Mouais ... ça devient tordu de chez tordu votre truc plan truc mouais ça sent l'immanentisme transdescendant deleuzien ce truc
http://fr.wikipedia.org/wiki/Immanentisme
... perso, je me demande un peu s'il faut en rire ou en pleurer
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Mouais ... ça devient tordu de chez tordu votre truc plan truc mouais ça sent l'immanentisme transdescendant deleuzien ce truc
http://fr.wikipedia.org/wiki/Immanentisme
... perso, je me demande un peu s'il faut en rire ou en pleurer
bon au moins là tu affirme ton pantheisme au travers de l'etre suprème tout puissant et legislateur du monde anté-bigbannien(<-- je l'aime ce barbarisme là )Le problème dans ton raisonnement et que tu penses que du fait que l'homme ait une conscience, il est indépendantisé de l'univers. Il lui semble étranger de nature tout à coup. La volonté (apparente), ou le libre arbitre (apparent) ne sont pas des éléments qui impliquent une rupture par rapport à un contexte qui en serait dépourvu.
Les lois que font les hommes sont des compromis et non des lois absolues. Ce qui est bien dans la loi absolue, ne l'est pas forcément dans les lois des hommes. Une loi absolue ne peut être violée.
D'autre part, non l'univers n'est pas conscient, n'exprime pas d'intention.Il est mu par un mécanisme dont le principe de base et une entité, l'être, qui rempli une entité à compléter.Les liants comme tu dis qui viennent par la suite, après le big bang, au fil de l'évolution de l'univers, ne sont pas des créations, mais une évolution de ce mécanisme unique: entité complétante, entité à compléter, mécanisme qui prend une forme de plus en plus complexe.
Ce mécanisme a une loi comme je l'ai dit dans mon post précédent mais tu as calqué tes propos "d'intention extérieures" sur les miens.
Il n'y a pas de l'égislateur de l'univers. L'univers existe. La seule loi qui le régit, le justifie, le prolonge est son existence (c'est pour cela que j'avais dit que l'existence de l'univers (et non l'univers lui même), était son législateur, par extension.
Dans sa plus simple expression l'univers est un point. L'être absolu dans son aspect le plus minime. Et cela rien ne l'explique, ne le créer , le justifie, le régit, ne l'éteint, ne le grandit, ne le rapetisse.
L'être est, il est c'est tout, le justifier, l'expliquer c'est le diminuer, or il ne peut être diminué, il est ou il n'est pas.
Dès lors qu'il est , il trouve un receptacle à son être, l'ensemble vide, et ensuite c'est le big bang et le prologement de ce mécanisme sous d'autres formes.
L'humain est un stade de ce mécanisme, et le poursuit et le mime à travers son évolution où il tend vers l'infinie.
dans ce cas ton point de vue est tout de même plus simple a comprendre.. il ne te reste plus qu'a te demander pourquoi l'etre existe et t'a métaphysqiue seras complete..
pour ma part il n'y a pas besoin de métaphysique, tout est physique, c'est peut-etre ce qui ontologiquement ou ontiquement nous sépare.
la métaphysique ou la question du sens de l'etre, du pourquoi de son existance pour nous, reste assez simple a comprendre, par contre l'etre-en-instance qui persiste par-lui-même au travers de ses liants en dehors de toute perception se limite par le fait même de la science, et des connaissances toujours plus pointue qu'il nous est possible de corréler au travers des etant-existant-pour-nous.
l'etre, ou la chose-en-soi n'en finit de reculer toujours plus derrière, toujours dans un arrière monde innaccéssible, qui n'est rien d'autre que le reste d'ignorance sur ce qu'il nous reste a découvrir de ce fameux comportement de l'etre-en-instance au travers de ces etant-en-existance-pour-nous..
nous formons des lois, qui tendent a s'assurer d'elles-même contre les liants même de l'etre-en-instance, l'etre-en-instance ne voulant semble-t-il rien, se contantant simplement de tomber cahotiquement vers rien du tout, emporté dans le maelstrom de son fait physique. de cette chute, l'on ne perçoit que ce qu'il reste des possible de l'etre, de tout les compossibles comme dirait lebnitz, uniquement celle se trouvant en equilibre contre cette chute. voir contre soi-même tout simplment.
tu peux toujours posé l'etre, ce possible-en-instance, au dela de toute connaisance, celui ne reste qu'un idée de ce possible dans ta psychée, un ideal, un etre absolue et parfait, recombinant à lui seul tout les infinies et les possibles imaginaire.. mais il ne reste au final que le synonime de ton ignorance, car si celui-ci est en instance, c'est qu'il n'est pas perçue et qu'il n'est toujours pas un etant-existant pour toi.
tu ne fait qu'une projection idéale et imaginaire de ce que devrait-etre cet etre pour que celui-ci soit le législateur du réel-vrai, tout a la fois l'instance et l'existance. mais finalement tu n'a qu'un concept creux sur lequel tu n'a justement pas grand a chose a dire, car tu est bien incapable d'apporter la moindre preuve tengible de l'instance de cet etre-là dans l'instance, en dehors même de toute conscience.
tu ne fait que poser l'etre idéal, et tu maudit ceux qui au travers du travail sur les etant-existant démontre l'impossible instance de cet etre-suprème législateur.
il ne reste au final que l'etre, un objet en-creux vide parceque ethéré d'etre si abstrait, d'etre si parfait, si imaginaire et absolue. il lui manque cette matérialité existante, cette pesanteur de la chair de la substance, de cette masse structurelle structuré et imparfaite et si dérageante de son imperfection. si étrnagère au monde des idées pures, et des ideaux absolue, de cet imaginaire, de ce rève ou tu conçois un monde parfait ideal. un etre-suprème, maitre du monde des idées-pures. toujours parfait parceque toujours audela du réel, coincé dans ce monde imaginaire des idées pures, qui desespérement ne parviennent dans les sciences a ce faire jours. et tout au contraire même, ou l'on parvient a cerner cet etre-là, là ou il se cache, dans la raison imaginaire de l'homme, dans ce lieu sacré, ou tout est pureté luxe calme et voluptée. ou tout est n'est qu'ordre et beauté. triangle, cercle, et carré, pour le reste.
de tout cela a la fin il ne reste que le savoir du sage, celui de savoir qu'il ne sais rien, puisqu'il a compris sa profonde ignorance, toute grande ouverte comme la gueule d'un dragon pret a l'avaller, des gouffres ancients, de ses labyrinthes, ou l'on ne rencontre que soi-même, avec ce visage laid du monstre hideux, térriblement humain, et si térriblement animal. la contra-opposé de ce monde parfait, la pronfondeur de sa propre bestialité, celle-ci contre qui l'homme doit advenir et se battre, pour devenir plus que ce sapiens né nu, fragile et sans armes.. cet etre-jeté dans le monde et a qui l'on demande de choisir entre le rève, et la réalité avec une petite pastille bleu ou rouge.. en sachant toutfois que le temps du rève ne saurait prendre fin, tant que nul n'auras songé a replacer ce dernier là ou il se trouve au coeur de la souffrance de l'homme jeté simple et sans bagage. sans connaissance aucunne. a simplement accepté que l'etre-là en instance ne puisse pas etre aussi parfait que ce rève-qui sauve-les-hommes, de cette réalité apparente, sordide, qui n'en finit pas d'etre mouvante et imprédictible, et ou d'ou, tout semble-t-il pourrais surgir.
l'imaginaire raisonant, cette raison pure, absolue! raison d'une idéalité parfaite, voilà ton pantheisme, immanance idéèle, noosphérienne. qui dès qu'elle prend pied dans le réel se fait étriper, désossé, et qui au final n'en finit de se cacher dans cet audela-du-mondéen. a l'abris de celui-ci et en plus, demandant cranement au réel de se conformer a son absolutisme. alors que c'est elle qui doit s'y conformer..
etre suprème y est tu entend tu? la réponse est toujours laconique d'un silence abstrait. il ne reste plus qu'a y croire encore et encore, plutôt que d'ouvrir les yeux sur son ignorance, sur ce reste qu'il nous reste a découvrir, audela de nos propre theorie, et au travers des liants, et de ce qui veux bien a nous se découvrir.
allez un peu de littérature, cela ne fait pas de mal..
L'animal c'est toi car tu as pris le parti de considérer le monde comme négatif. Tu es un ennemi du monde, ce qui te donne le prétexte de t'affranchir de lui,ce qui fais de toi une bête.
de tout cela a la fin il ne reste que le savoir du sage, celui de savoir qu'il ne sais rien, puisqu'il a compris sa profonde ignorance, toute grande ouverte comme la gueule d'un dragon pret a l'avaller, des gouffres ancients, de ses labyrinthes, ou l'on ne rencontre que soi-même, avec ce visage laid du monstre hideux, térriblement humain, et si térriblement animal.
Mais en fait ne nous mépreonons pas, je ne considère pas le monde comme positif ou négatif, car je ne fais pas de jugement de valeur. La valeur est dans le fait qu'il existe.
Erreur classique de notre conception occidentale qui conditionne l'exitence à l'obtention d'un niveau, d'un mérite, d'une valeur.Je te parle d'être, tu me parles de perfection.
l'homme jeté simple et sans bagage. sans connaissance aucunne. a simplement accepté que l'etre-là en instance ne puisse pas etre aussi parfait
Qui t'as dit que la condition d'être était proportionnelle à son niveau?
Je considère l'être dans sa totalité intérieure extérieure. Bien souvent les gens séléctionnent les aspcets de leur ressenti qui correspondent aux valeurs de la société et censurent les autres.
La réalité n'est sordide que si tu choisis qu'elle le soit. Fais le pari que le monde soit positif, tu subiras plaisirs et épreuves mais au final tu seras bénéficiaire, même si tu en doute au départ.que ce rève-qui sauve-les-hommes, de cette réalité apparente, sordide, qui n'en finit pas d'etre mouvante et imprédictible, et ou d'ou, tout semble-t-il pourrais surgir.
On n'a jamais de crédibilté quand on se lance dans cette quête, car on ne peut avoir le beurre et l'argent du beurre. Ceux qui ont réussit leurs rêves y sont très souvent parvenus en subissant la totale déconsidération de leur entourage.
Non, je l'ai trouvé. C'est mmy!tu ne fait qu'une projection idéale et imaginaire de ce que devrait-etre cet etre .
C'est a se demander si tu as lu mon post:il ne te reste plus qu'a te demander pourquoi l'etre existe et t'a métaphysqiue seras complete..
Dans sa plus simple expression l'univers est un point. L'être absolu dans son aspect le plus minime. Et cela (l'être) rien ne l'explique, ne le créer , le justifie, le régit, ne l'éteint, ne le grandit, ne le rapetisse.
La encore on se demande si tu as lu mon post car tu me prêtes la pensée de ceux qui pensent que l'être existe en dehors de notre univers.etre suprème y est tu entend tu? la réponse est toujours laconique d'un silence abstrait
Non l'être est notre univers et tout ce qui est dedans, sans jugement de valeur. Tout ce qui peut être considéré comme un élément,le concret comme l'abstrait, même une pensée, une intention. Tout ce qui existe. L'être est l'ensemble et chacun des éléments de l'ensemble. Même une négation est un être.
On ferme.
Les propos sont confus, Quetzal tu sembles te complaire dans un langage ésotérique assez indigeste et au final vous semblez les uns et les autres plus désireux de faire étalage de vos conceptions personnelles que d'avancer sur un problème.