Bonjour,
Roy Spencer, climatologue, affirme que les données sur le rôle de l'eau atmosphérique ont été mal interprétés par les scientifiques. Il parle également des mouvements océaniques "chaotiques" également. Il en conclue que la sensibilité du climat est faible (aux actions de l'homme). Quelqu'un as t il étudié ses affirmations ? Qu'est ce qui aurait été mal interprété ? (si c'est explicable ici).
Pour ceux qui ne sont pas au courant, sur wikipedia :
Et sur sa page elle même :Depuis 2002, le satellite AQUA de la NASA réalise des mesures précises du cycle de la vapeur d'eau atmosphérique, principal gaz à effet de serre, des nuages et des précipitations, en vue d'en mieux connaître les rétroactions dans l'évolution de la température atmosphérique. En juin 2008, le professeur Roy Spencer, après analyse des données, conclut que, contrairement aux modélisations utilisées par les divers centres de recherche, l'eau atmosphérique apporte une forte rétroaction négative à l'effet de serre et que l'évaluation du réchauffement global doit être très fortement diminuée.
Qu'est ce que ça pourrait être d'autre ? (les émissions de CO2 anthropiques) Pas besoin de creuser très loing.More than one scientist has asked me, “What else COULD it be?” Well, the answer to that takes a little digging… and as I show, one doesn’t have to dig very far.
Très peu de recherche se sont concentrés sur les mécanismes naturelles de réchauffement. (la cause anthropique) Cette affirmation est d'autant plus facile pour les scientifiques que nous n'avons pas assez de données sur de longues périodes pour voir s'il y a des mécanismes naturels de réchauffements.Believe it or not, very little research has ever been funded to search for natural mechanisms of warming…it has simply been assumed that global warming is manmade. This assumption is rather easy for scientists since we do not have enough accurate global data for a long enough period of time to see whether there are natural warming mechanisms at work.
La sensibilité du climat terrestre est très difficile a déterminer. Les processus atmosphériques peuvent autant amplifier ou réduire le réchauffement. (...) Je suis convaincu que la communauté scientifique a mal interprété les données. Ils se sont trompés quand a la sensibilité du climat terrestre. Les données suggère qu'elle est faible.You would think that we’d know the Earth’s ‘climate sensitivity’ by now, but it has been surprisingly difficult to determine. How atmospheric processes like clouds and precipitation systems respond to warming is critical, as they are either amplifying the warming, or reducing it. This website currently concentrates on the response of clouds to warming, an issue which I am now convinced the scientific community has totally misinterpreted when they have measured natural, year-to-year fluctuations in the climate system. As a result of that confusion, they have the mistaken belief that climate sensitivity is high, when in fact the satellite evidence suggests climate sensitivity is low.
Articles de recherches :The case for natural climate change I also present an analysis of the Pacific Decadal Oscillation which shows that most climate change might well be the result of….the climate system itself! Because small, chaotic fluctuations in atmospheric and oceanic circulation systems can cause small changes in global average cloudiness, this is all that is necessary to cause climate change. You don’t need the sun, or any other ‘external’ influence (although these are also possible…but for now I’ll let others work on that). It is simply what the climate system does. This is actually quite easy for meteorologists to believe, since we understand how complex weather processes are. Your local TV meteorologist is probably a closet ‘skeptic’ regarding mankind’s influence on climate.
Spencer, R. W., and W. D. Braswell, 2011: On the misdiagnosis of surface temperature feedbacks from variations in Earth’s radiant energy balance. Remote Sens., 3, 1603-1613; doi:10.3390/rs3081603 (et plus d'une vingtaines toujours dans des revues a comité de lecture (GEOPHYSICAL RESEARCH LETTERS, GeoJournal, JOURNAL OF GEOPHYSICAL RESEARCH,Remote Sens,Asia-Pacific Journal of Atmospheric Sciences ...)
Merci
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