Chaque matière a son ontologie propre, et souvent elles s'opposent.
Les maths dans leur version NICOLAS BOURBAKI (Henri Cartan) (Bourbaki) déclarent
"Servez vous de nos calculs s'il vous intéressent, cela vous obligera à vous mouiller à notre place, en affirmant que tel objet physique, peut traiter par nos théories. Quand à nous nous pousseront la Prudence
jusqu'à ne pas affirmer ni la Vérité, ni l'Existence physique ni même la Réalité de nos création.
D'autre par t une fois engagé dans une de nos théorie (ZF, Lobatchewski ou Riemman, plus aucune contestation de l'axiomatique n'est possible, en cas de contestation, vous n'auriez qu'à créer une quatrième libre à vous de créer une quatrième axiomatique)
Les physiciens eux croient à la Réalité, et n'hésitent pas à changer de théorie, en plein milieu d'une expérience pour "coller au réel".
Ainsi dès qu'une science a été souillée par les mathématiques, les physiciens ne veulent plus y toucher.
C'est le cas de la mécanique et même de la dynamique du point et du solide. Obtenues en rajoutant seulement à ZF deux axiomes, ces théories apparaissent comme des extensions de ZF, et en retour ces théorie portant pourtant sur la Physique refusent d'être étudiées ou enseignée par les physiciens qui les abandonnent aux matheux.
La raison de mon appel est que je vous demande de m'aider à créer le pont nécessaire entre les deux univers.
Ainsi, les deux sciences emploient un vocabulaire différents pour désigner les mêmes concepts.
Par exemple la notion de grandeur extensive [respectivement intensive[] est nommée en mathématiques mesure [respectivement fonction].
Il existe de nos jour un no'mans land entre les deux matières que les deux parties répugnent à aborder et vous pouvez m'aider à le régler.
Exemple concret le physicien dérivent de façon "Bourkissement incorrecte" une grandeur extensive, une mesure par une autre grandeur extensive;
Exemple dM/dV
Il obtient la densité massique qu'il appelle grandeur intensive, c'est à dire une fonction et non une mesure de l'espace affine (ou de la variété) sous-jacente.
Le prof de physique de maths sup, arracheur de dents professionnel, face à des questions a répondu, on vous donnera plus tard toutes les
explications mathématiques que vous souhaiterez explicitation mensongère car en L3 en L4, en mathématiques spéciales voire même à l'X on ne va pas plus loin que le théorème de Radon-Nykoym: qui dit que m est dérivable par rapport à v si pour un quarrable quelconque V et
il existe une fonction (intensive) p telle que
INT M(V) = Intégrale sur V de p(v) du(v).
Je répond aux profs de physique qui nous écoutent que vous êtes des menteurs comme des arracheurs de dents, car on ne pourra jamais remplacer un problème d'analyse par un problème d'intégration.
...
je voudrais engager ici un débat de fond CONTRE LES PHYSICIENS AFIN QU'ILS CESSENT DÉFINITIVEMENT D'UTILISER des notions mathématiques non encore étudiées en maths. Ainsi dès L1 ou maths sup, on vous parlera de formes différentielles (qui ne doivent être introduites qu'en L3, d'équation différentielles ....
Je tiens également à dire tout mon mépris (excusez la violence des termes) à ceux qui utilisent la notation
Intgrale de a à b de f(x) dx (même si j'insulte ainsi descartes)
Et effet le terme dx suggère que x est une fonction différentiable alors que le terme f(x) suggère que x est une variable.
Je souhaite donc l'extension de la notation de Lebesgue
Intégrale de a à b de f(x) du(x)
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En résumé, souhaitaient vous souhaitable une réunion sous la même ontologie des maths et de la physique.
Question subsidiaire, souhaitez vous une mise au pas des notations mathématiques, d'où seront exclues
par exemple
df/dx(x) ou dU/ DV/T= Constante ?
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