salut à tous , je vous met un rapport d'un exposé que j'ai fait à la fac, merci de me dire ce que vous en pensez.
désolé pour la tartine de texte...copier collé , la flemme d'écrémer la soupe...
Depuis toujours, je me suis demandé dans quelle mesure est on hypocrite ou simplement sociable, où s’arrête l’imposture et où commence l’adaptation dans la société.
Etant quelque peu « fâché » avec les mathématiques, je trouvais intéressant de faire un retour à la racine de toutes les sciences : la logique.
Je vais mentionner dans ce rapport certains points que j’ai jugé préférable de ne pas exposer à l’oral (cet oral étant autant un exercice de forme que de fond), car je ne me sentais pas capable de mettre de la forme sur ce fond ; et aussi car ce sujet est tabou et mal connu, et donc la pression sociale aurait peut être éloigné l’auditoire : la « maladie mentale » et en particulier la schizophrénie et la dépression (des mots qui font peur …).
De plus, j’aurais sans doute émis trop d’avis personnels, même si néanmoins je pense que ce fut le cas. Je ne voulais pas rendre hermétique le cadre de référence de l’auditoire (qu’ils se braquent) mais au contraire l’élargir en leur faisant comprendre certaines choses. Ma prétention première était de transmettre ma modeste connaissance de ce sujet.
Le but est de démontrer logiquement que la logique seule ne fait pas tourner le monde, bien au contraire, la logique est comme « un serpent qui se mord la queue », elle a tendance à tourner en rond toute seule si elle n’a pas de prise dans l’action. D’où l’étude du contraire de la logique purement scientifique : les apparences en tout genre, la non logique, la « folie » (imbriquées avec la logique dans une métalogique)) et une approche de différents niveaux de logique.
Le plan est le suivant : premièrement les définitions, puis les implications de la logique fallacieuse et du paradoxe en communication.
Ensuite la logique trompeuse et/ou paradoxale en Sciences pour tenter de toucher aussi bien les futurs ergonomes que les futurs chercheurs.
Dernière partie; où l’on essaie de trouver une logique qui réunie la non logique et la logique dans une réalité « réelle » de la vie de tous les jours : Pragmatisme de la logique (titre légèrement pompeux, je m’en rends compte maintenant).
Et enfin, une conclusion pour finir cet exposé qui me tenait à cœur.
On entend très souvent l’expression « c’est logique ! » à la fin d’un raisonnement. Quelle est la sémantique de cette phrase ? Cela prouve t-il qu’il s’agit de la vérité ? Ou que cela rentre dans le cadre social de référence de notre civilisation de la techno science ?
Pourtant, pléthore de faits non logiques que nous allons voir dans des exemples sont bel et bien réels.
Nous verrons que, à l’instar de la réalité, il n’existe pas une logique mais une infinité de logiques.
Les définitions nous montrent dés le début qu’ une grande partie de nos mots puisent leur origine de la civilisation grecque, tout comme la logique elle-même. Donc notre société est basée sur une civilisation très ancienne, et son modèle perdure.
Logique signifie « qui concerne la raison », fallacieux signifie « trompeur », paradoxe signifie « contraire à l’opinion commune », à la majorité.
Beaucoup de sciences présentent le suffixe –logie, ce qui montre bien qu’elles se rattachent à leur base à la logique.
La logique fallacieuse peut être détectée par une faille d’un argument du raisonnement.
Le paradoxe comporte une faille moins visible que demande réflexion (inférence). Le raisonnement est valide sur la forme mais pas sur le fond. Une prémisse au moins est non valide. La proposition contient donc une contradiction logique en son sein. Le paradoxe conduit à de l’absurde.
Le syllogisme est le raisonnement de base. Il permet bien d’illustrer le paradoxe (Voir les diagrammes en boite ou arborescence du diaporama pour une meilleure visibilité)
Ensuite, décomposition d’un niveau logique en trois niveaux (sub-, normal, meta-).
L’antinomie, à ne pas confondre avec le paradoxe présente une contradiction évidente.
Seconde partie, exemple classique de paradoxe en communication « Soit spontané ! ».
Décomposition des niveaux, explication du paradoxe.
J’avoue que, en m’inscrivant dans ce master et en voyant que je partagerais les enseignements du premier semestre avec des futurs « ergonome du travail », je me suis demandé ce que cela voulait dire.
Ergonomie = l'étude scientifique de la relation entre l'homme et ses moyens, méthodes et milieux de travail.
Travail= du latin tripalium, un instrument de torture.
Ergonomie du travail = adaptation à la torture ? hum…j’avoue que je ne met pas de bonne volonté en disant cela. Ou bien torture adapté à l’homme ?Ce qui serait mieux...ou pas.
J’ai donc essayé de ne pas me faire d’a priori et de voir ce que les enseignants nous diraient (en croyant à la prémisse d’honnêteté).
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