs, électricité, magnétisme, forces etc.
La science jusqu’ici ne fait donc que concerner et se limiter au parc des objets pour ne faire que jongler d’un objet ou ensemble d’objets ou phénomènes à un autre ensemble ou objet.
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