avec einstein, l'on peu dire que le photon n'a dans son repère propre n'a qu'une vitesse, pas de règle d'espace propre, ni temps propre..
relativement, cette vitesse pour le photon n'existe pas, il se contente d'etre un objet energétique local.. est-il de poser une règle locale relative a son energie cinétique..
si oui, l'existence du photon localement pourrait se comprendre comme une regle locale (mono-dimensionelle) mais ponctuelle (je sais c'est bizzare)
cette "existance" du photon pour-lui même si celui-ci pouvait-etre un observateur se ferais hors du temps et de l'espace.. a peine est-il "crée" qu'il est "absorbé"
sa règle energétique ne connais localement que ces deux etats (crée/absorbé) il n'y a aucun entre deux.. pas de réalité possible entre ces deux etats.
la difficulté de l'expréssion de cette mono-règle ponctuelle pour un observateur extérieur, viens de que cette régles vas s'exprimer pour lui en 3Dimension d'espace fixe, soit pour l'observateur 3règles d'espace et 1 de temps.
l'etre du photon en mouvement n'existe pas réellement, tridimentionellment ni temporellement, puisque le temps réel du photon(sa varation propre, n'existe pas pour lui) mais existe pour l'observateur dans son repère propre à 4règles
ce que perçoit l'observateur temporel est l'expréssion de la règle energétique du photon dans son propre repère, il est simple de percevoir l'expréssion de l'energie d'une goute d'eau sur la surface d'un liquide, cette energie se fait onde, une onde temporalisé ayant un mouvement une frequence etc..
la particularité du mode de l'expréssion du photon est que celui-ci ne varie pas, ne se modifie pas dans son temps propre. de fait l'expréssion du photon dans l'espace/temps de l'observateur lors de sa mesure, n'a pas varié, contrairement a toute autre forme d'onde qui tendent a ce minimiser avec l'echange propre le l'onde avec son millieu de propagation.
l'expréssion ondique du photon est une illusion a la fois spataile et temporelle, cette expréssion semble-etre l'ombre du photon pour l'observateur.
cette particularité permet de poser l'illusion complete de l'expérience de young dans le mode de l'etre du photon, celui ne se deplaceant pas, tout au mieux peut-on dire que celui-ci n'a qu'une direction possible, puisque son espace se limite a cette directivité de sa vitesse. pour lui nos 3D d'espace n'en fond qu'une.. quand au temps, il n'existe que pour celui qui perçoit le photon et en estime le trajet dans ces trois dimension d'espace, au travers de son repère a 4dimension
l'intrication du photon n'existe pas pour le photon, elle n'existe que pour celui qui perçoit l'exprésion ondique(4D) du photon en difraction.. si le photon interagit avec lui-même, c'est que son expréssion ondique dans un espace tri-dimentionelle et temporel le permet.
la différence de nature entre le photon et son onde, tiens a la nature de la relation qu'une quantat d'energie ponctuel mono-dimentionel(pour lui-même) peut entretenir dans un espace a 4dimension(pour un observateur)
le parradoxe onde/particules est un parradoxe relativiste spatial, dimentionel et temporel..
il suffit d'imaginer un point vibrant soudaiement se dilater, et se dire que la seule différence enre le point et sa dilation est une question d'espace/temps.. point et onde restant la même et unique entité entre création et reception..
merci pour la lecture, je vais me recoucher(mal a la tete)
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