Ce n'est pas une réponse. Ou, comment vous le dire, ... Cette notion de combat est nécessairement un problème de jugement de valeur, et penser que l'autre a besoin d'une "prise de conscience" pour atteindre le "bon" jugement de valeur (le sien bien évidemment) est une manière d'exprimer l'incapacité totale de mettre en doute son propre jugement... C'était bien cela le message?Envoyé par clementdousset
Une réponse directe, claire, serait plus intéressante, il me semble, même si elle vous donne l'impression d'exprimer une évidence...
Cordialement,
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  ). Tout le vocabulaire lié à la "pensée" a été développé, a pris des connotations subtiles, pendant des siècles sur la seule base de l'exemple humain. Toute extension de ces mots et concepts au-delà du cas humain est donc un changement dans les conventions séculaires sous-jacentes à ces mots, et demande l'accord entre ceux qui émettent (emploient) ou reçoivent (lisent, entendent) ces mots. Or cet accord demande par lui-même acceptation de l'idée qui fait débat!
 ). Tout le vocabulaire lié à la "pensée" a été développé, a pris des connotations subtiles, pendant des siècles sur la seule base de l'exemple humain. Toute extension de ces mots et concepts au-delà du cas humain est donc un changement dans les conventions séculaires sous-jacentes à ces mots, et demande l'accord entre ceux qui émettent (emploient) ou reçoivent (lisent, entendent) ces mots. Or cet accord demande par lui-même acceptation de l'idée qui fait débat! .
. ). Si les derniers bouts de phrase "il l'a tuée" ou "Elle a décidé de rester avec lui" te semblent utiles pour choisir, rajoute a la première phrase avec l'entraineur "Ca a tué l'ambiance", ou "Elle a décidé de rester avec ses coequipières" etc...
). Si les derniers bouts de phrase "il l'a tuée" ou "Elle a décidé de rester avec lui" te semblent utiles pour choisir, rajoute a la première phrase avec l'entraineur "Ca a tué l'ambiance", ou "Elle a décidé de rester avec ses coequipières" etc...

 
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