IPGP de Paris

[invite26341e15]

Bonjour,
J' hesite à m'inscrir l'année prochaine à l' ipgp (institue de physique du Globe de Paris) en L3. Quelqu' un sait il si s' est une bonne fac?
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[invite6d55a62e]

Ben oui on en peut pas dire le contraire, tu veux faire quoi ?
Il y a aussi le master de sciences de la terre de l'ens, qui est plus "petit comité" mais vraiment très bien.

[invite26341e15]

L' ENS n' est pas une école d'ingenieur?
Je voudrais apres ma licence faire le master recherche risque naturel.

[invite26341e15]

L'ens n'est pas une ecole d'ingenieur?
Apres ma licence je voudrais faire un master risque et ils en propose un a l' ipgp ms j' hesite aussi à faire un master d' hydrogeologie qui doit presenter plus de debouché et il ne propose pas cette filiere a l' ipgp...

[A voir en vidéo sur Futura]

[invitecc7891ee]

à mon avis risques naturels ça présente plus de débouchés, mais c'est un avis personnel. En tout cas Jussieu a une très bonne réputation et les gens de l'IPG sont sympas (j'y ai fais un stage cet été); et non malheureuse! les ENS ne sont pas une école d'ingé!

[invite7841424a]

Salut !

Il y a aussi le master de sciences de la terre de l'ens, qui est plus "petit comité" mais vraiment très bien.

Et oui, petit comité...peut être trop petit !
Les profs aimeraient bien avoir plus de monde... alors c'est mon devoir sacré d'en faire la pub
http://www.lmd.ens.fr/master/

a +

[invite8f7f8f7b]

L'ens n'est pas une ecole d'ingenieur?
Apres ma licence je voudrais faire un master risque et ils en propose un a l' ipgp ms j' hesite aussi à faire un master d' hydrogeologie qui doit presenter plus de debouché et il ne propose pas cette filiere a l' ipgp...

Bonsoir à Tous,

je connais bien les "boutiques" citées.

Pour les risques, je pense à:
IPG Paris (volcans, sismologie) et aussi Grenoble où ils font des choses sur les risques d'éboulements (quelques belles thèse soutenues récemment) et le risque sismique (Pierre-Yves Bard et ses collègues)

Pour l'hydro, il y a pas mal de labos de haut niveau qui proposent des formations: Rennes (CAREN), Paris 6 (Sisyphe), IPG Paris, Strasbourg (EOPG), Aix en Provence (CEREGE),...

Pour moi, il n'y a pas photo: les débouchés en hydro sont nettement plus nombreux qu'en risques. Pour les risques (notamment éboulements et risque sismique), il y a une concurrence des gens passés par la filière Mines Ponts et génie civil (ou géologie de l'ingénieur).

Je peux vous en dire plus si ça vous intéresse.

[invite26341e15]

oui ca m'interesse!
Plus j' en sait mieu c'est mais il est difficile de trouver des info clair.
Je suis allé sur le site de l'ens et l' entrée m' a l' air difficile et le niveau élevé j' ai peur de ne pas etre a la hauteur...

[invite8f7f8f7b]

oui ca m'interesse!
Plus j' en sait mieu c'est mais il est difficile de trouver des info clair.
Je suis allé sur le site de l'ens et l' entrée m' a l' air difficile et le niveau élevé j' ai peur de ne pas etre a la hauteur...

l'ENS offre une formation en Sciences de la Terre dans le cadre de l'Institut Pierre Simon Laplace qui est une fédération de recherche regroupant de nombreux labos dans le domaine de l'environnement, la météorologie dynamique, l'océanographie, etc.. Il y a aussi des relations avec l'IPGP, ... Ulm et Jussieu sont proches. Les collaborations entre les labos des deux établissements sont importantes et les étudiants passent d'un labo à l'autre sans problème, pareil pour suivre des modules d'un M2 à l'autre.

Les collaborations industrielles sont importantes pour les M2 professionnels, je pense que l'IPG est plus fort sur ce point. Mais, comme toujours dans le monde universitaire, les relations sont souvent l'affaire d'un prof ou d'un chercheur en particulier. On peut très bien avoir, dans un même labo, un groupe ayant de fortes collaborations avec les entreprises (et les débouchés qui vont avec) et un autre qui n'a aucune collaboration de ce genre. C'est du cas par cas et il ne faut pas hésiter à demander des informations aux chercheurs concernés (=> aller sur les sites web, identifier les personnes et envoyer un mail de prise de contact. J'en reçois tous les jours, mes collègues aussi et généralement on répond assez vite).

Pour les risques naturels, en plus de Grenoble et l'IPGP que j'ai cités tout à l'heure, on peut ajouter un groupe du CEA qui est très bon en modélisation de tsunamis et qui collabore avec des équipes de l'IPGP. Une spécialisation dans ce genre de modélisation peut se faire en stage de M1 puis M2.

Ce n'est sans doute pas un scoop, mais les modélisations de tsunami reviennent à la mode depuis... disons décembre 2004... En ce moment, on fait des modélisations pour les Antilles à cause des risques de déstabilisation de volcans (celui de Montserrat tombe à l'eau de temps en temps).