BONJOUR
JE SUIS UN ELEVE DE TERMINALE S.EN EFFET J'AI UN EXPOSE A FAIRE EN CJS SUR LE SUJET SUIVANT:quand commence la vie humaine
je ne sais pas par ou commencer .
aidez moi SVP
UN GRAND MERCI
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BONJOUR
JE SUIS UN ELEVE DE TERMINALE S.EN EFFET J'AI UN EXPOSE A FAIRE EN CJS SUR LE SUJET SUIVANT:quand commence la vie humaine
je ne sais pas par ou commencer .
aidez moi SVP
UN GRAND MERCI
Salut jupiterex,
Nul besoin ni nécessité d'écrire en majuscule.
Que signifie "cjs" ?
Tu peux commencer par séparer les idées générales et les points de vue (biologique, éthique ; par des schémas, diagrammes), définir "la vie", puis "la vie humaine". Avant le "quand", demande-toi "comment" ? Tes outils sont là pour t'aider : google, wikipédia, bibliothèques et librairies, forum futura. Nul doute que le mot "embryon" sera de la partie. (un peu de bioéthique)
Autres idées :
- Quand et comment se termine-t-elle ?
- différencier "naissance" et "conception"
- Du fonctionnement de quels organes la vie dépend-elle ?
Conseils :
- Dans ton exposé, ne prétends pas avoir trouvé la réponse. La vie, c'est un gros mystère, malgré tout ce qu'on a pu lui découvrir.
- En tout cas, évite les fautes de français dans ton exposé.
Shokin
Pardon, humilité, humour, hasard, tolérance, partage, curiosité et diversité => liberté et sérénité.
Plusieurs conférences données par J.C Ameisen dvraient t'intéresser fortement sur le site de la cité des sciences.
Dans la section conférencier tu choisi Ameisen et tu tombera sur plusieurs cycles de conferences en relation avec le thème de la vie.
bonjour
tu peux lire des articles de peter singer, un utilitariste
ensuite, tu peux definir deja la notion de vie humaine
sagit il de la vie dun etre humain ou dune personne humaine?
faire des definitions de la vie, la definition religieuse ou laique, la vie biologique ou la vie sociale et philosophique
etc
bonne continuation
pardon pour cette ecriture, jutilise un clavier qwerty
Pardon, humilité, humour, hasard, tolérance, partage, curiosité et diversité => liberté et sérénité.
Bonjour,
Interressante question, "quand commence la vie humaine ?", pour l'individu aux premiers souvenirs de son enfance, pour l'humanité à la découverte de l'homo erectus, pour la vie dans son ensemble aux premières lueurs de l'Univers ? La question reste ouverte.
pour la vie humaine en tant qu'individu débute a partir du moment ou l'enfant est viable in-utéros c'est a dire qu'il soit possible par césarienne puis par couveuse de mener le devellopement de cet individu a terme.
avant cette "individuation" ne pouvant être séparé de sa mère il ne fait encore qu'un avec elle. il n'est pas vivant par lui-même, il n'a pas acquis sa propre autonomie.
avant ce stade il est sa mère, l'on ne saurait différencier l'un et l'autre, ce pourquoi la mère en tant que vivant a un droit supérieur sur ce dernier. elle seule est a même de pouvoir décider si elle est capable de supporter tant la grossesse, que l'education de cette future personne.
un embryon n'est rien ormis une demi-puissance de vie qui ne peux devenir sans l'acceptation de son fait par celle qui en auras la responsabilité. l'embryons, et le foetus son donc lié au désir et a la volonté maternelle de faire devenir ce simple "process" biologique" une future personne membre d'une société humaine.
l'embryons, n'est pas encore un individu, il n'en est que le "code" l'expréssion génétique de sa possible structuration biochimique, structuration et devellopement se faisant au dépent de sa génitrice.
ainsi, et puisque que l'embryons impose sa présence a sa future mère, et qu'il met celle-ci en danger, l'embryons reste soumis a l'acceptation de ce fait et au desir de don de vie de sa mère ou de ses parents. sans ce désir premier, cette volonté spécifique, l'embryon avant de devenir un etre humain de plein droit, un vivant parmis les vivants, celui-ci san ce désir donc, reste un fait biologique soumis a la bonne volonté de ceux a qui il vas imposer sa présence. par ce simple fait, et tant que l'embryons n'a pas atteind le stade d'autonomie, la femme a donc le pouvoir de refuser le devellopement de ce processus biologique entièrement dependant d'elle et pour des raisons que seule elle est a même de déterminer.
l'on dit souvent que les embryons vont pouvoir donner des génies, et que de fait il ne faut pas donner au femme le droit d'avorter. la nature est un peu plus complexe, car tout les embryons sont egaux par nature, ce sont les conditions du millieux dans lequel ils vont naitre qui determinerons le devellopement futur de la personne, genie ou assasin tous naissent avec un potentiel egal, mais pas au même endroit, ou bon endroit selon leur capacité respective ceci créant les inégalités future aisément perceptible entre tous.
de fait pour la nature, et puisque tout les embryons sont egaux de nature, chacun etant un possible du fait reproductif humain, l'on ne saurait apriori poser que tel embryons soit plus ou moins que tels autres, et que pour un femme ou un couple de refuser une naissance l'on puisse poser un préjudice de nature contre l'humanité. tout autre embryons se devellopant ailleurs pouvant-etre compris comme un egal remplaceant du premier.
l'égalité de nature par le fait de viabilité, pose de fait que nul n'est indispensable ou necessaire, supérieur ou inférieur a tout autre "code humain individuel".. naitre n'a d'importance que pour celui qui est né et est vivant et qui a la conscience d'être venu au monde.
de plus l'homme ne nait pas homme il nait homo sapiens, nu et ouvert au monde, quasiment vierge de tout, c'est en vivant et en devenant parmit d'autre hommes qu'il "apprendra" a se tenir, tant debout et a marcher comme un Homme, que droit et civilisé dans une société Humaine.
la vie humaine commence par une tape sur les fesses, et un grand cri né d'une première bouffé d'air. une drole d'aventure que celle-ci. avant il n'y a que du biologique en d'inombrable et complexe processus. de simple processus biologique aveugle et sans conscience même de devenir vivant, ni humain et encoire moins soi-même.
En allant au bout de sa pensée, il n'y a pas vraiment de frontière entre la fin et le début de la vie à la condition que l'on isole son principe à sa plus simple expression.
Quelle est alors ce principe de vie ?
Il faut peut-être aller le chercher derrière le mur de Planck pour ensuite le transposer à la racine de notre biologie, biologie tellement semblable à l'Univers dans sa complexité.
le principe du vivant est assez simple, une molecule ayant une propriété d'un cristal donc de repoduction, mais de repoduction imparfaite. des milliard de milliards d'itération de ce process ont donné naissance a un nombre phénoménal de variant d'une sans doute même molécule de base. toute la difficulté est de déterminer qu'elle furent les prototype de l'arn ou de l'adn. prototype sans doute aujourd'hui éliminé comme tant d'autre variant de ce processus quasi-reproductif.
Amha, si l'Univers est né de ce que l'on appelle une "fluctuation quantique" c'est également par ces "quanta" que la vie biologique trouve son principe.
tu peux en dire un peu plus a propos de ce principe quantique a la base du vivant ??
J'ai lue dans un gratuit que la vie légalement reconnue commence à partir de la 22ème semaine d'aménoré. Le foetus aurait alors un nom... Curieux, je ne vois pas vraiment ce que cela va impliquer dans la conception que nous nous faisons de ce qu'est la vie humaine. Je crois que c'est une question à laquelle on aura jamais de réponse alors c'est beaucoup plus simple ( et plus sage, je pense)de ne concevoir que la vie ne commence qu'à l'éclosion.
Le sujet s'engage sur une pente glissante.
-> pierre : tout les sujets d'ethique sont des planches savonnée, parceque justemet ils confrontent morales traditionnelles, et le raisonement philosophique. de plus ceux-là se trouve toujours au limites du droit en réfléchissant sur le bien-agir dans une pratique.
reste a savoir ce qu'éclosion veux dire, et si ce terme a un sens dans le champs sémantique de la reproduction des vivants. l'on parle d'éclosion pour le calice d'une fleur, mais cela ne reste qu'un prémice a la reproduction des plante à fleurJ'ai lue dans un gratuit que la vie légalement reconnue commence à partir de la 22ème semaine d'aménoré. Le foetus aurait alors un nom... Curieux, je ne vois pas vraiment ce que cela va impliquer dans la conception que nous nous faisons de ce qu'est la vie humaine. Je crois que c'est une question à laquelle on aura jamais de réponse alors c'est beaucoup plus simple ( et plus sage, je pense)de ne concevoir que la vie ne commence qu'à l'éclosion.
en ce qui concerne homo sapiens et les vivant en général, l'on ne considère généralement pas que l'oeuf fécondé soient un vivant. l'oeuf de poule est un oeuf, pas encore une poule. quand a la notion de début de la vie, si l'on s'en tient aux oiseaux, tortue, crocodiliens(espèce assez pratique our se faire une idée d'ou commence réellement la vie, la mère, et le petit etant sépraré très très tôt dans la phase de reproduction, l'on peux clairement poser, que la vie ne débutte pas dès les premier instand, l'on peux dire qu'un procéssus du vivant est en cours, mais en cassant l'oeuf a divers moment de son devellopement, l'on auras certes un foetus en devellopement mais pas un vivant ou un être viable avant un certain nombre de jours. or pour être considiré comme vivant, il faut deja être viable, et surtout capable de cette autonomie qui fonde la notion d'individualité, et de la celle de personne de droit.
la gestation chez homo sapiens (désolé ) relève du même ordre de devellopement, mais avec cette particularité des mamifères, celle d'une gestation interne de l'oeuf fécondé. en deça d'un certain dévellopement l'on a faire qu'a un procéssus biologique non-vivant, non autonome, donc non-viable. la limite etant certes fixé a 22 semaines par l'OMS, je dirais pour ma part qu'il est relatif aux techniques médicales pourvant se subtituer a la mère elle-même en cas de naissance prématuré, ou plutôt dans le cas de césarienne(accouchement "forcé")
avant ce stade-ci, le procéssus biologique en cours de devellopement ne saurait-etre reconnu comme un vivant a par "entier". dépendant de sa mère, il ne saurait-etre différencié de celle-ci avant que celui-ci n'est atteint sa propre viabilité.
Mwhouais, c'est vite dit quand même, un bébé n'est pas viable si on lui retire les soins parentaux. La notion d'individualité pour définir le vivant n'est vraiment pas satisfaisante : on a toujours besoin des autres pour assurer sa survie.or pour être considiré comme vivant, il faut deja être viable, et surtout capable de cette autonomie qui fonde la notion d'individualité, et de la celle de personne de droit
Mais ce n'est pas tant la définition du vivant que je cherchais mais le regard nouveaux que l'on s'apprête à porter sur un foetus de 22 semaines.
Qu'est ce que cela peut bien avoir pour conséquences ? Ce n'est, à mon avis, pas une question en l'air.
On va pouvoir dire que le foetus est vivant, il aurait donc des droits, le non respect de ses droit deviendrait répéhenssible. Ca s'est le coté pénal.
Mais il y a le coté des liens affectifs que la mère tisse avec son foetus, j'imagine que considérer son foetus de la même manière qu'un bébé à naître peut, en cas de décés du foetus, plonger les parents dans un sal état psychologique.
En fait j'aimerais connaitre les justifications de l'OMS pour avoir pondu cette date, et aussi pourquoi ce n'est pas l'accouchement qui définit le début de la vie, celui que l'on fête chaque année et qu'on appel anniversaire.
quetzal,
La discussion est libre de ce poursuivre. J'ai simplement signalé, indirectement, que le sujet pouvait glisser vers la question de l'avortement (pour être clair). Si d'aventure, l'intention d'un participant (et je ne pointe personne dans la présente discussion) est de traiter d'un des nombreux aspects liés à l'avortement, prière d'aller lire la discussion ici et de s'en tenir à des faits nouveaux.
Cordialement,
PdQ
Bonjour,La discussion est libre de ce poursuivre. J'ai simplement signalé, indirectement, que le sujet pouvait glisser vers la question de l'avortement (pour être clair). Si d'aventure, l'intention d'un participant (et je ne pointe personne dans la présente discussion) est de traiter d'un des nombreux aspects liés à l'avortement, prière d'aller lire la discussion ici et de s'en tenir à des faits nouveaux.
Remarque judicieuse. Cependant il me semble difficile de ne pas faire référence à l'avortement lorsqu'on traite de la question de la vie d'un point de vue biomédical, comme dans le cas de ce que nous nommons "la vie humaine".
Il faut remarquer le contraste entre la définition de la vie qu'on veut biomédicale (qui est d'ordre éthique-légale) et la définition qu'a défini la biologie. En effet, on commence à parler de vivanr en biologie lorsqu'un corps organique est délimité par une membrane. Ainsi, le champ de la science du vivant, la biologie, commence avec le procaryote (donc même dénué d'organites et de noyau), ou au moins l'eucaryote, jusqu'aux pluricellulaires les plus complexes et y compris leur biotope, le lieu de la vie, qui fait désormais partie intégrante de l'objet d'étude biologique.
Par opposition, la définition médico-légale donnée quelques posts plus haut, qui décrit le vivant selon un nombre de semaines de gestation ou d'un nombre X de cellules, est essentiellement une définition "politique" du vivant dont les termes sont dictés par les nécessité curatives de la pratique, de la nécessité de médicaliser une pratique qui persistait dans l'ombre dans des conditions d'hygiène déplorables.
On a ainsi l'impression d'un fait scientifique duquel on pourrait déduire une éthique ou une loi. Or en fait ce sont les raisons éthiques qui, dans ce cas, font appel à un énoncé que la pratique scientifique ne dit pas. Ce sont les séquelles de l'idéologisation de la science lorsqu'on s'en sert comme arme de guerre contre d'autres idéologies. Lorsque le concept de vie passe dans le domaine de l'éthique, il ne dit plus la même chose. Et à partir de là, se construisent encore d'autres fictions... De sorte que si cette question savonneuse de l'avortement à un rapport avec le vivant, il ne s'agit plus du vivant biologique.
jamajeff, si tu confond Le Vivant, et etre en vie. je pense qu'on est pas pret d'avancer sur le sujet. un ovule n'est pas un etre vivant autonome comme le serait un procaryote, ou une bactérie monocéllulaire. ce n'est pas un être finalisé et capable de sa propre reproduction(définition du vivant) a ce stade de son devellopement. l'ovule fédondé est certes, la puissance possible de futur etre vivant, mais tant qu'il n'a pas atteint un certain stade de devellopement il n'est rien sans sa mère, ou une couveuse.
donc tes considérations politiques basé sur tes erreurs tu peux revoir ta copie. la définitions du Vivant, n'est pas la défiition du stade de viabilisation et de l'autonomie d'un procéssus biologique.
bonjour,jamajeff, si tu confond Le Vivant, et etre en vie. je pense qu'on est pas pret d'avancer sur le sujet. un ovule n'est pas un etre vivant autonome comme le serait un procaryote, ou une bactérie monocéllulaire. ce n'est pas un être finalisé et capable de sa propre reproduction(définition du vivant) a ce stade de son devellopement. l'ovule fédondé est certes, la puissance possible de futur etre vivant, mais tant qu'il n'a pas atteint un certain stade de devellopement il n'est rien sans sa mère, ou une couveuse.
donc tes considérations politiques basé sur tes erreurs tu peux revoir ta copie. la définitions du Vivant, n'est pas la défiition du stade de viabilisation et de l'autonomie d'un procéssus biologique.
vivant=en vie. C'est français non? Là ou tu mets un "V" majuscule, je met une minuscule, pas besoin de réifier.
Aussi, sur l'autonomie, elle est toute relative, comme je le disais si tu as lu attentivement, l'environnement est à prendre en compte. L'étude des êtres vivants est indissociable de l'étude du rapport avec un biotope. Le biotope pouvant être un autre vivant (comme dans le cas des parasites).
Enfin sur la question de l'être finalisé, il n'est plus en vie, il est mort ou en tout cas en plein trépas. Quand à la capacité à assurer sa propre reproduction, si on te suis, les êtres stériles ne sont pas vivants.
Cordialement.
Je fais juste remarquer que cette question de "vie humaine" renvoie à bien plus qu'une question biologique, elle se raporte à la vie psychique, elle a des echos avec l'éthique, la politique, la philosophie...
Bonjour,
Pour ma part, de mon expérience j'ai commencé à être humain vers l'âge de 4-5 ans, avant j'aurais pu mourir je n'aurais eu souvenir et conscience de rien, je n'ai aucun souvenir de récursivité de mes pensées, probablement parce que ces années là sont utilisées pour remplir notre subconscient et développer nos moyens psycho-moteurs. Mais avant mes 4-5 ans aucun souvenir d'avoir été humain d'aucune façon. Donc à mes yeux la vie humaine commence vers l'âge de 4-5 ans.
La recherche d'un début uniquement biologique à la vie n'est que le reflet de notre culture actuelle.
Il me semble que la question "quand commence la vie humaine" devrait plutôt être posé en : "à partir de quand les êtres humains reconnaissent leur propre humanité dans un embryon/fœtus/nouveau-né/enfant ?"
Par la ressemblance biologique ? Quand on voit les premiers signes d'une activité cardiaque, neurologique, quand tous les organes sont fonctionnels...
Par la ressemblance morphologique ? Quand on reconnait les doigts, les yeux, le nez, quand il se met debout...
Par la communication ? Quand il perçoit son environnement, quand les interactions commencent ou sont reconnus comme telles, quand il parle...
Par la ressemblance psychologique ? Quand on lui attribue des sentiments, des pensées, quand il les exprime...
On ne peut pas déterminer objectivement à quel stade apparait l'humanité dans le développement humain, où fini l'anthropomorphisme et où commence à véritable l'humanité.
Certains vont éprouver de l'empathie en regardant la première échographie alors que d'autres ne s'attachent pas à leur enfant avant qu'il parle.
Les cultures, les époques et les personnes choisissent des étapes différentes pour l'entrée de l'enfant dans la société humaine : bâptème, marche, sevrage, naissance, échographie du 3eme mois, jour de conception,...
Je suis assez d'accord avec Zes, en fait la question de savoir quand commence le fait d'être "Humain" est assez étrange. En fait on se permet de priver certains déficients mentaux de leurs droits c'est bien qu'on considère qu'il y à une question d'Humanité (je suis assez peu d'accord)
Donc oui, 4 ou 5 ans est plutôt une réalité, pas de souvenirs avant, pas de sensation qui en viennent... Bref, en gros tant que l'enfant est dépendant dans son intégralité de ses parents il est potentiellement le prolongement d'un parent mais pas une entité propre... A mon sens.
Un excellent livre intitulé "nuage de la vie", explique que l'apparition de l'homo sapiens reste encore un mystère. On sait seulement à peu près quand ils sont apparus sur Terre (environ 65 millions d'années).
Sinon, j'approuve les plan qui ont été donnés.
65 MA? C'est la crise KT ça. Y'avait pas d'Homo à l'époque.
Il y a des personnes qui se rappelle de leur très jeune enfance, bien avant 5 ans. Le processus de mémorisation n'est pas le même avant et après 4-5 ans, c'est donc juste un problème de mémoire, mais au moment où l'on vit les choses on est tout à fait conscient d'être un humain à part entière.
Je me rappelle très précisément un moment où je marchais en me tenant partout pour ne pas tomber, je n'avais pas 1 an et j'avais déjà une pensée intérieure.
Etais-je humaine avant les autres ? Certainement pas.
Le sujet tel qu'il est posé à un candidat bachelier me semble tout à fait malhonnète. C'est en fait une incitation à jouer les tartuffes.
La vie ne commence jamais, elle a commencé il y a 1 milliard d'année peut-être et depuis elle n'a jamais arrêté de se transmettre. C'est un spermatozoïde vivant qui rencontre un ovule vivant, donc il n'y a à aucun moment interruption de la vie et recréation. Celà étant dit un humain se construit en face des autres, un individu privé du contact avec ses semblables ne deviendra jamais un humain, car l'humanité est un apprentissage. Des enfants trouvés dans la jungle au cours de l'histoire et élevés par des animaux ne sont jamais redevenus humains lorsque on les a retrouvés et que l'on a essayés de les éduquer. L'humain est donc une chose fragile.