Choix des matériaux de construction
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Choix des matériaux de construction



  1. #1
    invite8f82cd0b

    Choix des matériaux de construction


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    Bonjour,
    j'ai un projet de construction d'une maison (à partir d'une extension d'un vieux séchoir en pierre sèche) à 800m d'altitude, exposée Est.

    J'étais parti au départ sur de la monomur mais à force de me renseigner, je suis de plus en plus sceptique.

    Sachant que pour des raisons de raccord esthétique avec le bâtiment existant, je vais faire un parement extérieur en pierre, quel matériaux dois-je utiliser pour le gros oeuvre et les cloisons intérieures ?

    Merci d'avance pour vos conseils

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  2. #2
    invite4723bb01

    Re : Choix des matériaux de construction

    Edit° La Pierre Verte J'attends une maison Pourquoi ce site ? François Desombre

    Monomurs de béton cellulaire
    Je les avais moult fois remarqués, dans la documentation allemande en particulier : une maison en blocs de béton cellulaire silicocalcaire a l'air construite en morceaux de sucre. Il s'agit bien d'un matériau tout à fait écologique, performant et simple, qui offre de nombreuses facilités de mise en œuvre et pourrait normalement réduire les coûts salariaux lorsque l'on fait appel à un entrepreneur. Un peu comme le tufeau, la nature a inventé une roche, la tobermorite, silicate de calcium hydraté, particulièrement adaptée à un usage constructif. Il s'agit d'une roche truffée de bulles dans sa masse, qui lui donnent de la légèreté et des caractéristiques isolantes et perspirantes.


    L'industrie a mis au point des blocs de construction en recopiant cette recette naturelle. Les blocs de béton cellulaire silicocalcaire existent depuis soixante-dix ans et connaissent un franc succès depuis une quarantaine d'années en Europe du Nord et en Allemagne.

    Les blocs et éléments de construction en béton cellulaire silicocalcaire sont composés d'un mélange de sable, la silice, et de chaux, le calcaire, additionné d'eau, cuit à basse température mais sous très haute pression dans un autoclave. Le sable est facile et économique à extraire, tandis que la chaux, abondante, demande, elle, une cuisson un peu coûteuse en énergie. On trouve aussi, dans les blocs silicocalcaires, de quinze à trente pour cent de ciment, selon l'usage, pour garantir leur solidité. Ce ciment est sélectionné pour sa qualité et garantit l'utilisateur contre la gale du maçon.

    La consommation du béton cellulaire en énergie grise est basse, inférieure à celle des briques d'argile et, sans additif ni produit chimique dans la fabrication, on obtient d'abord un matériau mou, le gâteau, qui va être découpé en blocs ou en plaques avant séchage. Aucun solvant, aucune fibre, aucun COV n'est émis par la suite dans l'air. Les émissions radioactives sont même les plus basses de tous les matériaux de construction. Enfin, à la mise en œuvre, les blocs silicocalcaires ne demandent aucun traitement, ni anti-feu, ni pesticide, ni rien : une réelle innocuité qui autorise, par exemple, la construction de chais à vin ou de caves pour tous produits alimentaires conservés.


    Les blocs de béton cellulaire ont les avantages des briques monomurs (voir Écomatériaux, murs). En particulier en matière de solidité, de stabilité dans le temps, de résistance au feu, à l'eau, de comportement hygrométrique, d'isolation thermique et phonique, etc. C'est assez normal puisque ces blocs sont massifs, monomurs également, jusqu'en trente centimètres de large. Les mises en œuvre se ressemblent puisque, dans les deux cas, on utilise la technique des joints minces qui évitent la corvée de la petite dizaine de tonnes de mortier d'un chantier ordinaire. Dans le cas des blocs de béton cellulaire, le joint vertical n'existe pas, grâce à un rainurage conçu pour un emboîtement latéral des blocs. Le joint horizontal, lui, ne fait plus qu'un ou deux millimètres d'épaisseur, ce qui rend les ponts thermiques totalement négligeables. Le ciment-colle employé ne contient pas de produit toxique, même si son emploi réclame les sécurités d'usage. On le mélange dans un simple seau, juste avant application. Ce procédé économise beaucoup d'eau et les salissures. Il permet de conserver un chantier propre, et même silencieux en l'absence de bétonnière. Il soulage d'un travail physique éprouvant : pousser les brouettes pleines sur des planches en équilibre, sans se blesser ni se faire de tour de rein.


    Il faut remarquer l'existence d'un système constructif complet qui propose aussi bien les blocs fins, normaux et larges, destinés aux monomurs comme aux double-parois et cloisons, que les blocs, linteaux et coquilles de chaînage, y compris parasismiques, les poutrelles, les planchers et même les dalles de parement interne de la hauteur d'un étage ou les grandes dalles sous toiture, etc. Cet ensemble permet d'édifier des maisons tout entières, avec des performances très homogènes, des maisons parfaitement saines et bien isolées de tous côtés. Elles présentent également des caractéristiques d'inertie thermique intéressantes qui nous rappellent le mur Trombe, ajoutant au confort climatique et favorisant une faible consommation de combustible de chauffage.

    Les blocs silicocalcaires sont solides et indéformables. On peut considérer qu'une maison qui en est constituée va durer longtemps, au moins cent ans sans modification, contre une vingtaine d'années pour bon nombre de matériaux de construction. Le capital investi va donc rester valorisé et une maison de cette nature est un bon investissement financier puisqu'elle peut se prévaloir de qualités sanitaires et économiques réelles et durables, qualités qui prennent chaque jour plus de valeur dans l'esprit des accédants à la propriété.

    Les blocs silicocalcaires absorbent correctement la vapeur d'eau, à condition de ne pas les recouvrir à l'intérieur d'une peinture ou d'un enduit étanches. Le plâtre ou les peintures microporeuses ou naturelles conservent aux murs leurs capacités hygroscopiques indéniables. Ainsi les murs respirent, sèchent bien et restent tièdes l'hiver. Ces qualités conviennent particulièrement aux asthmatiques ou aux allergiques. Les pièces ne sont plus confinées et, même après six mois de fermeture, il n'y aura jamais d'odeurs incommodantes dans une telle maison.


    La sécurité des blocs silicocalcaires est exceptionnelle, à tous points de vue. Leur comportement au feu est exceptionnel, puisqu'ils ne dégagent aucun toxique en cas d'incendie. On les emploie volontiers comme cloisons pare-feu dans des sites de stockage car, même soumise à une flamme pendant six heures, la face non exposée d'un mur de vingt centimètres d'épaisseur conserve une température inférieure à soixante degrés, encore trop basse pour provoquer l'inflammation de papiers. De plus, ce matériau supporte sans broncher les chocs thermiques, aussi bien que l'action des lances à incendie.


    Le béton cellulaire silicocalcaire est un excellent isolant. L'isolation étant obtenue par l'air, ces blocs sont truffés de millions de micro-bulles parfaitement réparties, grâce à un procédé qui met malheureusement cette fabrication hors de portée des particuliers ou des artisans. En effet, les bulles sont obtenues par un mélange avec de la poudre d'alumine, qui provoque une réaction moussante. On peut contrôler leur taille et leur nombre, et un compromis est recherché entre la solidité, moins de bulles, et la capacité isolante, plus de bulles. L'hydrogène des bulles obtenu par la réaction chimique s'élimine totalement en quelques heures et se voit remplacé par de l'air normal. L'alumine a disparu dans la réaction et le béton cellulaire est exempt de tout produit chimique toxique, c'est certain.


    Le coefficient de conductivité du béton cellulaire, le lambda, est aujourd'hui de 0,10, tandis que la résistance thermique d'un mur enduit, largement supérieure aux normes, est de 3,18 en trente centimètres d'épaisseur. Ainsi, il rend inutile une isolation rapportée, à l'extérieur comme à l'intérieur. Il est insensible aux dégât des eaux, ne s'affaisse pas, résiste aux rongeurs. Il permet une isolation impeccable aussi longtemps que le mur est en place.


    Le principal avantage à disposer d'un ensemble complet d'éléments de construction est l'absence de ponts thermiques. On estime que les déperditions dues à la liaison plancher-murs sont souvent supérieures à celles des murs eux-mêmes. Dans le cas d'un système constructif, les emboîtements prévus, rainurages et autres assemblages donnent au bâtiment une isolation totalement répartie. Ainsi, les murs, sols et éventuels plafonds ont-ils une température intérieure homogène, sans recoins humides et froids créant de l'inconfort.


    Le béton cellulaire silicocalcaire est isolant, certes, mais aussi capable d'accumuler de la chaleur et de lisser les écarts de température grâce à son inertie thermique, caractéristique des matériaux de construction minéraux. Cette qualité peut être mise à profit pour la construction d'un mur accumulateur de chaleur puisque les blocs de trente centimètres d'épaisseur provoquent un déphasage de treize heures, ce qui est parfait. Dans tous les cas, ils apportent une climatisation naturelle des bâtiments, fraîcheur l'été et douceur l'hiver.


    La légèreté des matériaux de construction en béton cellulaire silicocalcaire est un atout en ce qui concerne l'isolation des toitures. En effet, on trouve des dalles de toiture qui peuvent être aisément fixées sous les chevrons de la charpente. Elles s'emboîtent par rainurage et donnent un parement interne lisse et fini, blanc. Les qualités du matériau garantissent une imperméabilité à l'eau, un bon comportement avec la vapeur et d'excellentes performances isolantes qui compléteront à merveille la pose d'un autre isolant entre chevrons. Quand on désire une isolation renforcée, l'usage d'un parement interne isolant est indispensable.


    Selon l'usage que l'on veut en faire, murs porteurs, revêtement externe ou parement interne, on commandera les éléments les mieux adaptés. L'architecte sera content d'apprendre que les blocs peuvent être dimensionnés à la demande. Et si l'on désire faire des murs en cinquante centimètres d'épaisseur, rien n'est plus simple, puisqu'on trouve des blocs de cinquante de haut qu'il suffira de coucher...
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  3. #3
    invite4723bb01

    Re : Choix des matériaux de construction

    Edit° La Pierre Verte J'attends une maison Pourquoi ce site ? François Desombre suite

    Contrairement à ce que l'on en dit parfois, le béton cellulaire a de bonnes caractéristiques phoniques : l'assourdissement est de près de cinquante décibels pour des murs de trente centimètres d'épaisseur, une atténuation supérieure à celle de la plupart des autres matériaux, vingt décibels en plus de ce qu'exige la réglementation, et, je le rappelle, l'échelle des décibels est exponentielle. Ceci dit, la légèreté du béton cellulaire limite son efficacité pour la construction de cloisons, à moins de les monter avec des blocs de grandes épaisseurs.


    On peut parfois reprocher au béton cellulaire d'être un peu trop hydrophile. S'il sèche facilement, il s'imprègne aussi facilement et devra être enduit à l'extérieur, à la chaux hydraulique par exemple.


    Une particularité qui en intéressera plus d'un : les murs silicocalcaires protègent des champs électromagnétiques, quasi à cent pour cent avec des murs de vingt centimètres, selon des études spécifiques.


    Si l'on décide de louer une petite grue de chantier, on peut alors employer des blocs géants dont il ne faut que cinq rangs pour faire toute la hauteur d'un étage. Ces blocs sont manipulés deux par deux avec la grue, puis simplement collés les uns sur les autres. Leur montage est très rapide, une maison en trois ou quatre jours, ce qui représente une forte économie de main-d'œuvre, comparativement à un chantier de maison ordinaire.


    La mise en œuvre des blocs de béton cellulaire est rendue facile grâce à la légèreté du matériau, soit moins de quatre cents kilos au mètre cube. Un bloc pèse 17 kg environ mais il couvre une surface de mur presque double de celle d'un parpaing de ciment. Pour les carreaux de cloisons, c'est à la portée de tous, même des plus fluets. Avec un tel poids, on jonglerait presque comme Obélix chez Cléopâtre et le chantier avance rapidement. En quelques jours seulement, à deux, les murs et les cloisons sont montés. Pour une maison dont la surface des murs serait de cent mètres carrés, le poids des murs sera de onze tonnes et, en l'absence de mortier sable/ciment ordinaire, la manipulation totale est diminuée de moitié par rapport à une construction en blocs de ciment ou en briques d'argile cuite ordinaires. Le transport jusqu'au chantier passera, avec la charpente, la couverture, les équipements et tout ce qu'un chantier consomme, de neuf camions en moyenne à trois ou quatre.


    On peut scier, meuler ou poncer les blocs. Ceci permet des découpes de détail ne nécessitant rien d'autre qu'une bonne scie. Ceci permet également le rattrapage d'erreurs et la correction de la planéité, gros avantage pour les autoconstructeurs. Les chutes peuvent être utilisées au pied du chantier ou dans un chemin, et les poussières, mélangées à la colle, serviront à faire du rebouchage. Aucun tri, aucun déchet de chantier dont la responsabilité incombe maintenant à celui qui les génère. En cas de démolition, le recyclage d'une telle maison ne porte pas d'atteinte à l'environnement car le matériau est inerte. Il peut avantageusement être utilisé dans la création de remblais car il est autobloquant et très durable.


    L'aspect final des blocs de béton cellulaire, une fois montés, est très fini et on peut appliquer la décoration directement. Enduits et peintures à la chaux trouveront une accroche particulièrement forte, de même que les colles de carrelage. Plutôt que de plâtrer, un simple lait de chaux aérienne peut suffire pour combler les petits trous de la surface avant de peindre. On a dit que, sur le béton cellulaire, les revêtements externes ne tiennent pas bien. Ah, évidemment, si l'on parle de crépis modernes, synthétiques et à base de plastiques, il n'est pas étonnant qu'ils accrochent mal. Mais justement, ce genre de crépis, nous n'en voulons pas.


    En rénovation d'ancien, on souhaite souvent améliorer l'isolation du bâtiment sans perdre le bénéfice de la pierre ou de la terre des vieux murs. Des blocs étroits de béton cellulaire silicocalcaire permettent le doublage des parois externes, au Nord particulièrement, la méthode la plus profitable en terme d'isolation des habitations. Entre la paroi à construire et l'existant, on remplira de billes d'argile ou de panneaux de liège, et ce sera le top. En rénovation encore, la légèreté des blocs de béton cellulaire autorise leur utilisation dans des chantiers de réhausse, lorsque les fondations ne peuvent tolérer de surcharge importante. Cette légèreté facilite aussi le transport des blocs à pied d'œuvre lors de l'aménagement de combles, par exemple, ou pour des chantiers en hauteur ou difficiles d'accès.


    Le béton cellulaire est un matériau un peu plus coûteux que les autres. Ceci dit, la part des matériaux de construction étant faible dans le coût global d'une habitation ordinaire, le surcoût ne dépassera par deux mille euros par rapport aux briques monomurs d'argile porosée, par exemple. Mais il s'agit bien d'un matériau pour passer les décennies, sain et sécurisant, qui donne une vraie valeur au bâtiment. Les économies de main-d'œuvre, elles, sont très importantes et devraient compenser largement, si le béton cellulaire était plus généralisé et mieux connu.

    Les artisans capables de mettre en œuvre les blocs de béton cellulaire sont légion. Enfin... devraient l'être, puisque bâtir avec ces blocs est plus simple, plus facile et plus aisé que de bâtir en briques creuses classiques ou en parpaings de ciment, avec leurs joints épais et leurs tonnes de mortier. Pourtant, les artisans hésitent, restent timides, ont peur de l'inconnu ou du "qu'en dira-t-on". Souvent aussi, ils ont des habitudes incompatibles avec les matériaux de construction monomurs isolants. On ne doit pas les percer, par exemple, alors que les maçons sont habitués à faire des trous dans les parpaings pour y passer des serre-joints si besoin. De même, ils n'hésitent pas à bourrer un parpaing de ciment pour renforcer un coin. Pour eux, construire avec des monomurs isolants demande de former les employés, de donner des instructions claires, de se soucier de la qualité du résultat final, ce qui empêche de faire n'importe quoi.

    La seule critique réaliste concernant le béton cellulaire est la présence de ciment dans le matériau de base lui-même, un ciment sélectionné pour sa qualité comme je l'ai déjà indiqué, du clinker, mais dont la fabrication reste coûteuse en énergie. Ce ciment représente quinze à trente pour cent de la pâte qui va être ensuite remplie de bulles, la variation du pourcentage tenant à la destination finale des éléments de construction. La fabrication des blocs est, elle, très économe en énergie, ce qui compense. L'absence de mortier de construction vient dans le calcul global et on peut donc affirmer que la consommation de ciment par rapport à une maison en parpaings ou de briques d'argile ordinaires est nettement moindre. Avec le bilan sur le transport des matériaux au chantier, avec le bilan en terme de jours travaillés, avec le bilan en terme d'émanations chimiques ou atomiques, avec le bilan en terme de durabilité, de solidité et de possibilités constructives, avec le bilan en terme de disponibilité de la matière première et de gestion des déchets, avec le bilan en terme de compromis d'isolation et d'inertie thermique, on trouve dans le béton cellulaire un matériau vraiment positif. Et je n'ai aucune action dans le capital de Xella, leader dans ce domaine, entreprise allemande qui réunit Ytong et Siporex sous une même marque, fabricant et distributeur de la Thermopierre, mais aussi des panneaux de Fermacell, un autre produit écologique, type placoplâtre BA13, mais beaucoup plus sain, plus efficace et bien trop peu employé chez nous.


    Pour terminer, je suis allé visiter l'usine Xella de Bourgoin-Jallieu. En pleine campagne et sous les arbres, une petite unité industrielle aux bâtiments bien isolés, et pour cause, qui ne dégage aucune fumée visible ni aucun effluent liquide dans l'environnement. Le four de la cuisson ne chauffe pas au-dessus de cent soixante-dix degrés et il utilise du gaz naturel, c'est très modeste. L'énergie est récupérée pour le chauffage des bâtiments et bureaux. Des mesures locales sur la pollution de l'air et de l'eau, en termes de rejets dangereux comme de contribution aux changements climatiques et à l'acidification atmosphérique, démontrent que le procédé de fabrication du béton cellulaire silicocalcaire a un très faible impact sur l'environnement, vingt fois moins pour l'air et trois à cinq fois moins pour l'eau que les briques d'argile cuite, par exemple. Deux autres usines Xella de production existent, près de Bordeaux et de Paris, pour permettre une couverture du territoire facilitant les livraisons à proximité. Encore un argument à mettre dans la balance.

  4. #4
    invite5b2f827c

    Re : Choix des matériaux de construction

    Mich&Robi est un peu pénible avec ses copier-collers répétitifs du chapitre "Béton cellulaire" de "J'attends une maison" (qui est, par ailleurs, un bon bouquin de référence) mais, en effet, le béton cellulaire pourrait être une bonne solution.

    Peut-être l'ossature de bois est-elle possible également avec un aprement pierre mais c'est à vérifier avec les spécialistes des MOB.

  5. A voir en vidéo sur Futura

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