Pourquoi parle t-on de destiné ? Ou de capacité à choisir son propre destin ?
Qu’est ce que le destin ?
Le Destin serait, à mon avis, une sorte de chemin. Une voie que l’on arpentera au départ en tant que pitit worms sexuel puis en tant qu’enfant, de jeune, d’adulte et de vétéran.
Qu’est ce que c chemin ? Est il droit ? À ton le choix de changer de direction ? De rebrousser chemin ?
Je pense que ce chemin est aussi le chemin de toutes les âmes pensantes. Je pense aussi qu’il est droit, mais qu’il a plusieurs directions. Par contre il est impossible de rebrousser chemin, il est impossible d’arrêter de le arpenter, sauf si on prend conscience du et qu’on accepte le Néant, l’inconnu, la disparition.
C’est uniquement le choix du « oui je veux » ou du « non je ne veux plus » qui déterminera le Chaos, l’inconnu ou « la suite ».
Revenons à mes premières interrogations : à ton le droit de changer de direction ? À ton seulement la possibilité ou le choix de changer de direction ? Si le fait de modifier le parcours était déjà préprogrammé ? Serait t-il possible si même nos choix de direction étaient déjà pré écris, de réellement être le maître de sa vie ?
Le seul moyen possible serait il de mourir ? Cette même mort ferait elle partie de cette destinée ?
Y’a t-il un moyen d’échapper à cette toile ? Est-ce vraiment une toile ? Ne creusons nous pas nous même notre propre chemin ?
Destinée : (selon moi)
Sentiment d’être constamment et fatalement contraint de manière agressive ou jouissive de faire un choix de direction déjà préprogrammé…
Faire se choix par volonté car selon cette destinée la volonté ne serait qu’une image « fausse » d’un sentiment de contrôle sur sa vie. Mais la volonté est aussi un moyen de dépassement, il a au moins 2 volonté donc qu’on peut discerner. Celle qui nous dirige et celle qui nous pousse. L’une serait elle inséparable de l’autre ?
Si la première n’existe pas, alors le sentiment de contrôle de son destin n’existerait que vaguement, qu’hypothétiquement, une sorte de fantôme alors que dans la réalité il existerait.
La deuxième valeur de « volonté » est indispensable pour arpenter le chemin…c’est elle qui nous pousse, du moins qui me pousse à avancer, à connaître le sens et le but ultime de ma vie savoir avoir une vision retroprojecté de mes actes. De pouvoir « juger et « jauger » ma vie. Ne rien regretter : Faux ! Mais on ne peut rien changer au final. La vie serait elle la conclusion du retour, de la revue et du jugement des accomplissement passé de ton âme ?
Cette destinée serait elle là pour/en contrepartie du pécher originel ? La vie serait elle une grande punition, un tourment qui finalement s’achèverait dans la tristesse ou la joie la plus totale ?
Le fait d’agir pour les autres et dans leur intérêt est il le seul moyen salutaire de racheter sa vie et de pouvoir défier, lever la tête et de montrer notre réelle force d’âme ?
Si on tend vers cette hypothèse alors on pourrait entrevoir la notion de paradis. Mais ce paradis serait en réalité 2 paradis car il existe 2 principes universellement accepté : le bien et le mal.
Pour ceux qui ont eu la volonté d’accomplir la tache qui nous a été confié des notre apparition à savoir avoir une vie d’extrême (tourner vers la compassion ou vers l'égoïsme)
Seuls ceux qui auraient relevé la tête en ayant purgés la pécher originel en ayant réussi à avoir une vie dirigée mais orienté vers les extrêmes par pur fierté de l’avoir réalisé accéderaient à l’enfer et au nirvana (aucune différence si ce n’est l’affiliation de lame).
La mort serait donc l’entrée dans un autre monde ?! Qui définirait selon la vie passée 2 endroits de prochaine vie ?
Si c’était le cas, la vie serait une période de test, une sorte de pré sélections dans une boite de nuit privée. Et le suicide serait aussi expliqué, il serait en fait la preuve de l’existence des âmes qui ne sachant pas quoi faire ou n’ayant pas eu la force d’arpenter le chemin à fond aurait préférée avoir une autre chance avant d’arriver devant le videur…
Donc le Destin de tout individu serait d’avoir une vie qu’il aurait mené à fond, dans la compassion ou dans l’égoïsme, et dont il serait fier. Il pourrait enfin relever la tête devant son bourreau et lui dire en face qu’il assume ce pourquoi il devait mourir !
Cet âme, et uniquement celle la, aurait le droit d’entrer dans un monde nouveau, où ses propres choix ne seraient plus encadré par une mort promise car l’individu l’âme serait immortelle et donc n’aurait plus à justifier ses actes !
Les autres âmes, celles qui n’auraient pas eu la force d’affronter la mort, le jugement ne pourraient pas accéder à se Nirvana.
Seuls ceux qui auront été investi de la vraie volonté, pourront s’affranchir du fardeau originel, et ainsi se relever pour passer fièrement la Porte du monde libre et embrasser la nouvelle vie dépourvue de contraintes qui s’offrent à eux.
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