Bonjour,
Pour faire suite à la complexité et à la compréhension de la chimie biomoléculaire.
Il faut répondre à de nombreuses questions éthiques pour pouvoir se positionner dans ses projets.
De nombreuse politiques se voient confrontés à des conflits d'intérêt. Ses mêmes conflits alimentent des solutions que nous risquons tous de subir dans les prochaines années (constat climatique). Ces solutions sont aujourd'hui assimilées à une économie dominante dont nous sommes presque tous dépendant.
Les montages financiers des industries et leurs interconnexions rendent, à court terme, les restructurations désavantageuses pour tout le monde. Ces industries nous ayant apportés le confort, il est difficile de vouloir les pénaliser aujourd'hui. Pourtant les limites de l'acceptable ont été dépassé. Un nouvel équilibre est indispensable pour préserver la viabilité de la planète.
La vigilance s'étant mobilisé, les alertes sont nombreuses. Quant est-il de la démagogie ? Comment expliquer vulgairement que nous consommons la planète sans aucun respect des générations futurs ?
L'inertie de groupe étant un facteur critique, même si il est question de ce sujet depuis le club de Rome (1968), il serait trop tard.
Pour revenir au sujet concernant la chimie biomoléculaire, je crois avoir un exemple concret pour ce qui concerne la croissance.
Je voudrais attirer notre attention, sans médisance, ni calomnie, mais en étant objectif, sur un corps de métier en particulier, celui des chirurgiens.
De nombreuse année d'étude sont nécessaires pour pouvoir exercer. L'enseignement délivré est le résultat d'une collaboration sociale. Collaboration ayant, comme dans l'industrie, facilité les process à l’extrême pour permettre une gestion simple de la complexité.
Bref, le chirurgien sauve des vie en ayant un sens du discernement très aiguë de la spécialité dans laquelle il exerce.
Il a accès une fonction lui permettant de recevoir beaucoup d'argent en échange de ses compétences, expériences et connaissance. Alors, d'un côté, certains doivent rembourser leurs études, et de l'autre d'autres peuvent jouir d'un train de vie débridée.
Donc objectivement, le premier cas permet donc "d'excuser" la cupidité du deuxième. (Système économique que nous connaissons, ce déséquilibre entraînant des pathologies traités par d'autres spécialités.)
Aujourd'hui, je suis contrarié par ma méconnaissance. Alors, bien sûr, il ne tient qu'à moi de me rendre disponible pour étudier. Mais ce serait tellement simple pour d'autres.
Comment se positionner ? Pourquoi la situation est telle qu'elle est ? J'ai mes atouts et mes handicaps et voudrais me canaliser comme il se doit pour la satisfaction du plus grand nombre.
Dois-je changer ? Pour quelle valeurs ? Au nom de quelle éthique ?
Merci pour votre attention.
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