Mais nous l'avons dépassé depuis longtemps en étendant cette notion. Les psychologues semblent commencer à peine à si intéresser : La théorie de l'esprit : une inférence Bayésienne ?
Patrick
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Mais nous l'avons dépassé depuis longtemps en étendant cette notion. Les psychologues semblent commencer à peine à si intéresser : La théorie de l'esprit : une inférence Bayésienne ?
Patrick
Mais nous l'avons dépassé depuis longtemps en étendant cette notion. Les psychologues semblent commencer à peine à si intéresser : La théorie de l'esprit : une inférence Bayésienne ?
Patrick
Les psychologues constates aussi que ce n'est pas un principe tous puissant permettant une description juste de se cerveaux par rapport a tous les autres la plasticité de certain cas clinique par exemple ne peux pas vraiment s'expliquer par le biais de se principe la
Comprenez moi bien je tend a trouver dans votre raisonnement un certain écho aux miens (on a par exemple le meme humours en se qui concerne les point de départ historique ) l’idée d'une "quintessence" etans a mon sens particulièrement pertinente mais j'ai un peux l'impression que c'est comme dire que par ce que nous voyons tous un objet X rouge et que nous le formulons tous comme rouge alors nous devons conclure que c'est vrai
le daltonien ne voie t'il pas le rouge ? ou le perçois t'il juste différemment ? Et en quoi sa description serais moins bonne que la notre ?
Il n'est pas présenté ainsi. Il vise juste à prendre en compte la subjectivité de l'observateur dans la démarche d'inférence.
Le rouge n'est qu'une étiquette par contre comme nous il perçoit "l'effet final que cela fait" qui en retour couplé à d'autres ressentis peut agir sur notre corps (frisons, larmes, ...), mais cela nous éloigne du fil.
Patrick
À l'attention d'opportuniti :
les schémas, plans, photos... doivent être postés aux formats gif, png ou jpg.
Merci.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Pas tans que cela par ce que quelque part si j'accepte que je suis partie prenante de la démarche inférence et qu'a une même cause peux convenir plusieurs effet différent pour plusieurs observateur différent cela devrais changer de manière radical par exemple une simple démarche empiriste ... voir même technique dans le sens ou un chercheur créer généralement ses outils en fonction de se qu'il pense avoir besoin et Ce en fonction de se qu'il pense avoir perçue ect....Il n'est pas présenté ainsi. Il vise juste à prendre en compte la subjectivité de l'observateur dans la démarche d'inférence.
Le rouge n'est qu'une étiquette par contre comme nous il perçoit "l'effet final que cela fait" qui en retour couplé à d'autres ressentis peut agir sur notre corps (frisons, larmes, ...), mais cela nous éloigne du fil.
Patrick
bref cela peux aussi etre penser comme un fort mouvement dispersif , non?
Effectivement, ce sont les sens qui ont initialement guidé les sciences dans la démarche qui consiste à identifier les causes et les effets.Envoyé par PhnlPas tans que cela par ce que quelque part si j'accepte que je suis partie prenante de la démarche inférence et qu'a une même cause peux convenir plusieurs effet différent pour plusieurs observateur différent cela devrais changer de manière radical par exemple une simple démarche empiriste ... voir même technique dans le sens ou un chercheur créer généralement ses outils en fonction de se qu'il pense avoir besoin et Ce en fonction de se qu'il pense avoir perçue ect....
L'intersubjectivité, c'est à dire la communication entre les observateurs a permi d'établir, par déduction logique, que les causes et les effets etaient, de manière générale et empririque, identifiables pareillement par tous.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Intersubjectivit%C3%A9Envoyé par WikipediaEn épistémologie, et selon le philosophe des sciences Karl Popper, les tests expérimentaux qui peuvent être réalisés pour mettre à l'épreuve le contenu explicatif d'une théorie, doivent avoir une portée intersubjective. Cela signifie qu'ils ne peuvent être isolés, et doivent pouvoir être reproduits par d'autres membres de la communauté scientifique. Selon Popper, aucun énoncé qui ne peut être contrôlé de manière intersubjective, ne peut être utile à la science[1].
De la même façon le constructivisme (épistémologie) considère qu'il ne peut y avoir de connaissance objective mais uniquement intersubjective.
Puis les sciences se sont affranchies des seuls sens humains, à l'aide des machines.
L'observateur n'est plus de nos jours, en physique, limité à l'observateur humain.
Un appareil de mesure, contitué d'atomes est également un observateur.
La démarche intersubjective entre les observateurs humains est considérée comme vrai également entre des atomes.
Deux atomes "différents" par exemple sont soumis pareillement à la gravité.
Ce qui parait d'ailleurs curieux si on y réfléchi un peu...
C'est la raison pour laquelle, le concept de couleur rouge par exemple est devenu obsolète du point de vue des sciences physiques.
Nous savons que "le rouge" n'est pas une propriété de la nature, intrinsèque, mais est, comme précisé ici :
Un concept de l'ordre de la perception.Envoyé par ù100filLe rouge n'est qu'une étiquette par contre comme nous il perçoit "l'effet final que cela fait" ../..
Le concept de couleur rouge est donc aujourd'hui limité à un sous-domaine de la biologie.
Les mathématiques ont permi de proposer une loi simplificatrice au concept de couleur.
L'efficacité des mathématiques à modéliser les phénomènes physiques tient en partie du fait qu'elle est adaptée à cette démarche simplificatrice.
Là par contre, je ne comprend pas.Envoyé par Phnlbref cela peux aussi etre pensé comme un fort mouvement dispersif , non?
Qu'il y ait une difficulté initiale à percevoir le monde sous sa forme simplifiée, de par les sens, d'accord.
Mais on constate bien une simplification, non ?
Rouge, vert, bleu, jaune etc sont simplifiés par le concept plus simple de longueur d'onde, par exemple.
Le débat http://forums.futura-sciences.com/ep...causalite.html montre que c'est un peu plus subtil.
identifiables pareillement par tous : ne peut porter que sur la forme abstraite car on ne perçois pas tous les mêmes nuances certain même en ce qui concerne la vision ne perçoivent qu'en 2D.
Ah bon notre perception du "rouge" ne serait pas un phénomène naturel ?
Mais ce n'est toujours pas celui d'être "rouge", ni d'être un bruit, une odeur ...
Patrick
PS
Ta faconde m'impressionne
J'en conviens parfaitement.Envoyé par ù100filLe débat Statistiques et causalité montre que c'est un peu plus subtil.
identifiables pareillement par tous : ne peut porter que sur la forme abstraite car on ne perçois pas tous les mêmes nuances certain même en ce qui concerne la vision ne perçoivent qu'en 2D.
La présentation de l'intersubjectivité est ici dépouillée à l'extrème, le but en étant simplement d'y faire référence.
Envoyé par XoxopixoNous savons que "le rouge" n'est pas une propriété de la nature, intrinsèque.J'admet effectivement après reflexion que "rouge" est un phénomène naturel, dans le sens que de fil en aiguille, apparait une définition du "rouge" sur laquelle nous nous mettons d'accord. L'être humain n'étant pas isolé de la nature.Envoyé par ù100filAh bon notre perception du "rouge" ne serait pas un phénomène naturel ?
Je distinguais, et c'est effectivement une erreur je pense de le faire ainsi pour une couleur (un son, une odeur...), les phénomènes naturels que l'on peut juger comme étant "initiaux" comme par exemple la longueur d'onde, du phénomène dit émergent, tel que la subjectivité du "rouge".
On conçoit ici que le "rouge" peut être expliqué plus simplement par le concept de longueur d'onde en relation avec les capteurs rétiniens, que par la description du réseau neuronal.
On procède ici à une simplification de l'information.
Dans ce sens, et c'est effectivement comme il est fait remarqué ici, je pense, un à priori.
Il est possible de croire que le réel, le "naturel intrisèque", est plus proche de la description simplifiée que de la description complète, inextricable dans le cas d'un traitement cérébral, alors que cette croyance est fausse.
Envoyé par XoxopixolLe concept de couleur rouge est donc aujourd'hui limité à un sous-domaine de la biologie.Et donc cette remarque, si j'en ai compris le sens, est fort juste.Envoyé par ù100filMais ce n'est toujours pas celui d'être "rouge", ni d'être un bruit, une odeur ...
Réalisme réel vous voulez dire ! Qui est naïf ? Qui ne l’est pas ? Dites-moi comment vont-ils s’y prendre pour remonter le temps à force de tourner indéfiniment dans leurs têtes dans d’interminables apories logiques ? Ils confondent logique et métaphysique : là est leur drame. Vous avez une éclipse de lune devant vous, vous assistez de visu pratiquement à une loi physique immuable universelle et vous ne la voyez pas ? Comment est-ce possible ? Comment comprendre cela ?Tout comme votre vision des "lois" de la physique que vous communier tout comme un croyant avec les siennes. Trop Simplifier semble vous conduire à ce réalisme naïf.
Vous voulez remonter le temps ?
==> d’abord donc stopper la lune dans sa course effrénée autour de la terre avec vos petits bras musclés. Ensuite lui faire rebrousser chemin la faire passer de nouveau par toutes les positions antécédentes. Mais il faudra vous occuper aussi de la terre et du soleil, des galaxies mais encore de l’univers physique dans sa totalité. Dites-moi vous êtes très en sécurité dans votre petite tête avec vos grandes théories idéalistes mais comment allez-vous faire, concrètement, pour remonter le temps ? Les frères Bogda peut-être, pourraient le faire
… un brin de réalisme réel, vous serait salutaire.
Pourquoi les corps tombent-ils ?
Parce qu'ils rejoignent leur lieu naturel qui est le centre du Monde, dit Aristote. Parce qu'ils sont des parties séparées de la Terre et qu'ils tendent à la retrouver pour former un Tout, corrige Copernic. Parce qu'ils sont apparentés à la Terre et que deux corps apparentés cherchent à se rejoindre et à s'unir, précise Kepler. Parce qu'ils subissent la force gravitationnelle exercée par la masse de la Terre, propose Newton. Parce qu'ils sont sous l'influence du champ gravitationnel créé par la Terre en tout point de l'espace qui l'entoure, expose Faraday. Parce que l'espace-temps dans lequel nous vivons est façonné par la proximité de la Terre et qu'un corps en chute libre adopte une trajectoire aussi « droite » que possible dans un espace-temps courbe, conclut Einstein.
L'histoire est-elle finie pour autant ?
Patrick
Justement on pourrais s'interroger sur le prix de cette simplification nous savons que certain système pourtant très simple peuvent rapidement devenir tres chaotique http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9...C3%A9matiques)Là par contre, je ne comprend pas.
Qu'il y ait une difficulté initiale à percevoir le monde sous sa forme simplifiée, de par les sens, d'accord.
Mais on constate bien une simplification, non ?
Rouge, vert, bleu, jaune etc sont simplifiés par le concept plus simple de longueur d'onde, par exemple.
Pour reprendre l'exemple du rouge définie comme une simple longueur d'onde on peux constater par exemple que définir le rouge ainsi ne transcrit pas du tous la manière dont la couleur rouge m'apparais aux moment (ne devons nous pas penser la science en ing ?)ou elle m’apparais: avec,d'une part tous ce qui participe a l’extérieure de l'observateur a la formation d'un phénomène que je constate et qui forcement sont coextensif a la description que je doit avoir du phénomène pour que ma description soit complète (luminosité ambiante ,position dans l'espace de l'observateur ect ...) et d'autre part tous ce qui a l’intérieure de l'observateur l'observateur participe a l'affiliation de se groupe de donnée a la simple couleur rouge (cognition ,physiologie ect...)le tous étant bien évidemment a concevoir comme un processus en évolution dans le temps (comme le remarquais tres justement whitehead )
bref on arrive forcement a constater que l'intersubjectivite est effectivement une simplification
La question étant de se demander a quelle point elle est réductrice et distord le réel....
Mais est-ce rouge mais n'est-ce pas rouge mais à prendre une lune dans la figure le résultat sera le même pour tout le monde ! Il y a les réalistes réalistes, et les autres les réalistes idéalistes ou platoniciens. Le réaliste réaliste voit ce qu'il a devant les yeux : une éclipse de lune, une lune qui passe ici et maintenant qui aurait pu être prédite jusqu'à un million d'années à l'avance. Les réalistes platoniciens prétendent décrire ce qui n'existe pas. Il faut beaucoup d'imagination aux réalistes platoniciens pour décrire ce qui n'existe pas ! Peut-être ce qu'ils prétendent décrire est-il de toute éternité sans exister à aucun moment : hélas il n'est possible que de le croire ou de ne pas le croire !
==> Mais croyez-vous mais ne croyez-vous pas au Bonheur, à l'homme parfait, au "le Bon" au "le Vrai" au "le Beau" à l'immaculée conception, au péché-originel, à la création du monde en sept jours ?
==> Voyez-vous mais ne voyez-vous pas cette lune cette loi immuable universelle passer ici et maintenant dans cette éclipse prédite jusqu'à un million d'années à l'avance ?
Croyez-vous mais ne croyez-vous pas au déterminisme intégral à ainsi peaufiner indéfiniment avec des théories physiques toujours plus précises ? Vous voyez bien que tout est parfaitement déterministe ! Vous même l'êtes de la plante des pieds jusqu'à la pointe des cheveux ! Même vos pensées le sont. Vous vous croyez libre mais il n'y a pas du tout de liberté. La liberté est une chimère un leurre une illusion. L'esprit humain est asservi au déterminisme physique comme tout le reste : les pensées elles-mêmes le sont.Parce que l'espace-temps dans lequel nous vivons est façonné par la proximité de la Terre et qu'un corps en chute libre adopte une trajectoire aussi « droite » que possible dans un espace-temps courbe, conclut Einstein.
arrête moi si je me trompeMais est-ce rouge mais n'est-ce pas rouge mais à prendre une lune dans la figure le résultat sera le même pour tout le monde ! Il y a les réalistes réalistes, et les autres les réalistes idéalistes ou platoniciens. Le réaliste réaliste voit ce qu'il a devant les yeux : une éclipse de lune, une lune qui passe ici et maintenant qui aurait pu être prédite jusqu'à un million d'années à l'avance. Les réalistes platoniciens prétendent décrire ce qui n'existe pas. Il faut beaucoup d'imagination aux réalistes platoniciens pour décrire ce qui n'existe pas ! Peut-être ce qu'ils prétendent décrire est-il de toute éternité sans exister à aucun moment : hélas il n'est possible que de le croire ou de ne pas le croire !
==> Mais croyez-vous mais ne croyez-vous pas au Bonheur, à l'homme parfait, au "le Bon" au "le Vrai" au "le Beau" à l'immaculée conception, au péché-originel, à la création du monde en sept jours ?
==> Voyez-vous mais ne voyez-vous pas cette lune cette loi immuable universelle passer ici et maintenant dans cette éclipse prédite jusqu'à un million d'années à l'avance ?
Croyez-vous mais ne croyez-vous pas au déterminisme intégral à ainsi peaufiner indéfiniment avec des théories physiques toujours plus précises ? Vous voyez bien que tout est parfaitement déterministe ! Vous même l'êtes de la plante des pieds jusqu'à la pointe des cheveux ! Même vos pensées le sont. Vous vous croyez libre mais il n'y a pas du tout de liberté. La liberté est une chimère un leurre une illusion. L'esprit humain est asservi au déterminisme physique comme tout le reste : les pensées elles-mêmes le sont.
Mais pour qu'une science existe il faut bien qu'il y est des scientifiques non ?
Apres tous si l'univers est si vaste et si immuable que tu le pretends rien ne spécifie qu'il en est de même pour la science, tu es d'accord?
Quelle mal y a t'il a partir de la , a vouloir atteindre une description un peux plus complète ?
Le mieux, pour comprendre l'interêt de se poser la question non résolue de l'adéquation ou non de se limiter à une conception réaliste du monde, consiste à mon avis à lire soigneusement le document proposé par ù100fil dans un post du forum de Physique :Envoyé par Aficluc
Collège de physique et de philosophie
Séance du 31 janvier 2011
Une description vraiment complète serait d’avoir un phénomène physique devant les yeux, de visu, dans sa simplicité édénique. N’admettez-vous donc pas que le mouvement de la lune autour de la terre est un phénomène physique, vu de la terre, mieux connu depuis la terre que le mouvement brownien des molécules gazeuses parce que mieux vu (depuis la terre) dans sa simplicité édénique ? Un observateur luministe dans un vaisseau spatial ou extrêmement éloigné de la lune quelque part dans l’immensité du cosmos aura des distorsions temporelles et des effets maléfiques dûs à l’éloignement à s’occuper donc les résultats de ses mesures seront différents mais cela remettra-t-il en question la simplicité (et la régularité) du mouvement de la lune autour de la terre ?a vouloir atteindre une description un peux plus complète ?
Un liliputien suffisamment petit qui parviendrait à se loger entre un noyau et un électron probablement verrait le mouvement de l’électron autour du noyau dans sa simplicité édénique et peut-être n’aurait-il pas besoin de convoquer un indéterminisme radical mais vu d’un observateur normal (qui perturbe l’état du système en l’observant) il faut utiliser des fonctions d’ondes etc. ce qui représente un effort intellectuel autant que technique pour simplifier mais cet effort se paye probablement par un éloignement d’autant de la connaissance du phénomène dans sa simplicité édénique.
Un phénomène physique n’est-il pas simple à tout moment quelque soit le point de vue duquel il est observé ou jamais, à aucun moment ? Peut-on dire qu’un phénomène physique peut être complexe d’un point de vue, simple d’un autre point de vue ? N’est-ce pas paradoxal, logiquement autant que "métaphysiquement " ?
Je suis désoler celle la étais trop poétique pour pas être relever n'y voyer aucune malice de ma partUne description vraiment complète serait d’avoir un phénomène physique devant les yeux, de visu, dans sa simplicité édénique. N’admettez-vous donc pas que le mouvement de la lune autour de la terre est un phénomène physique, vu de la terre, mieux connu depuis la terre que le mouvement brownien des molécules gazeuses parce que mieux vu (depuis la terre) dans sa simplicité édénique ? Un observateur luministe dans un vaisseau spatial ou extrêmement éloigné de la lune quelque part dans l’immensité du cosmos aura des distorsions temporelles et des effets maléfiques dûs à l’éloignement à s’occuper donc les résultats de ses mesures seront différents mais cela remettra-t-il en question la simplicité (et la régularité) du mouvement de la lune autour de la terre ?
Un liliputien suffisamment petit qui parviendrait à se loger entre un noyau et un électron probablement verrait le mouvement de l’électron autour du noyau dans sa simplicité édénique et peut-être n’aurait-il pas besoin de convoquer un indéterminisme radical mais vu d’un observateur normal (qui perturbe l’état du système en l’observant) il faut utiliser des fonctions d’ondes etc. ce qui représente un effort intellectuel autant que technique pour simplifier mais cet effort se paye probablement par un éloignement d’autant de la connaissance du phénomène dans sa simplicité édénique.
Un phénomène physique n’est-il pas simple à tout moment quelque soit le point de vue duquel il est observé ou jamais, à aucun moment ? Peut-on dire qu’un phénomène physique peut être complexe d’un point de vue, simple d’un autre point de vue ? N’est-ce pas paradoxal, logiquement autant que "métaphysiquement " ?
Je pense que vous faites un amalgame entre d'une part la simplification de se sur quoi on construit actuellement notre connaissances et ce qu’éventuellement elle pourrais devenirs en s'affinant et en prenants en compte plus d’expériences que nos anciennes construction
Par exemple la conception du mouvement de la lune que vous semblez concevoir comme parfaitement stable n'est aux fond que le reflet de notre petitesse et pourtant nous savons depuis que nos moyens s'affine qu'il n'est pas vraiment si immuable et qu'il tend même a varier d'une manière infime ainsi quelque chose qui nous semble statique ne l'est pas ...
Ce genre de conception n'est pas une découverte pour la physique Henry Pointcarre deja en son temps dans un très bonne article de "ces dernière pensées "(flammarions 1913) Remarquais déjà que rien ne prouvais que les lois de l'univers ne sont pas immuable ou même susceptible de changer ou d’être en train de changer .... et il tire cette conclusion en s"appuyant directement sur le fait que se qu'ils perçois en temps qu’expérimentateur lui même pris dans l'univers qu'il explore lui permet de tirer cette conclusion
De plus d'un point de vue purement métaphysique je ne suis pas sur qu'il soit juste de dire qu'il y a un paradoxe a voir l’idée du multiple sous tendre l'idee du simple c'est par exemple un des fondement de la philosophie de Bergson qui en refondant l’idée de durée entre deux facettes du temps permet justement de faire coexister ce genre de paradoxe pour aux final décrire un continuum
Les variations infimes sont dues au fait que les prédictions des mesures sont basées sur des approximations. Par nécessité de simplifier faire comme si la lune était une sphère ou un point matériel. Comme si le système terre-lune était parfaitement isolé. Le théorème du moment cinétique appliqué au système (pseudo-isolé) terre-lune rend compte très précisément de l’éloignement lunaire de quelques centimètres par an. La théorie relativiste n'annihile pas la loi de Newton mais au contraire elle la confirme en la dépassant ! Quant à Poincaré que vous semblez vouloir porter aux nues des épistémologues dignes de ce nom … euh là je me dis que, tout comme Einstein dans l’art des sciences physiques, il était autrement plus à l’aise dans l’art des mathématiques que dans celui de la réflexion philosophique
http://philippe.boeuf.pagesperso-ora...nomie/lune.htm
et alors ?Les variations infimes sont dues au fait que les prédictions des mesures sont basées sur des approximations. Par nécessité de simplifier faire comme si la lune était une sphère ou un point matériel. Comme si le système terre-lune était parfaitement isolé. Le théorème du moment cinétique appliqué au système (pseudo-isolé) terre-lune rend compte très précisément de l’éloignement lunaire de quelques centimètres par an. La théorie relativiste n'annihile pas la loi de Newton mais au contraire elle la confirme en la dépassant ! Quant à Poincaré que vous semblez vouloir porter aux nues des épistémologues dignes de ce nom … euh là je me dis que, tout comme Einstein dans l’art des sciences physiques, il était autrement plus à l’aise dans l’art des mathématiques que dans celui de la réflexion philosophique
http://philippe.boeuf.pagesperso-ora...nomie/lune.htm
Comme le travail de Jule Vuillemin le démontre la philosophie suis les évolutions des mathématiques http://fr.wikipedia.org/wiki/Jules_Vuillemin
et très franchement j'ai choisie Point carre car justement son approche mathématique et philosophique sont vraiment d'ordre factuel
Et je le répète faire comme si et se contenter crassement de faire comme si c'est se pousser a ne faire que reproduire des postulat pas forcement juste
Il y a raison si Russell plaçais les sense data avant les sensibilia http://sensedata.free.fr/txt2003/SM2003.htm
Pardonnez moi mais je ne voie pas de contradiction et encore moins en quoi il y aurais dans votre conception des choses quelque chose qui prouve que les lois universelle son immuable
Les postulats sont toujours formellement faux parce que essentiellement indémontrables. Ce sont d'abord des lois édictées par l'esprit humain, ensuite probablement aussi des lois de la Nature bien que ça n'aille pas de soi. Le postulat de l'objectivité de la Nature, celui de l'induction, etc. sont autant de constructions de l'esprit humain en vue d'une plus grande cohérence des observations et les mesures. En tout cas le mouvement des astres corrobore le point de vue de Pierre Duhem. Comme l'espace est quasiment vide les astres font transparaître des régularités incomparables. Il n'y a pas loin de penser que ce sont des régularités de la réalité elle-même qui se trouvent ce faisant dévoilées.Et je le répète faire comme si et se contenter crassement de faire comme si c'est se pousser a ne faire que reproduire des postulat pas forcement juste
Il me semble qu'une loi est immuable par définition, inchangeante indépendamment des conditions de son application. Mais toute loi n'est pas forcément universelle. La loi de Newton peut-être dite universelle car elle s'applique à tous les corps matériels dotés d'une masse situés dans des champs de gravité. Riches ou pauvres, jeunes ou vieux, femmes ou hommes, chrétiens, musulmans, bouddhistes, athées peu ou prou etc. y sont soumis du moment qu'ils ont un corps matériel doté d'une certaine masse et qu'ils se situent dans des champs de gravité. La loi d'Ohm (U=RI) ne s'applique qu'aux courants électriquesPardonnez moi mais je ne voie pas de contradiction et encore moins en quoi il y aurais dans votre conception des choses quelque chose qui prouve que les lois universelle son immuable
A tout instant en tout lieu où quelque chose de massique existe la loi de Newton s’applique, y opère. En tout lieu à tout instant tout corps matériel même infime doté d’une masse est soumis à des champs de gravité même infimement. Donc la loi de Newton peut être dite universelle. Partout où quelque chose de massique existe la loi de Newton y opère car partout dans l’univers matériel existent des champs de gravité, même infimement. Mais la loi d’Ohm (U=RI) ne s’applique que là où il y a des courants électriques. Par les courants électriques la loi d’Ohm s’actualise. Ils sont principes formels pour la loi d’Ohm. Mais la loi de Newton comme la loi relativiste s’appliquent partout à tout instant dans l’univers matériel, même infimement
Grâce à Ernest Rutherford il est prouvé que « dans un atome, plus de 99,9999999999% de l’espace est vide ! » et il n’y a pas loin de penser que si un lilliputien parvenait à se loger entre un noyau et un électron il verrait le mouvement de l’électron dans une simplicité édénique incomparable et que peut-être il pourrait se passer d’un indéterminisme radical pour rendre comporte de ses observations et de ses mesures
La trajectoire d’un ion positif que l’on envoit sur un noyau est une trajectoire hyperbolique
puisque l’interaction est newtonienne (interaction électrique en 1/r2) et répulsive.
En 1911 Hans Geiger et Ernest Marsden bonbardent une couche d’or avec un faisceau
de particules alpha (noyaux 42He2+ ) puis mesurent la proportion de particules déviées
en fonction de l’angle de déviation. À l’aide des résultats, Ernest Rutherford montra que
le noyau était confiné au centre de l’atome dans un volume de l’ordre de quelques fm3,
contrairement à ce qui était admis à l’époque. Autrement dit, cette expérience montra que
dans un atome, plus de 99,9999999999% de l’espace est vide !
http://perso.ensc-rennes.fr/jimmy.ro..._centrales.pdf